53% des chrétiens ne pensent pas que l’intervention du Hezbollah en Syrie a attiré les extrémistes au Liban

Un sondage d'opinion effectué par le «Centre de recherche et d'informations de Beyrouth», auprès d'un échantillon composé de 302 libanais chrétiens de 22 cazas, a montré que 82% d'entre eux estiment que l'arrivée au pouvoir en Syrie des groupes armés rebelles constituerait une menace pour la formule libanaise, et 53% pensent que la participation du Hezbollah à la guerre en Syrie
n'est pas la raison qui a attiré au Liban les groupes takfiristes.
Le sondage a eu lieu entre le 3 et le 5 février. Il montre que 36% des personnes interrogées appuient la candidature du général Michel Aoun à la présidence de la République, 23% celle du député Sleiman Frangié, 12% celle du chef des Forces libanaises Samir Geagea et 6% celle du député Boutros Harb. Le chef du parti Kataëb, Amine Gemayel, vient en dernière position, avec 5% d'avis favorables.
Concernant la rotation des portefeuilles ministériels, 70% des personnes sondées approuvent le maintien du ministère de l'Energie avec le Courant patriotique libre (CPL) et 27% désapprouvent. 42% pensent que la volonté de contrôler la richesse pétrolière et gazière du Liban explique la décision d'écarter Gebran Bassil de ce ministère, 23% estiment que l'objectif est de torpiller les efforts d'exploitation de ces richesses et 13% l'imputent à l'incompétence de M. Bassil.
Source : Mediaramalb

Le sondage a eu lieu entre le 3 et le 5 février. Il montre que 36% des personnes interrogées appuient la candidature du général Michel Aoun à la présidence de la République, 23% celle du député Sleiman Frangié, 12% celle du chef des Forces libanaises Samir Geagea et 6% celle du député Boutros Harb. Le chef du parti Kataëb, Amine Gemayel, vient en dernière position, avec 5% d'avis favorables.
Concernant la rotation des portefeuilles ministériels, 70% des personnes sondées approuvent le maintien du ministère de l'Energie avec le Courant patriotique libre (CPL) et 27% désapprouvent. 42% pensent que la volonté de contrôler la richesse pétrolière et gazière du Liban explique la décision d'écarter Gebran Bassil de ce ministère, 23% estiment que l'objectif est de torpiller les efforts d'exploitation de ces richesses et 13% l'imputent à l'incompétence de M. Bassil.
Source : Mediaramalb
