Le massacre de Hatla a été commis sur un fond sectaire
Le Front al-Nosra et l'Armée syrienne libre (ASL) ont déclaré que le massacre de Hatla a été perpétré pour «donner aux Chiites une leçon qu'ils n'oublieront jamais».
Selon eux, ce massacre est une riposte à la mort de deux combattants de l'ASL lors d'une attaque des forces pro-régime contre une patrouille de l'ASL. Quatre rebelles y ont été blessés. Des vidéos horribles du massacre ont été mises en ligne où des hommes armés profèrent des propos à caractère sectaire et se moquent des victimes. (Voir les vidéos)
Les sources ont affirmé que le massacre a été perpétré contre des civils non armés qui n’ont pas pu résister à l'offensive. Les combattants ont massacré les habitants, dont les femmes, des personnes âgées et des enfants, après avoir envahi leurs maisons. Les terroristes ont brûlé tout le village dont les lieux de culte. Le site Alahednews a eu accès aux noms de certaines victimes, dont entre autres, sayed Ibrahim al-Sayed, (un religieux chiite), son épouse et ses enfants (2 et 4 ans), sayed Hussein Raja et sa famille, sayed Massoum Raja (le fils de Hussein), son épouse Batoul et ses deux enfants, Ljine (1 ans), et Fatima (2 ans), et un vieil homme de 83 ans qui était malade.
Une source a précisé que les hommes armés ont obligé tous les habitants du village à se rassembler dans une cour. Ils les ont ensuite tués tous, en décapitant ou en égorgeant, en dépit des cris désespérés des enfants, qui, horrifiés, ont réclamé de boire de l'eau avant de mourir.
L’ordre de commettre ce massacre a été donné par le cheikh koweïti takfiri Chafi al-Ajami. Al-Ajami entreprend des liens très forts avec l'ancien député koweïti Walid Tabatibaï, et l'homme d'affaires qatari Abd el-Rahman Al-Naïmi. Le cheikh Ajami se prend la charge d'envoyer les hommes armés en Syrie, et de les financer, à partir des fonds qu'il reçoit de la part du député koweïti.
Traduit par French.alahednews
Selon eux, ce massacre est une riposte à la mort de deux combattants de l'ASL lors d'une attaque des forces pro-régime contre une patrouille de l'ASL. Quatre rebelles y ont été blessés. Des vidéos horribles du massacre ont été mises en ligne où des hommes armés profèrent des propos à caractère sectaire et se moquent des victimes. (Voir les vidéos)
Les sources ont affirmé que le massacre a été perpétré contre des civils non armés qui n’ont pas pu résister à l'offensive. Les combattants ont massacré les habitants, dont les femmes, des personnes âgées et des enfants, après avoir envahi leurs maisons. Les terroristes ont brûlé tout le village dont les lieux de culte. Le site Alahednews a eu accès aux noms de certaines victimes, dont entre autres, sayed Ibrahim al-Sayed, (un religieux chiite), son épouse et ses enfants (2 et 4 ans), sayed Hussein Raja et sa famille, sayed Massoum Raja (le fils de Hussein), son épouse Batoul et ses deux enfants, Ljine (1 ans), et Fatima (2 ans), et un vieil homme de 83 ans qui était malade.
L’ordre de commettre ce massacre a été donné par le cheikh koweïti takfiri Chafi al-Ajami. Al-Ajami entreprend des liens très forts avec l'ancien député koweïti Walid Tabatibaï, et l'homme d'affaires qatari Abd el-Rahman Al-Naïmi. Le cheikh Ajami se prend la charge d'envoyer les hommes armés en Syrie, et de les financer, à partir des fonds qu'il reçoit de la part du député koweïti.
Traduit par French.alahednews
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