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Essuyant un échec militaire, "Israël " vise les civils

Essuyant un échec militaire,
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L'aviation et la marine israéliennes ont repris tôt ce matin leurs bombardements de la bande de Gaza, faisant huit morts au lendemain de la journée la plus meurtrière de l'offensive israélienne qui a tué 31 Palestiniens.

Trois Palestiniens d'une même famille, qui étaient en voiture dans le centre de la bande de Gaza, ont été tués lundi matin au cours d'un nouveau raid israélien, selon des sources médicales palestiniennes.
Quatre personnes dont un enfant de 5 ans et une femme de 20 ans, ont également péri dans unEssuyant un échec militaire, autre raid. En outre, un fermier de 50 ans a été retrouvé mort dans la ville de Beit Lahiya, dans le nord du territoire palestinien, selon des sources médicales.

Ces décès portent à 85 le nombre des Palestiniens tués depuis le début mercredi de l'offensive israélienne contre l'enclave palestinienne.

Outre un raid sur le quartier de Zeitun, l'aviation israélienne a également totalement détruit un bâtiment de la police de la ville de Gaza pendant la nuit de dimanche à lundi. Des navires de guerre israéliens ont également bombardé la bande de Gaza durant la nuit.

Dimanche, journée meurtrière
 
Dimanche a été la journée la plus meurtrière avec 31 Palestiniens tués, en majorité des femmes et des enfants, en dépit des efforts, en particulier de l'Egypte, pour tenter d'instaurer une trêve entre "Israël" et la Résistance palestinienne à Gaza.

Une famille palestinienne anéantie
 
Parmi les victimes de dimanche, 11 personnes, dont quatre femmes et cinq enfants, et neufEssuyant un échec militaire, membres d'une même famille, ont été tuées dans l'après-midi par un raid qui a détruit un immeuble de trois étages du quartier de Nasser dans la ville de Gaza.

Mohammad el-Dallou, sa femme et ses quatre enfants sont morts ensevelis sous les débris de leur maison en pierre de trois étages. Deux voisins de la famille el-Mouzzana, qui occupait la maison d’à côté, détruite par le raid, ont aussi trouvé la mort. Le père de Mohammad, Jamal el-Dallou, et son fils Abdallah, 17 ans, ont survécu.

"Le massacre de la famille Dallou ne restera pas impuni", ont averti les Brigades Ezzedine Al-Qassam, la branche armée du Hamas. "Ce massacre prouve que l'occupant se venge sur les civils de son échec militaire. Les Israéliens vont payer", a renchéri un porte-parole du mouvement, Sami Abou Zouhri.

Source: agences, édité par: moqawama.org

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