noscript

Please Wait...

achoura2025

 

Hariri… l’As du cœur le plus recherché sur le site de la commission américaine pour un Liban libre

Hariri… l’As du cœur le plus recherché sur le site de la commission américaine pour un Liban libre
folder_openExclusivités access_time depuis 13 années
starAJOUTER AUX FAVORIS

Source: Alintiqad- Moussa Ali Moussa
Traduction: Sanaa Mazbouh

Nouveau scandale concernant l'affaire de l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri à l'intention de Daniel Bellemare, des dirigeants du tribunal international et de l'opinion publique au Liban et ailleurs. Ce scandale se rapporte à la commission américaine pour un Liban libre USCFL qui avait préparé un dossier sécuritaire complet sur Hariri avant son assassinat et avait publié sa photo sur l'As du cœur sous l'expression "le plus recherché"! C'est cette même commission qui avait adressé un mémorandum à l'Elysée et à la Maison Blanche le jour de l'assassinat de Hariri appelant à libérer le Liban et à changer le régime en Syrie. Ce qui pousse à se demander: Rafic Hariri avait-il été assassiné par un réseau tripartite formé de forces de l'opposition libanaise organisée à l'extérieur, du Mossad israélien et des néoconservateurs à Washington? 
Cette question s'avère importante, à la base des faits confirmés qui n'ont pas été abordés par les enquêteurs internationaux successifs. Parmi ces faits on souligne qu'après l'assassinat de Hariri, une page internet propre à "la commission américaine pour un Liban libre" a publié la photo de Rafic Hariri le décrivant comme étant "le plus important agent syrien au Liban". Cette photo est restée plusieurs semaines sur cette page après l'assassinat de Hariri avant d'en être éliminée plus tard.

Hariri… l’As du cœur le plus recherché sur le site de la commission américaine pour un Liban libreUn autre fait non moins scandaleux doit être cité: le Président de ladite commission Zyad Abdel Nour, avec la collaboration de son collègue Gary Campbell, a préparé un dossier sécuritaire complet sur le Président Rafic Hariri juste avant son assassinat, ils semblaient détenir beaucoup d'informations sur les mesures sécuritaires propres à leur "adversaire politique" Rafic Hariri. Dans ce rapport sécuritaire publié sur les pages des "renseignements du Moyen Orient", (dossier 3 numéro 7 Zyad/Gary), on raconte que "la limousine du milliardaire et du Premier ministre Rafic Hariri dans laquelle il circule à Beyrouth est équipée d'un appareil capable de saboter toute tentative d'assassinat par des voitures piégées. Les téléphones portables ne fonctionnent pas dans la zone proche de sa voiture, et à chaque fois qu'il quitte sa maison, ses gardes effectuent une patrouille dans  les rues pour parer à toute tentative d'assassinat éventuelle".

Le quotidien allemand "Die Welt", après trois jours de l'assassinat, a publié de nouveau ce qu'a mentionné Abdel Nour dans son rapport sécuritaire mentionné ci-dessus: "La voiture Mercedes appartenant à Hariri est hautement blindée et équipée de systèmes sophistiqués pour avorter toute attaque, dont un appareil de brouillage très fort qui affecte les bombes téléguidées à distance. L'appareil de brouillage de Hariri était tellement fort que son convoi pouvait affecter la réception radio ou télévisée à Beyrouth à son passage, dans un entourage de 500 mètres".
A ce sujet, la journaliste au Sunday Times avait rapporté d'un expert sécuritaire que "celui qui avait fabriqué les bombes, a fabriqué des bombes plus sophistiquées que les appareils sophistiqués de Hariri".

* Qui est la commission américaine pour un Liban libre? 

En 1997, la commission des Etats-Unis pour un Liban libre USCFL, qui est une organisation libanaise opposée,Hariri… l’As du cœur le plus recherché sur le site de la commission américaine pour un Liban libre jouit d'une large influence sur les autorités suprêmes à Washington. Elle a été mise en place par un homme d'affaires d'origine libanaise,  et de nationalité américaine, nommé Zyad Abdel Nour. Cette commission promeut l'idée de la "démocratisation" de la région à partir du Liban, selon une approche idéologique à la manière des néoconservateurs et de leur projet politique de la région basé sur un nouveau Moyen Orient.
Cette commission affiche ouvertement son animosité à la Syrie, au Hezbollah et à l'Iran, et est fière de ses efforts visant à renverser le régime syrien et à démanteler les armes du Hezbollah, dans la perspective de "répandre la démocratie dans la région". Elle croit également à la collaboration avec "Israël" et qu'il est temps de signer un accord de paix entre le Liban et "Israël".
Hariri… l’As du cœur le plus recherché sur le site de la commission américaine pour un Liban libre
La commission américaine pour un Liban libre entretient des relations avec des parties prétendant "l'expansion de la démocratie" à l'instar de "l'institut de projets américain", "le congrès des présidents de grandes organisations américaines", "l'institut juif pour les affaires de la sécurité nationale", "la coalition juive républicaine", "la société de défense de la démocratie", "le congrès du Moyen Orient", "l'institut Hudson", et d'autres lobbies qui défendent fortement "Israël". 

"La commission du Liban libre" glorifie l'ancien président libanais et le chef actuel du parti des phalanges Amine Gemayel pour avoir signé l'accord de 17 mai avec "Israël" en 1983. Elle appelle par ailleurs "Israël" à réoccuper le Liban, son premier objectif fut de mettre fin à la présence syrienne au Liban.

En 2002, Abdel Nour a écrit en collaboration avec l'un de ses collègues néoconservateurs Daniel Pipes le document de la commission politique sous le titre "Mettre fin à l'occupation syrienne du Liban: rôle des Etats-Unis". Sachant que les deux avaient écrit "le bulletin des renseignements du Moyen-Orient", un projet du congrès du Moyen-Orient néo-cosmique, une source principale de l'agence des renseignements américains.
"La commission américaine pour un Liban libre" regroupe des émigrés libanais. Abdel Nour avait recruté un bon nombre de personnalités connues parmi les néoconservateurs, et le Likoud juif pour travailler avec lui. Il a formé une commission qu'il a appelée "le conseil consultatif international" chargée d'assurer toute forme de soutien à la commission qui doit élaborer la politique étrangère américaine envers le Liban. Ce conseil regroupe des personnalités politiques, militaires ayant une longue histoire de complot, dont des personnalités américaines et israéliennes connues. Par ailleurs, ce conseil regroupe des personnalités politiques libanaises et des députés actuels au Parlement libanais, dont les députés Boutros Harb et Dori  Chamoun, défini par le site électronique de la commission comme étant un "politicien libanais présidant le parti national libéral/principal membre du rassemblement de Qornet Chehwan, qui est une coalition de politiciens, d'académiciens et d'hommes d'affaires opposés aux forces prosyriennes et à la coalition du 8 mars, ainsi qu'à l'influence syrienne au Liban. Parmi les personnalités appartenant à ladite commission: le Président du front de la liberté Fouad Abou Nader, le membre de la société des droits de l'homme Habib Malek, l'ancien candidat à la présidence libanaise l'avocat Chebli Mallat, le membre du conseil administratif de l'université libano-américaine à Beyrouth Wadih Jordan, l'activiste libanais Fadi Nahhas, l'activiste libano-américain Zyad Nassar, le directeur de la chaine "AlHurra" et de la radio Sawa Daniel Nassif, le président de la société libanaise pour la paix Naji Najjar qui est un membre de coordination entre le Mossad israélien et les renseignements américains la CIA.  

Parmi les personnalités américaines et israéliennes au conseil consultatif international de la commission libano-américaine pour la liberté, on cite:
- Michael Lidin: expert dans les affaires du Moyen-Orient à l'institut "American Entreprise", conseiller à "l'institut juif pour les questions de sécurité nationale", fondateur principal de "la coalition pour la démocratie en Iran", un ancien conseiller aux ministères de la guerre et des affaires étrangères américaines, ancien assistant du ministre des affaires étrangères pour les question politiques, et ancien conseiller de la sécurité nationale.
- Morris Amitay est ancien président du lobby sioniste AIPAC et ancien président de l'institut juif pour les affaires de la sécurité nationale JINSA.   
- Thomas Patrick Carol: écrivain spécialisé dans les affaires de l'espionnage et des affaires étrangères et de renseignements au Moyen-Orient.
- Daniel Pipes, fondateur et directeur du congrès du Moyen-Orient, connu pour son animosité aux musulmans et aux arabes et son soutien illimité à "Israël".
- Jonathan Scansir, directeur du centre des politiques juives, ancien analyste de la lutte contre le terrorisme au ministère du trésor américain.
- Gary Campbell, ancien rédacteur d'un centre d'étude sur le Moyen-Orient, et ancien rédacteur du bulletin des renseignements au Moyen-Orient. 
-Farid ElGhadiry, qualifié par Abdel Nour comme étant le "partenaire fondateur", il est président du parti "de réforme syrien" opposé au régime syrien du président Al-Assad.
-Mathieu Levit, directeur du programme Stine pour la lutte contre le terrorisme et les renseignements à l'institut de Washington pour la politique du Moyen-Orient, vice-assistant  aux affaires de renseignements et d'analyses au ministère du Trésor américain (07-2005), et ancien agent pour la lutte contre le terrorisme au bureau des investigations fédérales FBI.
- Michael Robin, chercheur dans les études de la politique étrangère et défensive à l'institut American Enterprise (le plus important centre de recherches politiques proche des néoconservateurs).
-James Woolsi, ancien directeur de l'agence des renseignements centrale (5 février 1993-10 janvier 1995)
Sachant que la plupart des membres du "groupe doré de la commission américaine pour un Liban libre" travaillent au  centre d'études des néoconservateurs "le congrès du Moyen-Orient", fondé en 1990.

Ce centre est considéré comme étant l'un des plus importants et nouveaux laboratoires intellectuels impérialistes, le plus connu et le plus influent. Par ailleurs, la plupart d'entre eux sont des membres à l'institut juif pour les affaires de la sécurité nationale, lié directement au Mossad.

Mais la question fondamentale qui se pose est la suivante: Quel est le lien entre des députés libanais et des personnalités politiques et de renseignements israéliennes, des pôles du lobby sioniste aux Etats-Unis d'une part, et des membres "de la commission libano-américaine pour la liberté" qui affiche ouvertement son animosité au Hezbollah, qui le qualifie de "parti terroriste", qui réunit tous ses efforts pour lutter contre lui et déformer son image, alors qu'elle cherche en contrepartie à signer un accord de paix avec "Israël"? Cette commission n'a pas honte d'inclure tous ces objectifs dans ce qu'elle considère être les dix commandements auxquels elle croit et agit à leur base d'autre part.

Hariri à la liste des assassinats 

 Mais comment Hariri fut-il placé sur l'As du Cœur sur le site électronique de la commission américaine pour un Liban libre, et fut-il devenu la cible de ceux qui œuvrent avec les Israéliens et les néoconservateurs pour provoquer des renversements et des changements sociaux en Syrie et au Liban?

Dimanche le 29/8/2004, à 20h45 Temps de New York, et à l'instar de la liste publiée par le ministère américain à la Défense (Pentagone) pour rechercher l'ancien Président irakien Saddam Hussein et les dirigeants du parti Baas, sous forme du jeu de cartes français, comprenant les photos et les noms des Irakiens recherchés, Zyad Abdel Nour a envoyé un e-mail électronique sous le titre: "Vérifiez les grands agents libanais travaillant pour le compte de la Syrie… et soyez vigilants".

Abdel Nour a demandé à ceux qui ont reçu sa lettre de publier les photos de ces "agents" sur des sitesHariri… l’As du cœur le plus recherché sur le site de la commission américaine pour un Liban libre électroniques déterminés, dont le site appartenant à la commission américaine pour un Liban libre, (http:www.freelebanon.org). donc, quiconque accédait au site en question, même après l'assassinat de Rafic Hariri, pouvait voir à la tête de la liste des cartes, l'ancien Président libanais Emile Lahoud, nommé « le Président collaborateur", et l'ancien Premier ministre Rafic Hariri sur l'As du cœur sous le titre "le plus recherché". D'autres personnalités figuraient aussi sur la liste des cartes, comme le chef du Parlement Nabih Berri, le vice-Premier ministre et l'ancien ministre Michel elMurr, l'ancien vice-président du Parlement Elie Ferzli, le chef du parti socialiste progressiste le député Walid Joumblat, l'ancien vice-premier ministre Issam Farès, l'ancien ministre Elyas elMurr, alors que le joker est Elyas Houbeyka dont la photo fut barrée par un grand X rouge après avoir été assassiné par une voiture piégée à Beyrouth le 24 janvier 2002.

La lettre d'Abdel Nour est restée plusieurs jours sur le site électronique en question après l'assassinat de Hariri, jusqu'à ce que le lien fût bloqué quelques jours après son meurtre. Le journaliste au quotidien suisse "La semaine" Norber Mattis a écrit le 24/4/2005 commentant ces informations: "Il semble que l'As du cœur, Rafic Hariri, fut très embarrassant pour ces prêcheurs de la haine". 

Autre chose plus flagrante à signaler: Zyad Abdel Nour avait reconnu dans une interview de presse que cette photo avait figuré bel et bien sur le site de la commission, expliquant qu'elle fut désignée par l'un des partisans de la commission américaine pour un Liban libre. Mais il a prétendu qu'elle est restée quelques jours après l'assassinat par inattention du superviseur du site, selon lui. Tentant de justifier le changement de la position de cette commission envers Hariri après son assassinat, Abdel Nour a dit: "Hariri a cessé sa collaboration avec la Syrie, et n'est plus resté une marionnette pour la Syrie comme il l'était avant son assassinat".

L'histoire de l'As du cœur nous rappelle la bombe de Zahrani qui fut découverte et démantelée par les renseignements de l'armée vers la fin de l'an 2005. Il s'est avéré ensuite que cette bombe était israélienne et qu'elle visait le chef du Parlement Nabih Berri. Ce qui laisse poser la question suivante: Cette bombe faisait-elle partie d'un long feuilleton mis en œuvre dans le cadre du plan de la liste des cartes du jeu français, publiée par "la commission américaine pour un Liban libre" sur son site électronique, et surtout après s'être débarrassé du joker (le ministre Houbeyka), et liquidé l'As du cœur, ce qui s'appliquerait également sur la tentative d'assassinat de l'ancien ministre Elyas elMurr?

Mais la liste de cibles en question ne fut pas le lien unique entre ladite commission et l'assassinat de Hariri, de façon à donner l'impression que ses membres savaient à l'avance les répercussions de cet assassinat. Malgré ceci, les enquêteurs internationaux dans le crime de Hariri n'ont pas pris le soin de rechercher ni de convoquer les responsables de ce site de la commission américaine pour les interroger. Pourtant, ce qui a été publié constitue des indices circonstanciels et une présomption sérieuse sur l'implication de cette partie dans l'assassinat ou au moins sur sa connaissance préalable de cet assassinat, surtout que la lettre complète le dossier sécuritaire préparé par Abdel Nour sur les déplacements du Président Hariri avant son assassinat. De plus, les suspicions augmentent encore plus si on lui ajoute le mémorandum publié par "la commission américaine pour un Liban libre" sur son site électronique le 14/2/2005, c'est-à-dire le jour même de l'assassinat de Hariri, et adressé à la Maison Blanche et à l'Elysée, appelant à "changer le régime en Syrie, à libérer le Liban" et à "sauver les Syriens des baasistes nazis".

Abdel Nour avait envoyé cette demande, rédigée par l'opposant syrien Farid ElGhadiri à ses collègues via internet, les appelant à la signer personnellement. Ceci laisse supposer que la commission était au courant du crime à l'avance, et qu'elle pavait le chemin pour la piste qui déterminera les suites des événements après l'assassinat de Hariri. Telle fut la conclusion du fameux journaliste français Thierry Meyssan dans son livre "le grand mensonge 2", lorsqu'il est parvenu à dire qu'un groupe proche de la CIA nommée "la commission américaine pour un Liban libre" savait à l'avance le crime de Hariri. Il a confirmé, à la base de documents du Pentagone et des centres de prise de décision aux Etats-Unis, qu'"Israël" et les Etats-Unis ont profité de l'assassinat de Rafic Hariri, révélant que l'offensive israélienne sur le Liban en 2006 avait été planifiée depuis très longtemps, et qu'elle se figurait à l'avance un départ définitif des forces syriennes du Liban, pour que ce pays reste sans aucune défense, en l'absence du Président Rafic Hariri afin d'éloigner toute influence française.

Les conclusions de Meyssan coïncidaient avec les déclarations d'Abdel Nour dans une interview de presse après l'assassinat de Hariri. Il était ferme et décisif en parlant de l'avenir de la Syrie et du Président Bachar elAssad. Il avait dit que les régimes syriens et libanais seront changés dans six mois, soit à travers un coup d'Etat militaire ou autrement (s'agirait-il d'une agression militaire israélienne comme ce fut le cas en juillet 2006)?

Abdel Nour avait ajouté: "Nous œuvrons pour cette fin, et nous savons à l'avance quelles seront les alternatives. Nous collaborons avec l'administration de Bush à ce sujet. Je sais bien combien les choses se passent, je suis informé des renseignements secrets en possession de la CIA partout dans le monde. Je sais parfaitement ce qui se passe, et ce qui aura lieu". 

Abdel Nour avait reconnu à l'époque qu'"Israël" est l'Etat numéro 51 des Etats-Unis, il ne s'était pas opposé à une grande ingérence américaine au Liban, économiquement, militairement, politiquement, ou autre.
"Pourquoi le Liban ne peut-il devenir l'Etat numéro 52?", s'est-il demandé, concluant que "si cette proposition ne plait aux Arabes, ils seront perdants". 

* Ils savaient au sujet de la révolution du Facebook deux ans auparavant!

En consultant le site de la commission, USCFL, nous sommes surpris par l'un des articles publiés le 25 aoûtHariri… l’As du cœur le plus recherché sur le site de la commission américaine pour un Liban libre 2009 sous le titre: "Qu'est-ce qui effraie Assad en Syrie?". Le site présente plusieurs réponses, on en cite: "Assad a peur d'Israël, du tribunal de Hariri, d'une alternative à son régime, et Assad a peur de Facebook, parce qu'à travers lui les Syriens peuvent organiser leur révolution en secret et à distance contre son régime, de sorte qu'il ne puisse pas la contrôler".

Et d'ajouter: "A chaque fois qu'une nouvelle campagne voie le jour sur Facebook, Assad se mobilise rapidement pour mater toute révolution ou pour perdre le temps dans l'analyse de ce qui s'est passé".
La commission conclut son article: "Mais certains opposants syriens suivent un plan secret et méthodique pour utiliser Facebook en leur faveur".  

* La victoire du 14 mars aux élections a placé le Liban sur le chemin de la paix

A la suite des élections parlementaires qui a eu lieu au Liban en juin 2009, la commission américaine pour la liberté a adressé une félicitation spéciale pour l'administration américaine sous le titre: "Les citoyens libanais ont dit leur mot", considérant que "la victoire des forces du 14 mars est un fort soutien aux principes et aux valeurs américaines au Moyen-Orient".

Elle s'est dit reconnaissante pour le gouvernement américain pour le soutien moral et stratégique offert au peuple libanais pour choisir ses représentants, considérant que les efforts déployés par les responsables au Département d'Etat, au Congrès et à l'administration, et le soutien du Président Obama à la diversité religieuse et démocratique au Liban avaient joué un rôle majeur dans la victoire de "la voix de la paix".  Selon elle, les élections fut un    sur les armes du Hezbollah et le rôle de l'Iran au Liban", qualifiant la soi-disant "victoire démocratique" de nouvelle étape qui a placé le Liban sur la voie de la paix.        
   


 

//