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A cause du Hezbollah, l’armée israélienne va protéger les gisements pétroliers à l’aide d’avions sans pilote

A cause du Hezbollah, l’armée israélienne va protéger les gisements pétroliers à l’aide d’avions sans pilote
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A cause du Hezbollah, l'armée israélienne va protéger les gisements pétroliers à l'aide d'avions sans pilote qui travailleront jours et nuits
Source: «site d'informations « walla » - Amir Boukhbot"


« Israël prend au sérieux les menaces du secrétaire général du Hezbollah (Sayid) Hassan Nasrallah qui la préviennent d'exploiter les gisements de gaz naturel qui ont été découverts récemment au large des côtes libanaises. L'institution sécuritaire a décidé d'allouer des avions sans pilote appartenant à l'armée aérienne afin de protéger les gisements de gaz naturel situés au large, de peur qu'elles ne soient attaquées par quelconque groupe terroriste.

D'un autre côté, il a été revendiqué au Liban au cours des derniers mois que le gaz découvert par des entreprises israéliennes au cœur de la mer est en réalité présent dans les zones maritimes libanaises. Par la suite, un conflit a éclaté entre Jérusalem et Beyrouth concernant l'emplacement de la frontière maritime entre les deux pays.

Par ailleurs, au cours de ses discours, (Sayid) Nasrallah a également prévenu Israël de voler le gaz libanais et a menacé d'utiliser la force pour l'empêcher. En conséquence, l'institution sécuritaire a décidé que des avions sans pilote protégeront quotidiennement les gisements de gaz et les autres infrastructures de l'État hébreu situées au large de la côte, 24 heures sur 24, de peur qu'elles ne soient attaquées ou sabotées par des groupes terroristes.

L'armée aérienne a souligné la nécessité de recueillir continuellement des informations à partir de l'air, et les avions sans pilotes sont les meilleures dans ce but, du fait qu'ils soient équipés de caméras de surveillance avec vision de nuit et de jour fonctionnant dans toutes les conditions climatiques. Ajoutons à cela leur caractéristique principale qui est leur capacité à rester longtemps dans l'air, tout en analysant la matière enregistrée en temps réel et en décodant les données. Ce processus permettra d'améliorer considérablement la capacité de riposte aérienne et maritime de l'armée israélienne.

Un officier de la Force aérienne a affirmé que les activités des avions sans pilote seront ajoutées à celles des différentes forces de la marine, celle-ci ne sera pas remplacée. L'officier a ajouté: «Au moment où nous serons mis au courant de la présence d'informations continues portant sur de nombreux points stratégiques, les forces militaires israéliennes sauront faire fonctionner les Forces de façon meilleure, dans le cas où il lui serait demandé de le faire. »

L'armée de l'air a également souligné dans que cette action s'inscrit dans le cadre d'une procédure globale pour la protection des eaux économiques d'«Israël», celles-ci s'étendant sur une surface atteignant deux fois la taille de l'État. »

Dans le contexte des mouvements de protestation qui ont lieu en Israël: Netanyahu va-t-il envoyer l'armée israélienne à un cauchemar militaire dans une nuit d'été?
Source: «Haaretz - Yossi Mlayman"

« En 1966, Israël a subi une récession économique. La frustration et le désespoir ont créé une vague de migration, ou au moins une vague de débats sur l'immigration. De plus, cet esprit de désespoir a engendré la propagation de nombreuses blagues, qui se sont principalement orientées vers le premier ministre Levi Eshkol. Une de ces blagues disait qu'il ya une bannière suspendue à l'aéroport disant « il est demandé de la dernière personne quittant Israël d'éteindre les lumières. » Mais après moins d'un an, Israël a émergé de la récession. La crise économique s'est transformée en un état de prospérité, et la frustration a laissé place à un état d'extase.

La raison de ce changement général a été la guerre des Six Jours. Le leadership politique israélien ne s'intéressait pas à déclencher la guerre. Au contraire, la plupart des documents historiques de cette période prouve qu'Israël n'avait pas l'intention d'entrer en guerre, et qu'il a était surpris au point de garder le silence par rapport aux mesures prises par le président égyptien Gamal Abdel Nasser. Celui-ci a fait pénétrer son armée dans la péninsule du Sinaï en violant un accord signé, ce qui a conduit à la guerre.

Mais après la guerre des Six Jours, des estimations et des allégations ont soulevé que le niveau politique a tenu à chauffer la frontière avec la Syrie en raison de travaux privés conduisant au transfert des sources de la rivière du Jourdain par Damas, et à ainsi détourner l'opinion publique de la récession en Israël. Les analystes et les experts arabes sont précisément les personnes qui se sont accrochées à cette revendication. Mohamed Hassanein Heykal, le légendaire rédacteur en chef d'Al Ahram à l'époque de Nasser, a écrit dans certaines occasions, que le leadership en Israël se prépare à une aventure militaire à chaque fois qu'une crise interne se produit.

Dans l'histoire contemporaine, il y a des guerres qui ont conduit à la croissance économique et qui ont diminué le débat sur les problèmes internes entravés par l'Etat. Par exemple, les Etats-Unis ont survécu à la plus grande crise économique, non seulement grâce à la nouvelle transaction du président Franklin Delano Roosevelt, mais aussi à cause de la Seconde Guerre mondiale, qui a augmenté l'efficacité de la production dans l'économie américaine.

Dans les trois semaines qui se sont écoulées depuis le début de la révolution (le peuple veut la justice sociale), seulement peu de gens ont osé exprimer leurs craintes du fait que le premier ministre, Benjamin Netanyahu, essaie de provoquer une crise militaire, comme l'augmentation de la tension à la frontière nord ou de la mise en œuvre d'une opération contre le Hamas, afin de se débarrasser du stress. Parmi ceux qui ont eu ce courage, citons Theava Gelaún (Meretz), membre du Knesset, qui a parlé dans ce même contexte avec le journaliste Yossi Verter la semaine dernière.

Il était possible de détecter une autre indication claire à partir des paroles du ministre Silvain Shalom dans une interview télévisée, même si ce n'était pas ce qu'il laissait entendre. En effet, Shalom a déclaré que l'une des raisons du déclenchement de la protestation était la situation sécuritaire calme régnant ces dernières années, ce qui permet aux citoyens de se concentrer sur les affaires économiques et sociales.

Qui croit aux théories du complot peut déduire de ses paroles que ce calme peut être violé du jour au lendemain, de manière à conduire au flétrissement de la protestation et au retour de l'agenda sécuritaire préféré, qui est connu et qui tranquillise les premiers ministres israéliens. Mais Silvain Shalom a parlé à partir de la position de la majorité des ministres - en tant qu'analyste et observateur externe, n'assumant aucune responsabilité, ni même en tant qu'un homme reflétant des politiques.

L'option d'une action militaire planifiée a été entendue dans des locaux fermés et dans des conversations personnelles. Le scénario le plus léger et le plus confortable, qui plait aussi aux citoyens, n'est pas une action militaire, mais un accord pour la libération de Gilad Shalit. Cet accord qui a été jusqu'ici refusé par Netanyahu, ou plus exactement, dont le prix à payer par « Israël » a été refusé par celui-ci.

En tout cas, il est clair que les préoccupations concernant un travail qui conduit à l'aventure comme un moyen de distraire l'opinion publique des défaillances de l'État dans le domaine social, indique en premier lieu que Netanyahu a presque perdu la confiance que les gens lui portent. Les estimations dominantes ont été qu'il est "prêt à tout" pour survivre des risques qui menacent son autorité.

Ces estimations se basent sur une jurisprudence passée : la résolution de commettre l'assassinat du chef du Hamas Khaled Mechaal, en 1997, durant l'ancien mandat du président Netanyahu en tant que premier ministre. A l'époque, l'objectif était réellement la vengeance et non pas la distraction de l'opinion publique. Mais ce comportement peut être la preuve du mode de travail spécifique suivi par Netanyahu, et qui peut être utilisé pour déduire sa méthode actuelle de travail.

Netanyahu a ordonné la mise en œuvre d'une opération contre Mechaal en riposte contre deux attaques menées en 1997 par les organisations terroristes palestiniennes à Jérusalem. Il y a mis pratiquement tout son poids. L'un des participants à la prise des décisions se rappelle : "c'est pratiquement la demande d'une opération." Selon les témoignages du président du Shin Bet Ami Ayalon, du chef de la sécurité Moshe Yaalon ainsi que du ministre de la défense Yitzhak Mordechai, le chef du gouvernement ne les a pas consultés.

Par chance, Netanyahu a trouvé qui l'écouter : Danny Yatom, nouveau chef du Mossad, sans expérience, qui a voulu faire plaisir à son maître, et prouver, même à son personnel dans l'organisation, qu'il est la personne appropriée pour le poste. Le résultat fut la résolution irresponsable de la liquidation de Mechaal, qui occupait alors un poste relativement faible dans le Hamas en Jordanie.

Il est vrai que Netanyahu est responsable de l'échec, mais il avait des partenaires dont le principal était Yatom (qui aurait pu arrêter le premier ministre), ainsi qu'un certain nombre de chefs de départements dans le Mossad. Ces derniers ne se sont pas opposés à cette dangereuse opération, bien qu'elle ait affecté les relations stratégiques avec la Jordanie.

Une autre raison d'avoir peur apparaîtra dans les jours qui suivent, il est question de certaines qualités de Netanyahu. Il est considéré comme irresponsable, ne pense pas, quelqu'un qui change ses décisions et qui ne laisse aucun moyen afin de couvrir les yeux du public. Il est possible de trouver ces caractéristiques chez le Premier ministre à partir des déclarations dures effectuées par le chef sortant du Mossad, Meir Dagan, qui a demandé d'avertir le public du danger couru dans le cas où Netanyahu et / ou le ministre de la Défense Ehud Barak décide d'attaquer l'Iran.

Cependant, Netanyahu possède certaines caractéristiques qui peuvent le garder en dehors d'une aventure militaire. En effet, il est considéré comme un leader hésitant, qui n'entre pas dans les détails, et surtout qui a peur de prendre des risques. Par conséquent, dans la balance des risques et des opportunités, la possibilité que le premier ministre essaie de lancer une opération militaire semble très faible.

En tout cas, la résolution d'une opération nécessite la décision finale du cabinet, ou tout au moins du rassemblement des sept. Rien n'empêche que certains ministres raisonnables comme Dan Meridor et Benny Begin Sieradwnha s'y opposent. Même le chef d'état-major, des chefs dans l'armée israélienne, le chef du Mossad et le chef du Shin Bet ne permettront pas à Netanyahu de les utiliser et de provoquer une catastrophe dans le but de garder son statut. Il faut supposer que le premier ministre réalise qu'il est impossible de savoir comment va se terminer une opération militaire comme celle-ci. Le plus grand danger pour sa part, ou pour tout autre ministre, serait l'idée de mettre en place une opération militaire comme un moyen pour sortir de la détresse. Et si cette idée est découverte, il serait alors accusé d'aventureux et devra assumer la responsabilité de la mort des citoyens.

Cette seule crainte peut être suffisante pour dissuader le Premier ministre. Il peut toujours espérer que les protestations s'arrêtent, que ce soit par elles-mêmes ou à cause de la chaleur du mois d'août. Ou peut-être les Arabes vont-ils prouver qu'il est toujours possible de compter sur eux dans le sens de commettre des erreurs éventuelles qui sauveront le Premier ministre de sa grande détresse. Même que nous n'avons pas également mentionné le mois de septembre ? »

Chaleur dans les relations, le chef d'état major de l'armée chinoise se rendra en Israël
Source: site d'informations « walla »

« Le chef d'état-major de l'armée chinoise, Chen Bingda, sera l'invité du Chef d'état-major général Gantz Benny, au cours d'une visite, première en son genre, qui débutera dimanche prochain et qui durera plusieurs jours. Pendant la visite, Bingda rencontrera les dirigeants supérieurs de l'armée israélienne, fera la tournée des bases militaires, assistera à des réunions de travail et rencontrera personnellement le ministre de la défense Ehud Barak, qu'il avait rencontré il ya un mois en Chine. De plus, l'institution sécuritaire a affirmé qu'après le refus d'Israël d'appliquer des contrats d'armement avec l'armée chinoise, de nombreuses estimations ont été effectuées entre les deux parties.

Une source sécuritaire a affirmé : « lors de la visite du ministre de la Défense Ehud Barak en Chine, nous avons ressenti le grand respect que porte la Chine envers le peuple juif. Les Chinois considèrent que le nombre de Juifs lauréats du prix Nobel est louable. La Chine est une force qu'il est impossible d'ignorer, et elle a une importance stratégique ». Actuellement, l'industrie aérospatiale discute de contrats avec le gouvernement chinois pour la vente d'avions de guidage de type" Goulbstrem "à usage civil. Cependant, Israël porte un regard préoccupé sur la transaction massive mise en place entre la Chine et l'Iran, qui consiste à acheter le pétrole en échange de produits chinois locaux.

Les relations entre la Chine et Israël ont connu des hauts et des bas pendant la dernière décennie, puisqu'ils ont connu un vrai problème concernant deux transactions sécuritaires qui ont été annulées suite à l'intervention de l'administration américaine. La première transaction, datant de l'an 2000, prévoyait la vente d'avions de type "Falkon. La deuxième, en 2004, dans laquelle l'institution sécuritaire a essayé de faire un accord avec les Chinois sur le développement de drones de type "Harpie". Et comme nous l'avons mentionné, cet accord a été bloqué après une opposition stricte du ministère de la Défense américain.

En 2007, les relations ont connu un développement avec la visite du premier ministre israélien Ehud Olmert en Chine, accompagné de la ministre Tzipi Livni. De plus, il y a à peu près un an, le commandant de la marine chinoise a visité Israël. Cette visite a été qualifiée de réussie. De plus, le ministre de la Défense Barak a visité la Chine à la fin du mois de Juin passé. Cette visite est la première pour une ministre de défense israélien en Chine depuis près d'une décennie. Durant cette visite, il a été question des préparatifs et des sujets qui seront abordés lors de la visite du chef d'état-major chinois en Israël. »

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