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Netanyahu: "Israël" a le droit et le devoir de maintenir ses frontières

Netanyahu:
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Le Premier ministre Netanyahu: Israël a le droit et le devoir de maintenir ses frontières
Source: " Haaretz-Barak Rabid "

Dans le cadre de leur détermination à organiser des manifestations massives vers les frontières avec Israël le dimanche prochain à l’occasion du jour de la défaite (qui symbolise le 44eme anniversaire de la défaite des forces arabes lors de la guerre des six jours), le Premier ministre Benjamin Netanyahu a adressé un message à la Syrie et au Liban. Il a déclaré au début de son discours à la conférence du High Tech à Jérusalem "J’ai donné des instructions aux services de sécurité de faire preuve de retenue, mais en même temps de travailler de façon ferme afin de maintenir la sécurité de nos frontières ainsi que celle de nos colonies et de nos citoyens."
Netanyahu a ajouté que l'Iran, la Syrie, le Hezbollah et le Hamas étaient derrière les tentatives de pénétrations des frontières avec Israël le "jour de la Nakba" (la catastrophe) le 15 mai. Il a déclaré: "ils aveint participé à l'incitation." "Ces parties vont de nouveau tenter de défier la souveraineté d'Israël dans les prochains jours. Et comme dans tous les pays, Israël a le droit et le devoir de protéger et de défendre ses frontières."
D’un autre coté, un des chefs du Fatah au Liban a annoncé au début de la semaine l'intention de certaines organisations palestiniennes d'organiser des manifestations vers la frontière avec Israël dimanche prochain à l’occasion du "jour de la défaite."
De plus, l'armée libanaise a annoncé aujourd'hui la zone frontalière avec Israël comme zone militaire fermée pour empêcher les manifestants palestiniens d'atteindre le lieu.
Certaines parties libanaises ont estimé que cette décision a été prise pour réduire le niveau de prévisions et empêcher l'approche effective de la frontière.
Une source libanaise non officielle a déclaré au "Ha'aretz" que les appels des manifestants ces derniers jours, en particulier ceux lancés par le secrétaire général du Hezbollah (Sayyed) Hassan Nasrallah, sont le résultat des intérêts politiques internes. Selon lui, toute partie, y compris le Hezbollah, n’est pas intéressée à une confrontation avec Israël.
Selon des parties au Liban, également en ce qui concerne l'incident précédent, quand les manifestants se sont approchés de la frontière à Maroun al-Ras le jour de  la "Nakba", l'armée libanaise n’était pas intéressée à la confrontation. Cependant, les forces qui étaient en place, environ 200 soldats, n'ont pas réussi à repousser la foule et l'empêcher de s'approcher de la clôture.

Fin de la joie des manifestants - une déception
Source: "Israël aujourd'hui - Eyal Zisser"

"Dimanche prochain, le monde arabe va commémorer le jour de la « Naksa », l'anniversaire de sa défaite lors de la Guerre des Six Jours. Ce fut l’ancien président égyptien Gamal Abdel Nasser qui a choisi le terme défaite – faible coup ou échec temporaire - dans une tentative pour réduire la force du coup reçu par l'Egypte sous sa direction lors de la guerre. Parce que,  explique Abdel-Nasser, « le problème n'est pas lié à une catastrophe à l'image de la Nakba palestinienne de 1948, mais une crise temporaire que l'Égypte peut surmonter rapidement».
Comme cela s'est produit à la veille de la guerre des Six Jours, nombreuses personnes dans le monde arabe ont été ravis dans l'espoir qu’un déluge humain de dizaines de milliers de réfugiés palestiniens inonderait les fontières d'Israël. Ils espéraient une seconde scène, plus puissante que les événements de la Nakba ou que les révolutions en Tunisie et en Égypte qui ont mis fin aux régimes dans ces pays.
Mais il faut supposer, comme en 1967, que la fin de la joie des pays arabes et surtout des Palestiniens, sera une grande déception.
Malgré la houleuse sympathie avec la cause palestinienne, le monde arabe est embourbé dans ses problèmes et toute personne au Caire, à Beyrouth, à Damas ou dans le plateau d'Ammon (région dans la Jordanie) ne veut certainement pas s’impliquer dans le bourbier du conflit avec Israël et cela pour la cause des Palestiniens. Cette situation psychologique est bien incarnée par le Liban officiel. Ainsi le jour de la « Nakba », l’armée libanaise a ouvert le feu sur des manifestants palestiniens qui voulaient s’approcher vers la barrière de la frontière avec
Israël. Avant le jour de la « défaite », l'armée libanaise a annoncé la zone frontalière comme zone militaire fermée et tous ceux qui s’en approchent s'exposeront donc à un danger.
Même le régime syrien, qui peut profiter à plusieurs niveaux d'un nouvel affrontement entre les soldats israéliens et les manifestants palestiniens aux frontières du plateau du Golan, a peur d’une confrontation avec Israël. En conséquence, Al-Assad a besoin de l'armée syrienne pour tuer les manifestants anti-régime et sur ce, le conflit avec Israël, pour lui, est une priorité secondaire.
Mais une préparation appropriée de l'armée israélienne contre une manifestation de réfugiés palestiniens empêchera ces derniers de récolter des gains prévus de la propagande. Ainsi les Palestiniens seront les seuls à capituler dans le monde arabe, qui de toute façon n'est pas prêt à lutter pour eux sans le support de la communauté internationale et, surtout, sans le soutien de l'opinion publique israélienne qui refuse dans son écrasante majorité le lien que les Palestiniens établissent entre la guerre d'Indépendance et la guerre des Six Jours.
Apparemment, cela indique que la question, pour les Palestiniens, n'est pas lié au traitement des conséquences de la Guerre des Six Jours (la demande du retrait d'Israël jusqu’aux lignes du 4 Juin 1967), mais la réouverture des dossiers de 1948- le droit au retour des réfugiés palestiniens dans le territoire de l'État d'Israël, dans un déni du droit du peuple juif à un état propre à lui. "


Mer-Terre: L'armée israélienne a-t-elle trouvé une nouvelle formule pour réaliser un succès dans la prochaine guerre?
Source: Le site de nouvelles  « Walla » - Joshua Briner

«L'armée israélienne améliore la capacité d'embarquer des forces d'infanterie dans l'état de l'ennemi à travers la mer. Lors de ces derniers mois, des efforts sont divulgués en vue de lui consacrer un budget. En parallèle, la marine militaire teste les types de navires de la Marine qui offrent la possibilité d'effectuer un debarquement, et elle pourrait acheter des pièces marines spéciales pour ses besoins spéciaux. Récemment, plusieurs unités de réserve s’entrainent avec des forces spéciales de la Marine sur la capacité à venir de la mer. De plus, le processus de renforcement de la capacité des débarquements maritimes est soutenu par de hauts fonctionnaires de l'état-major général.
Pendant ce temps, l'ancien commandant adjoint de la marine, le général de brigade de réserve, «Gideon Raz» a déclaré dans l'article qu'il a publié, son ferme soutien pour le renforcement de la capacité de l'infanterie à réaliser un débarquement de niveau d’une troupe. Dans l'article intitué "l'encerclement maritime lors de la guerre terrestre» publié dans la revue de "L'armée et la stratégie" appartenant à l'Institut d'études de sécurité nationale à Tel-Aviv, le brigadier Raz recherche l’expansion des avantages potentiels dans le renouvellement de la capacité

de l'armée israélienne et il appelle à la formation d’une direction spéciale pour cette affaire, commune avec la Marine et le bras terrestre. Le général de brigade Raz déclare dans l'article: "Construire une plus grande force amphibie permettra à l'armée israélienne de traduire sa supériorité maritime afin de contribuer de manière importante dans la résolution de la guerre terrestre." Raz s’appuie, entre autres dans ses discours sur ses pourparlers avec le commandant de la région du Nord «Gadi Eisenkot », exprimant dans son article son soutien

du débarquement des troupes par mer, selon les conversations du major général, il existe une compréhension claire dans l'état-major général de l'importance de renforcer d’autres forces de blocus. Raz a également cité dans l'article: «De telles opérations peuvent contribuer à la détention des forces ennemies et à la réduction de leur nombre dans la zone du front. Des opérations de type blocus naval pourraient rompre l’équilibre des dirigeants politiques et militaires de l'ennemi."
La dernière fois que l’armée israélienne a utilisé des navires appartenant au Corps des Marines dans le débarquement de forces fut lors de l'opération de la Paix du Galilée, lorsque le Corps de Marines a réalisé plusieurs débarquements et raids par la voie maritime, dont le débarquement de parachutistes et de véhicules blindés à l'embouchure de la rivière de Awali. En outre, le site Walla a rapporté que pendant la dernière année, plusieurs unités de la Brigade de réserve ont réalisé des exercices conjoints avec les forces spéciales de la marine, où ils sont allés à la mer avec des navires de guerre et un équipement complet, et après cela, ils ont débarqué sur la plage.
Il est clair dans l'armée israélienne que le renforcement des capacités exige de consacrer d’importants budgets d'abord pour la Marine en vue d'améliorer ses capacités, puis pour l'investir dans des exercices communs aux unités de réserve et ceux de la Marine. Le porte-parole militaire a affirmé que « l'armée israélienne ne fournit évidemment pas de détails sur ses préparatifs exécutifs ».


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