Des nouveaux scandales et des réalités surprenantes sur les dirigeants du TSL

Les complots se poursuivent contre la région arabe, parfois sous forme d’assassinat, et d’autre fois par le déclenchement de révolutions fictives sous le titre du printemps arabe, qui ne sont en effet qu’une nouvelle forme de la colonisation américaine et occidentale de notre région.
Sur ce sujet, Alintiqad.com a interviewé le directeur de l’institution « un monde unique pour la recherche et les médias », Saïd Doudine, qui a vécu de longues années en Allemagne. L’interview a porté entre autre sur les coulisses des événements de la région, à commencer par l’enquête internationale sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, passant par la stratégie de l’hégémonie sioniste, et arrivant au soi-disant "printemps arabe" et aux incidents en Syrie.
• L’enquête internationale sur l’assassinat de Hariri visait à coloniser le Liban
Sur ce point, Doudine rappelle les débuts de l’enquête internationale sur l’assassinat de Hariri, qui visait à cacher la vérité et à empêcher sa révélation. «L’officier Peter Fitzgerald, envoyé au Liban après le crime, était chargé de mettre en place les bases pour détruire l’institution sécuritaire libanaise, en prétendant que ses responsables sont impliqués dans cet assassinat. Cette stratégie fut adoptée par ceux qui ont défini la stratégie de Netanyahu pour la domination sioniste en 1996. La structure organisationnelle de ces derniers est derrière le projet de déstabilisation du Liban. Ce projet se basait sur cinq facteurs principaux :
1- changer l’équilibre de force en chassant l’armée syrienne.
2- détruire l’infrastructure du Liban en emprisonnant les quatre officiers. L’enquêteur international Detlev Melhis a joué le rôle primordial.
A ce propos, Doudine a indiqué que quelques heures après le crime, les personnes chargées de cette mission ont brandi les photos des quatre officiers, réclamant leur détention.
3- Evincer la présidence libanaise présidée par un chef patriotique, le général Emile Lahoud.
4- Brandir le slogan du désarmement de la résistance palestinienne et libanaise. Selon lui, il fallait changer l’équilibre de forces pour permettre aux colons sionistes et aux néoconservateurs d’envahir le Liban, soulignant que ces missions ont été parfaitement accomplies par l’officier de la police irlandaise, Gerhard Lehmann et Melhis.
• Gerhard Lehmann et nouveaux scandales
Doudine a révélé détenir des documents importants confirmant que le chef de l’enquête internationale Gerhard Lehmann a supervisé l’entrainement de la femme officier du Mossad israélien qui a commis l’attentat à Beyrouth contre le combattant palestinien Abou Hassan Salamé, le tuant ainsi que huit autres citoyens. Lehmann a dit avoir supervisé et orienté cette femme qui a vécu en Allemagne pendant quatre ans, ajoutant avoir bâti des liens très forts avec des Libanais avant le crime.
Il a souligné qu'un officier de renseignements allemands nommé Teddy a documenté ce crime dans son livre intitulé "le prince rouge", et que l'ami le plus proche de Lehmann a écrit dans son journal intime que ce dernier avait formé entre 1979 et 1982 un réseau d'espionnage qui a couté 6 millions Mark dans le but d'infiltrer la résistance libanaise et les institutions en Syrie, révélant que Bandar ben Sultan avait demandé des renseignements allemands les services de Lehmann pour son expérience dans la déstabilisation du Liban, et qu'il se trouve actuellement en Arabie Saoudite en tant que conseiller de Bandar ben Sultan pour déstabiliser la Syrie. Doudine insiste dans son interview que l'objectif principal de tout ce qui se passe est de mettre fin à l'esprit de la résistance et à l'institution de la résistance parce qu'elle est le seul obstacle à la mise en œuvre de la stratégie de la domination sioniste dans la région.
• Cassese nommé au Tribunal Spécial pour le Liban en récompense au mandat d'arrêt contre le Président Bachir
Par ailleurs, Doudine qualifie le président du TSL Antonio Cassese d'activiste sioniste, lui imputant la responsabilité de décréter le mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar elBachir. "Cassese était chargé par l'un des terroristes d'Argon, nommé Elie Fezel, de déstabiliser le Soudan, révélant que ce dernier avait fondé l'organisation Save Darfour ayant pour objectif d'envahir le Soudan. Il s'est dit étonné comment la presse libanaise, dont le journal du Futur glorifie Fezel et le présente comme étant un survivant de l'holocauste, et un détenteur du prix Nobel. Cassese a été envoyé au Soudan alors que son homologue Bent Jensen est parti au Tchad pour développer ensemble une légende mensongère sur le génocide au Darfour, à la base de laquelle Ocambo a décrété le mandat d'arrêt contre le Président Bachir, révélant que l'institution "un seul monde" possède des recherches sur ce sujet, et expliquant qu'à la base de cette légende et en récompense au mandat d'arrêt contre le Président Bachir, les sionistes ont désigné l'agent de la Mafia italienne en tant que Président du tribunal pour le Liban".
Alors que Doudine souligne que Cassese fut à la tête de la commission qui a publié un rapport prétendant le génocide au Darfour, il évoque une recherche basée sur des informations des archives du Congrès américain et du Sénat sur toute cette époque lors de laquelle on a avancé le chiffre de 30000 victimes au Darfour, mais les conclusions de ces recherches indiquent qu'il n'y eu de 3000 victimes seulement.
Par ailleurs, un autre rapport effectué par "un seul monde" et se basant sur les informations de l'institut de l'agence de la santé internationale en Hollande, a conclu que 80% de ces victimes ont été tuées lors de la destruction par les Etats-Unis de l'industrie AsShefaa en août 1998, ce qui les a empêchés de recevoir des soins médicaux, confirmant que ces personnes n'étaient jamais des victimes de violence.
• La légende d'Elie Fezel est une production du "Mossad"
Doudine poursuit: "Nous avons effectué une recherche pendant deux ans dans les archives d'Auschwitz et de Bekhenvald. Elie Fezel prétend être un survivant de l'holocauste, pourtant nous avons démontré qu'il n'a jamais été dans les camps Nazis. Par ailleurs, le roman pour lequel il a reçu le prix de la paix (l'histoire de Naytoyl Lyle) a été publié en 1954 par un écrivain hongrois nommé Niklas Grener. Fezel a confisqué la biographie du prisonnier en question et l'a traduite en français en son nom.
Doudine souligne également que son institution a achevé une recherche de deux ans et demi, précisant qu'un livre sera publié prochainement sous le titre "une contribution à infirmer l'esprit raciste" qui met l'accent sur toutes les ridiculités de l'holocauste.
Il ajoute que Fezel est un officier d'argon sioniste, qui fut adopté plus tard par le Mossad. Ce dernier a fait de lui une légende, Fezel est ainsi devenu responsable de la judaïsation d'alQods et il est l'un des dirigeants sionistes les plus extrémistes aux Etats-Unis. Si Netanyahu a un problème quelconque avec Obama, il demande l'aide de Fezel pour le résoudre.
• Des dirigeants libanais participent efficacement au projet de déstabilisation du Liban
Le chercheur palestinien précise que Paris est le centre principal actuellement pour la poursuite des projets de l'invasion de la région arabe, et que les dirigeants sonistes français sont parmi les plus fanatiques en Occident. Il révèle que des dirigeants politiques libanais participent à la structure organisationnelle oeuvrant pour la déstabilisation de la sécurité et de la stabilité au Liban et en Syrie, dont un ancien Président.
Et d'ajouter: Nous avons une liste de noms des membres qui ont mis en place la stratégie des forces du 14 mars dont "Richard Perle, Douglas Feith, et David Wounser". Ce sont ces mêmes responsables qui ont mis en place le projet de la domination de Netanyahu. C'est ainsi que la structure organisationnelle formée de Zyad Abdel Nour, Eliot Abrams, Samir Boustani, John Castle, Angelio Codovila, Nabil Hajj, Eliot Abjir, Philippe Einstein, Douglas Feith, Frank Gafni, Richard Hill, Habib Malek, Dani Nassif, Richard Perle, Daniel Pipes, Nina Rosenveld, Michel Roubin".
"D'autres éléments forment la structure organisationnelle, dont le soi-disant gouvernement libanais à l'étranger, qui siège rue 59, du roi George à AlQods occupée. Son président effectif est un officier de Mossad, alors que dans la forme on parle de Zyad Abdel Nour. De plus, une commission formée de sept journalistes fait partie de cette structure. Elle est chargée de s'attaquer au commandement de la résistance en général, et au secrétaire général du Hezbollah plus précisément. Cette commission réside à Beyrouth, deux de ses membres sont responsables d'inculquer au faux-témoin Zouheir Siddik les mensonges impliquant la Syrie dans l'assassinat de Rafic Hariri devant l'enquête internationale.
"Le plus dangereux de cette affaire c'est que cette structure organisationnelle à Beyrouth collaborent avec des directions israélo-sionistes et des dirigeants de l'extrême droite aux Etats-Unis, et tout ce qui se passe au Liban et en Syrie se fait avec la coordination avec cette direction", ajoute l'écrivain palestinien.
Doudine insiste sur le fait que "les sionistes ne s'intéressent qu'à la résistance dans cette région et tout le reste est secondaire", révélant que plus de 4 milliards de dollars ont été versés en ce sens.
Melhis, une histoire de collaboration avec le Mossad et de fabrication de faux-témoins
Doudine qualifie l'enquêteur international Detlev Melhis de "personne ridicule" dirigé par Lehmann, révélant que Melhis avait dit lors d'un procès en 1993, qu'il va obliger la Syrie de capituler. Il a expliqué comment l'enquêteur international dans l'assassinat de Rafic Hariri fut derrière l'emprisonnement d'un de ses amis en 1993, et ce dernier a été condamné à 27 ans de prison (il est toujours en prison) à la base d'un faux-témoignage fait par le directeur du bureau d'Abdel Halim Khaddam, Nabil Chritah, actuellement en Allemagne. Il a indiqué que Melhis avait envoyé Gerhard Lehmann à l'époque pour rencontrer Khaddam, mais ce dernier lui a proposé le directeur de son bureau qui a fait un faux-témoignage contre son ami qui avait vécu trois ans en Syrie. De cette façon, Melhis a reçu l'aide de Khaddam en 1993 à travers de faux-témoignage. Depuis cette époque, j'avais considéré Khaddam comme espion.
Concernant l'affaire du café La Belle, le chercheur palestinien souligne que la plupart de ce qui était écrit à propos fut des mensonges, révélant une opération de fabrication unique en son genre effectuée par le Mossad israélien pour accuser la Lybie. Selon lui, un officier du Mossad appelé Ostrovski avait écrit un roman sur le café La Belle. Il avait souligné: "j'ai été ordonné par le Mossad d'aller avec la marine israélienne à Benghazi et là-bas nous avons implanté une machine (cheval de Troy). Ensuite, la marine israélienne a diffusé des appels qui ont été captés et rediffusés par l'appareil. Ces appels étaient en effet des ordres pour effectuer des attaques explosives.
Les Américains avaient capté ces signaux, selon Ostrovski, et les Israéliens ont fait de même. Doudine ajoute que pendant les procès dans l'affaire de La Belle, Melhis a repris durant l'enquête les propos de l'ancien Président américain Donald Reagan contre la Libye. Sachant que l'officier du Mossad en question était présent au Canada et son adresse était connu, mais Mlehis avait refusé de le convoquer pour témoigner.
Dans une autre affaire, Doudine souligne qu'un collaborateur palestinien avec le Mossad est recherché par les autorités allemandes pour accusation de meurtre prémédité, mais Melhis a refusé la mise en œuvre du mandat d'arrêt à son encontre.
Doudine révèle comment le Mossad recrute Melhis et ses homologues. En effet, des associations sionistes reconnues officiellement en Allemagne en tant qu'associations caritatives. Ces dernières appellent Melhis et d'autres à participer à leurs congrès et à y intervenir pendant une demi-heure, et leur paient 10000 euros prélevés des taxes.
* Le problème de Melhis: prérogatives limitées
Doudine estime que le problème de Daniel Bellemare est ses prérogatives limitées qui lui ont été octroyées, assurant que les véritables criminels se trouvent aux Nations Unies, et que lorsque Melhis fut informé de sa nomination comme président de l'enquête internationale dans l'affaire de l'assassinat de Rafic Hariri, il était présent chez Refaat elAssad en Espagne, en compagnie d'un officier libanais.
"Le complot a été préparé par la même structure organisationnelle qui sert l'organisation sioniste internationale ayant un projet de domination intitulé "les rêves hitlériens". Cette organisation avait incité les Etats-Unis à combattre en Géorgie, et ont envoyé 7000 soldats géorgiens d'origine juive avec un ministre de défense israélien (le ministre de défense géorgien possédait la nationalité israélienne). Là-bas, ils ont construit deux aéroports interdits d'accès devant l'armée géorgienne. De ces aéroports ont décollé les avions qui ont bombardé le site présumé à Deir elZurr. Le Mossad israélien est actuellement au Yémen. Il y a construit deux aéroports.
* Les Israéliens ont tué Hariri
Interrogé sur les raisons pour lesquelles les enquêteurs internationaux ont écarté la possibilité de l'implication d'Israël dans l'assassinat, Doudine a répondu: "Tout simplement, parce que les Israéliens ont tué Hariri, et ils ne veulent pas aborder cette hypothèse. J'ai parlé à des dizaines de membres du parlement européen et des parlements locaux qui avaient tenté de convaincre Hariri de deux choses: garder la nature raciste des colonies sionistes en approuvant l'implantation des Palestiniens ailleurs, et combattre la résistance. Mais Hariri a refusé les combats intestins et la guerre civile destructrice, pour cette raison ils l'ont tué.
S'agissant l'acte d'accusation publié par le procureur général du tribunal international, Doudine souligne que les experts de l'enquête pénale aux universités de Berlin, informés de la teneur de l'acte d'accusation, ont trouvé que les preuves présentées ne suffisent pas pour décréter un ordre de fouille d'une maison dans un village!
* Des documents sur le complot de certaines parties sur la résistance en guerre de 2006
Doudine dit posséder des documents importants qui confirment l'implication de l'un des ministres du gouvernement libanais dans les bombardements sionistes sur le complexe de l'imam Hassan, dans la banlieue Sud de Beyrouth. L'un des rédacteurs de l'institution d'un seul monde avait demandé au ministre de la justice israélien sur les raisons de ces bombardements. Ce dernier avait répondu qu'Israël, et pour la première fois, menait une guerre pour défendre un gouvernement arabe, lui montrant un document présenté par un ministre libanais qui indique où se trouvait Sayed Hassan Nasrallah.
* La Turquie et l'Arabie Saoudite avaient préparé les événements en Syrie 17 mois auparavant
Doudine révèle que les événements en Syrie avaient été préparé par la Turquie et l'Arabie Saoudite 17 mois auparavant, soulignant que Bandar ben Sultane avait demandé des renseignements allemands de lui prêter Gerhard Lehmann pour sa longue expérience au Liban. Des sommes d'argent considérables ont été versées pour déstabiliser la Syrie. On payait dans certaines villes syriennes 1000 livres syriennes en échange d'une information sur une telle localité ou une telle prison.
Source: Alintiqad- Moussa Ali Moussa
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