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Cheikh Qassem: Les USA sont le fléau du Liban, les concessions du gouvernement n’ont pas produit de résultats

Cheikh Qassem: Les USA sont le fléau du Liban, les concessions du gouvernement n’ont pas produit de résultats
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Par AlAhed

Le secrétaire général du Hezbollah, cheikh Naim Qassem, a affirmé, lors du premier anniversaire du martyre du leader médiatique Mohammad Afif, que hajj Mohammad était une figure éminente dans le domaine des médias, alliant la force de la plume dans l'écriture et la parole, la profondeur de la culture et de la conscience, ainsi qu'une vision claire et un parcours juste.

Il a souligné que le martyr a assumé la responsabilité des Relations médiatiques pendant plus de dix ans sous la supervision du Maître des martyrs de la nation, et que sa présence à ce poste a conféré une singularité au travail médiatique grâce à sa capacité à suivre l'actualité médiatique et à établir des relations avec divers médias, qu’ils soient amis ou opposants.

Il a ajouté que haj Mohammad Afif a su laisser une empreinte particulière dans le travail médiatique du Hezbollah. Après le martyre du Maître des martyrs, sayyed Hassan Nasrallah, il proposa d'organiser des conférences de presse successives pour éclaircir des questions qui ne pouvaient être abordées uniquement par les discours du secrétaire général. Ces conférences ont comblé des lacunes importantes et ont été le fruit d'une coordination continue pour transmettre les messages requis au public et à l'ennemi.

Cheikh Qassem a confirmé que le martyr Afif se distinguait par sa culture vaste et diversifiée, en particulier dans le domaine des médias, et son engagement sur le plan islamique, politique et de la Résistance. Il a précisé qu'il croyait fermement que les médias honnêtes fournissent à la société et aux politiciens un chemin précis pour leurs choix, tandis que les médias mensongers et trompeurs ne créent aucun chemin ni fondement. Il a souligné que le martyr appartenait à l'école du journalisme honnête, estimant que le public a le droit de connaître la vérité.

Il a également attiré l'attention sur les efforts de hajj Mohammad Afif pour mettre en avant l'image de la résistance et la transmettre en permanence, ajoutant : «Ils ont tué haj Mohammad Afif parce qu'il a réussi à promouvoir l'idée et le récit résistant que le Hezbollah voulait, exprimant la réalité de la Résistance islamique et de son public.»

Le secrétaire général a décrit le martyr comme un modèle d'analyse fiable et d'information juste, affirmant le rôle majeur qu'il a joué dans l'explication précise des concepts de la Résistance. 
Il a ajouté : «Tu nous manques, haj Mohammad. Tu étais une figure importante, un ami aimé, et tu étais étroitement lié à son éminence, sayyed Hassan. Tu as su laisser une empreinte significative dans le travail médiatique.»
Cheikh Qassem a adressé un salut particulier au père du martyr, l’érudit et combattant cheikh Afif Naboulsi, ainsi qu'à sa chère mère et à toute la famille, en insistant sur la nécessité de mentionner les quatre compagnons du martyr qui ont été tués avec lui et l'ont accompagné dans tous ses déplacements et activités: Moussa Haidar, Hussein Ramadan, Hilal Tormos et Mahmoud al-Charqawi, qui ont formé un soutien puissant pour lui, notant que leur martyre représente une grande fierté pour tous.

Le secrétaire général du Hezbollah a confirmé l'importance de protéger le champ médiatique en surveillant ce qui est diffusé comme messages et contenus, soulignant le rôle des médias dans la défense des droits et la divulgation des agressions commises par l'entité «israélienne» contre le Liban et la Palestine.

«Quelle image est plus claire que le droit de la Résistance à défendre le Liban contre l'agression israélienne ? Et quelle image est plus frappante que celle des massacres perpétrés, que ce soit au Liban ou en Palestine ? Le tableau le plus horrible est celui où l'agression tue des civils ou des journalistes sans pitié», s’est-il interrogé.

Il a adressé un salut particulier aux journalistes honorables qui ont été martyre au Liban, dans diverses institutions, pour leurs efforts évidents dans la divulgation de la vérité sur l'ennemi et l'exposition de ses crimes. Il a également salué les positions des médias libanais, arabes et internationaux qui se sont tenus aux côtés des peuples libanais et palestinien, et ont soutenu la résistance qu'il a qualifiée de noble et vaillante.

Cheikh Qassem a expliqué que l'ennemi a assassiné les journalistes parce qu'ils ont eu un impact réel en faisant ressortir la vérité sur le champ de bataille, en présentant les faits avec courage, et en faisant face aux médias des tyrans et des criminels. Il a mis en garde contre la sous-estimation des résultats des médias résistants et de ceux soutenant la Résistance, affirmant que leur ciblage est une preuve de leur succès, et que l'image qu'ils ont transmise au monde sur la Résistance est brillante et inspirante.

Il a également souligné que l'agression «israélienne» menace le Liban dans toutes ses composantes et n'accepte pas la stabilité. Cheikh Qassem a affirmé que l'unité du front libanais est le moyen de dissuader l'agression «israélienne» et de restaurer les droits, insistant sur le fait que l'entité israélienne doit se retirer des terres libanaises, arrêter les violations et libérer les prisonniers, tout en mentionnant la capacité des Libanais à se convenir entre eux, loin des ingérences extérieures.

Il a mis en garde contre le danger de certaines parties qui travaillent pour servir le projet israélien, notant que ce qui se passe actuellement au Liban n'est pas simplement une non-application de l'accord de cessez-le-feu, mais une agression manifeste visant à contrôler le Liban et à le dépouiller de toutes ses ressources, qu'elles soient militaires, économiques ou politiques, et à imposer un contrôle total sur le pays.

Concernant les récents événements, il a évoqué l’attaque contre la FINUL, qui a publié un communiqué affirmant que l'entité «israélienne» avait construit un mur au-delà de la ligne bleue, entraînant la perte de plus de 4000 mètres carrés de terres libanaises au profit de l'entité. La FINUL a confirmé que ses soldats avaient été directement touchés par des tirs «israéliens», risquant d'être blessés à quelques mètres.

Cheikh Qassem a expliqué que toutes les composantes libanaises se trouvent désormais face à cette agression, qui n'épargne personne : «Cette agression n'épargne ni la FINUL, ni l'armée libanaise, ni les civils, et elle ne souhaite en aucun cas qu'il y ait de la stabilité ni au sud du Liban ni dans le reste du pays.»

Il a réaffirmé que les attaques contre la FINUL, l'armée libanaise et les civils illustrent la gravité de la situation et l'expansion de l'agression, appelant à faire face à ce danger par tous les moyens diplomatiques et politiques, et à réfléchir sérieusement à toutes les voies pouvant mettre un terme à ces offensives.

Concernant la responsabilité du gouvernement libanais, il a insisté sur le fait que les institutions de l'État doivent réfléchir sérieusement et établir des programmes clairs pour faire face aux agressions répétées. Il a considéré que l'État doit préparer des plans complets pour lui permettre de faire face à l'agression «israélienne» continue.

Cheikh Qassem a fait remarquer que les envoyés internationaux, lors de leurs rencontres avec les responsables libanais, reconnaissent la légitimité des positions du Liban et confirment que l'entité «israélienne» intensifie son agression, tout en bénéficiant d'un soutien américain total. Il a ajouté qu'ils demandent souvent au Liban de «réagir» dans le cadre de la pression exercée sur la Résistance, ce qu'il a qualifié de soumission inacceptable.

Il a dénoncé la logique de la communauté internationale, qui reconnaît le droit du Liban à faire face à l'agression sans offrir d'options pratiques autre que la soumission aux exigences de l'entité «israélienne». Il a déclaré : «Que signifie de répondre aux demandes ? Cela signifie que nous devons nous soumettre. Pourquoi ? Est-ce qu'Israël a raison ? Ils disent non, vous avez raison, mais ils agressent. Cependant, nous n'avons rien d'autre en main. Non, nous avons une autre option ; l'agression est le problème, pas la Résistance. L'agression est le problème, pas les piliers de l'État ou l'armée libanaise. La performance de l'armée libanaise n'y est pas liée.» 

Cheikh Qassem a affirmé que le point de départ pour le règlement doit être de tenir l'ennemi responsable de l'escalade et de l'agression, et non de blâmer la Résistance ou les institutions de l'État national. Il a estimé que ceux qui qualifient la résistance de problème simplement parce qu'elle refuse de se soumettre, acceptent de donner à l'entité «israélienne» le pouvoir de jouer avec le sort du Liban.

«Nous n'acceptons pas cela, nous sommes partenaires dans ce pays et nous avons notre voix, avec une grande partie du peuple libanais, ainsi que de nombreuses forces politiques, et même l'État libanais lui-même. Personne n'accepte de livrer le Liban à Israël pour qu'il en dispose comme bon lui semble.»
Les concessions gouvernementales n'ont pas produit de résultats, dire non est la clé pour récupérer les droits libanais

Le secrétaire général du Hezbollah a adressé un message direct au gouvernement libanais, affirmant que le Hezbollah fait partie de ce gouvernement et aspire à son succès dans la construction et la libération du Liban. Il a souligné que les concessions faites par le gouvernement en cherchant à mettre fin à l'agression n'ont produit aucun résultat tangible.

Il a expliqué que le gouvernement avait commis une erreur en adoptant une politique de concessions dans l'espoir de mettre fin à l'agression, en précisant que les expériences de concessions répétées et les offres unilatérales n'avaient pas rapporté de bénéfice, n'ayant été accueillies par aucune réponse de l'autre partie. Il a ajouté que l'application des accords par le Liban avait été respectée pendant plus d'un an, tandis que l'entité israélienne n'avait respecté aucun de ses engagements.

Il a évoqué le plan de «monopole des armes» adopté par le gouvernement, qui a été modifié après avoir révélé ses dangers suite au rejet de la résistance et du peuple libanais, sans que ces initiatives ne trouvent écho chez l'autre partie.

Il a considéré que toutes les décisions concernant le déploiement au sud du fleuve Litani, ainsi que la préparation aux négociations et l'acceptation des principes de la feuille de route de Barrack, étaient autant de concessions du Liban qui n'ont pas été contrebalancées par des mesures de l'entité israélienne, sans que le Liban n'obtienne aucune garantie américaine, tout en continuant à faire face à des demandes de concessions supplémentaires.

Cheikh Qassem a conseillé au gouvernement d'abandonner cette approche et d'adopter une position ferme en disant : «Dites non pour défendre les droits du Liban, et unissons-nous tous dans cette position, même s'il y a ceux qui cherchent à contrôler ou à dépendre de l'étranger.»

Il a confirmé que le succès est possible si le peuple et le gouvernement se tiennent ensemble, et que la réalisation de l'indépendance, la libération de la terre et l'achèvement des étapes d'indépendance nécessitent l'unité des Musulmans, des Chrétiens et des différentes régions dans la lutte contre l'ennemi israélien et ceux qui le soutiennent, en défense des droits libanais.

Il a également insisté sur le fait que la demande fondamentale du Liban est la récupération des droits : «Nous voulons nos terres, nos prisonniers, notre stabilité, notre économie et notre politique, c'est un droit légitime pour tout le peuple libanais, et il est de notre droit d'en bénéficier en tant que citoyens actifs dans cet État.»

La tutelle américaine est un grand danger pour le Liban et les États-Unis sont la source des crises du pays

Dans son discours, cheikh Naim Qassem a mis en garde contre le danger de la tutelle extérieure sur le Liban, affirmant que cette tutelle ne vise pas la stabilité du pays, mais œuvre à approfondir ses crises et à alimenter les causes de la fitna et des tensions internes.

Il a précisé que les États-Unis ne sont pas un intermédiaire entre les parties libanaises, mais un acteur agressif, un partenaire direct dans l'agression menée par l'entité israélienne contre le Liban, soulignant que Washington guide l'entité «israélienne» dans la définition des limites de l'agression en fonction des mouvements politiques et des pressions internationales.

Il a indiqué que des déclarations officielles israéliennes confirment que toutes les opérations d'agression, de bombardement et de criminalité contre le Liban sont menées en coordination directe avec les États-Unis, notant que l'entité israélienne utilise ces agressions dans le cadre de l'exécution du rôle américain d'assistance et de soutien.

Cheikh Qassem a affirmé que «les États-Unis avaient perturbé la situation libanaise depuis 2019, alors que le pays a été témoin de manifestations populaires portant des douleurs réelles et des problèmes complexes. Cependant, l'interférence américaine et étrangère a introduit dans le mouvement populaire une situation de fitna interne visant à changer les rapports de force et à embrouiller la scène nationale.»

Il a souligné que l'objectif principal d'attiser la discorde interne était de semer le trouble et de plonger tout le monde dans une crise perpétuelle, permettant aux États-Unis d'intervenir et d'imposer leurs désirs sur la réalité libanaise. Il a ajouté que l'effondrement de la monnaie libanaise, la faillite des banques et les dégâts à l'économie sont tous des résultats directs des politiques et des interventions américaines.

«Si vous voulez savoir quelles sont les plus grandes calamités qui ont frappé le Liban, cherchez les États-Unis, car ils sont la source de toutes ces crises et ils dirigent cette politique destructrice.»

Cheikh Naim Qassem a affirmé que les éléments de corruption financière et politique au Liban, qu'ils aient agi dans le passé ou qu'ils continuent aujourd'hui, ne sont que des pions aux mains des États-Unis. Il a souligné le soutien de Washington à ces parties, désormais connues de tous, et a indiqué que la politique américaine continue de nuire à la vie des Libanais.

Il a rappelé qu'une délégation du département du Trésor américain a récemment visité le Liban dans le but de restreindre financièrement le Hezbollah, ce qui a des répercussions sur l'ensemble des Libanais. Cheikh Qassem a précisé que parmi les cibles de cette délégation se trouvait l'institution «Qard al-Hassan», qu'il a décrite comme une institution sociale qui sert tous les citoyens et constitue un poumon social dans des conditions économiques difficiles, facilitant la vie des pauvres et des nécessiteux de diverses communautés.
Il a affirmé que personne n'a le droit d'empêcher l'aide sociale, et qu'aucune partie ne devrait être un instrument d'une nouvelle agression, appelant le gouvernement, le gouverneur de la Banque du Liban et tous les concernés à mettre fin aux mesures qui aggravent la pression non seulement sur le Hezbollah et son public, mais sur tous les Libanais.

Cheikh Qassem a ajouté que les donations qui parviennent par divers moyens sont des contributions sociales destinées à la reconstruction et à l'aide des nécessiteux et des chômeurs au Liban de toutes les communautés. Il a évoqué les déclarations du président et de plusieurs leaders politiques de diverses communautés concernant «l'injection de venins» et les incitations à attiser la fitna entre les Libanais, tout en signalant qu'il existe des discours mensongers et des tentatives d'attiser la discorde pour pousser le Liban vers une tutelle américaine à l'intérieur et à l'extérieur.

Il a souligné que la destruction du pays touche tout le monde, sans exception, affirmant : «Bien que vous pensiez que vous ne détruisez que notre milieu, vous détruisez en réalité le vôtre, votre environnement populaire et vos enfants d'abord.» Il a mis en garde contre la continuation des provocations, notant que ceux qui concoctent le poison et attisent la fitna sont connus et que l'occupation se réjouit de leurs noms et de leurs paroles. «Mais en fin de compte, seul le droit demeurera, et ce sont les fils de la terre qui la récupéreront»

La campagne contre le président Berri est condamnée et vise la stabilité du Liban

Concernant les affaires internes, le secrétaire général du Hezbollah a déclaré que la campagne contre le président du Parlement, Nabih Berri, est un acte répréhensible sans justification, si ce n'est de tenter de faciliter la prise de contrôle du pays en évoquant une tutelle étrangère. Il a affirmé que le président Berri est un pilier fondamental pour assurer la stabilité du Liban et prévenir la fitna, contribuant à construire un État autonome et libéré.

Cheikh Qassem a rappelé qu'il existe une loi électorale qui doit être respectée, critiquant les appels à ce que les voix des expatriés soient comptées sur la scène locale. Il a précisé qu'une telle approche permettrait à une partie des Libanais de voter à l'étranger dans des conditions qui ne permettraient pas aux autres de jouir librement de leur droit électoral, en raison des circonstances de sécurité, de vie ou des pressions exercées par des États étrangers qui s'opposent à certains Libanais et les mettent sous pression.

Il a expliqué que les voix à l'étranger pourraient être utilisées pour servir des agendas internes sans garantir un climat équitable permettant à tous de participer. Cheikh Qassem a affirmé qu'il est impossible d'organiser un mouvement politique efficace ou de permettre aux gens de se rendre aux bureaux de vote si leurs intérêts sont menacés ou exposés à des menaces.

Il a conclu que, dans cette réalité, la justice et l'égalité sont absentes du processus électoral, et que certains refusent d'atteindre ces valeurs uniquement pour réaliser des gains supplémentaires selon leurs concepts, ce qui contredit le principe de collaboration et de gestion conjointe du pays.

Il a insisté sur l'importance de continuer à appliquer la loi électorale actuelle sans entrave ni manipulation, afin de préserver l'intégrité et la stabilité de la vie politique libanaise.
Les propriétaires de la terre sont ceux qui restent, la Résistance ainsi que le courage du peuple sont la clé de la victoire et de l'indépendance

En conclusion cheikh Naim Qassem a affirmé que les véritables propriétaires de la terre, qui portent l'étendard d'honneur, de fierté, de dignité, de résistance et d'indépendance, sont les véritables vainqueurs et resteront, quelles que soient les pressions et les défis.

Il a souligné que les fils de la terre font des sacrifices, mais qu'en fin de compte, ils récoltent les fruits de la liberté et de l'indépendance à partir du sang de leurs enfants, de leur patience et de leur résilience. Il a ajouté que les pressions actuelles, bien qu'intenses, ne réussiront pas à briser la volonté de ceux qui persistent, puisque le mal peut gagner une bataille, mais ne sortira vainqueur à long terme.

Cheikh Qassem a précisé que les âmes dignes refusent de vivre comme des esclaves sous l'autorité de quiconque et croient que la période actuelle est l'ère de la résistance et de la construction de l'avenir, notant que le niveau de force et de volonté du peuple et de la communauté au Liban est sans précédent. «Les ennemis sont déconcertés face à la cohésion et à la résilience de cette communauté».

Il a affirmé que des tentatives accentuées cherchent à décourager le peuple, mais que les fils de la nation ont prouvé qu'ils ont une détermination sans égale, et cette force collective ne peut être vaincue ni brisée.

Il a insisté sur le fait que la Résistance et ses alliés, soutenus par l'armée et tous ceux qui croient en la libération et l'indépendance du Liban, sont capables, avec la volonté de Dieu, de remporter la victoire et ne seront pas vaincus malgré la force des pressions et des défis.

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