Hariri a parapharé le projet de la convention de sécurité française sans le mandat du conseil des ministres

Des sources ministérielles ont confirmé au quotidien 'Al Akhbar" que le Premier ministre Saad Hariri avait paraphé, lors de sa dernière visite de travail en France il y a quelques mois, le projet de la convention de sécurité entre les gouvernement libanais et français sans l'accréditation du conseil des ministres.
Actuellement, cette convention est suspendue à cause de ces clauses ambigues notamment le concept du terrorisme.
L'opposition exige la modification d'un article lié à « la lutte antiterroriste et une définition claire du mot "terroriste".
Les commissions parlementaires n’ont pas réussi, mardi soir, à voter cette convention suite à des réserves émises par l'opposition.
Le concept français du terrorisme est différent de celui libanais.
« La loi française qualifie le Hamas et le Hezbollah de terroristes, alors que ce sont des mouvements de résistance » avait expliqué le député membre du bloc parlementaire "Fidélité à la Résistance", Nawaf el-Moussaoui, appelant à « introduire des modifications à cette convention de manière à préserver les intérêts libanais ».