Moscou et Pékin rejettent toute intervention armée en Syrie

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Guennadi Gatilov a déclaré que la Russie ne soutiendrait pas une résolution concernant une intervention militaire au Conseil de sécurité de l'ONU, réagissant à la déclaration du président français François Hollande qui n'avait pas exclu une intervention armée sous mandat de l'ONU en Syrie.
De même, la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Liu Weimin, a rappelé que "la Chine s'oppose à toute intervention militaire" et qu'elle "ne soutient aucun changement forcé de régime".
"La Russie juge prématurée toute nouvelle action de l'ONU contre la Syrie après le massacre de Houla", a-t-il également déclaré mercredi à l'agence russe Interfax, en riposte aux appels du chef de la diplomatie allemande Guido Westerwelle à convoquer une nouvelle réunion du conseil de sécurité de l'ONU.
De même, la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Liu Weimin, a rappelé que "la Chine s'oppose à toute intervention militaire" et qu'elle "ne soutient aucun changement forcé de régime".

"La Russie juge prématurée toute nouvelle action de l'ONU contre la Syrie après le massacre de Houla", a-t-il également déclaré mercredi à l'agence russe Interfax, en riposte aux appels du chef de la diplomatie allemande Guido Westerwelle à convoquer une nouvelle réunion du conseil de sécurité de l'ONU.
M. Gatilov. a estimé que la déclaration à la presse du président du Conseil de sécurité de l'ONU concernant les évènements tragiques à Houla avait été un signal assez fort pour la partie syrienne et représente une réaction suffisante du Conseil de sécurité de l'ONU.
"Nous avons toujours dit que nous sommes contre toute intervention extérieure dans le conflit syrien parce que cela ne fera qu'aggraver la situation pour la Syrie et la région et aura des conséquences imprévisibles, a souligné M. Gatilov.
Il a toutefois jugé opportun de discuter d'un mécanisme supplémentaire de contrôle sur la mise en œuvre du plan Annan.
Source: agences
"Nous avons toujours dit que nous sommes contre toute intervention extérieure dans le conflit syrien parce que cela ne fera qu'aggraver la situation pour la Syrie et la région et aura des conséquences imprévisibles, a souligné M. Gatilov.
Il a toutefois jugé opportun de discuter d'un mécanisme supplémentaire de contrôle sur la mise en œuvre du plan Annan.
Source: agences
Comments

« Israël » annule une mission de l’Unesco à al-Qods occupée
depuis 12 années