Bassil/champs gaziers: la logique de la force utilisée par "Israël" ne nous terrifie plus

Après le refus israélien de reconnaître les droits du Liban d'exploiter les gisements pétroliers et gaziers découverts en en Méditerranée, le ministre de l'Energie et de l'Eau, Gebran Bassil, a confirmé que "la logique de la force utilisée par Israël ne nous terrifie plus notamment que le Liban a trouvé le moyen convenable pour répondre à ce style agressif".
"Le Liban se basera sur la loi des mers pour démarquer ses frontières maritimes avec l'entité sioniste" a souligné Bassil appelant "Israël à respecter la loi internationale pour une seule fois"."Si Israël attaquera nos frontières maritimes et nos ressources pétrolières, ses intérêts ainsi que les entreprises étrangères opérant dans le domaine de l'exploration du pétrole seraient menacés. Pour cela, il est meilleur qu'il nous laisse travailler tranquillement" a-t -il averti.
Bassil a indiqué que "le problème incurable du dossier pétrolier réside dans le comportement de certains libanais qui n'assument pas leurs responsabilités les plus simples" expliquant "qu'il a adressé trois câbles au gouvernement le demandant de terminer le sujet de la limitation des frontières et le transférer au parlement et aux Nations
"Le Liban se basera sur la loi des mers pour démarquer ses frontières maritimes avec l'entité sioniste" a souligné Bassil appelant "Israël à respecter la loi internationale pour une seule fois"."Si Israël attaquera nos frontières maritimes et nos ressources pétrolières, ses intérêts ainsi que les entreprises étrangères opérant dans le domaine de l'exploration du pétrole seraient menacés. Pour cela, il est meilleur qu'il nous laisse travailler tranquillement" a-t -il averti.
Bassil a indiqué que "le problème incurable du dossier pétrolier réside dans le comportement de certains libanais qui n'assument pas leurs responsabilités les plus simples" expliquant "qu'il a adressé trois câbles au gouvernement le demandant de terminer le sujet de la limitation des frontières et le transférer au parlement et aux Nations
Unies, mais il n'a pas reçu de réponses".
Dans ce cadre, Bassil a critiqué les obstacles placés par le ministère des Finances et le report du transfert de la convention de la démarcation des frontières maritimes avec la Chypre au parlement pour l'adopter".
"Cette position reflète la soumission de la décision nationale à l'étranger. Le gouvernement ne défère pas la convention devant le parlement sous prétexte de ne pas irriter tantôt la Turquie tantôt l'Arabie Saoudite, la France ou les Etats Unis et tout cela aux dépens des droits nationaux libanais" a-t-il déploré.
Enfin, il a souligné que "le refus turc de la convention est injustifiable puisque le Liban et la Chypre ont signé des relations diplomatiques".
"Lorsque les chypriotes grecs ont touché la soumission libanaise à l'étranger, ils ont discuté avec "Israël" de la manière de protéger ses intérêts" a-t-il conclu.
Dans ce cadre, Bassil a critiqué les obstacles placés par le ministère des Finances et le report du transfert de la convention de la démarcation des frontières maritimes avec la Chypre au parlement pour l'adopter".
"Cette position reflète la soumission de la décision nationale à l'étranger. Le gouvernement ne défère pas la convention devant le parlement sous prétexte de ne pas irriter tantôt la Turquie tantôt l'Arabie Saoudite, la France ou les Etats Unis et tout cela aux dépens des droits nationaux libanais" a-t-il déploré.
Enfin, il a souligné que "le refus turc de la convention est injustifiable puisque le Liban et la Chypre ont signé des relations diplomatiques".
"Lorsque les chypriotes grecs ont touché la soumission libanaise à l'étranger, ils ont discuté avec "Israël" de la manière de protéger ses intérêts" a-t-il conclu.