Netanyahu après l’incident du Wazzani : Israël ne cherche pas à enflammer la frontière avec le Liban
Netanyahu après l'incident du Wazzani : Israël ne cherche pas à enflammer la frontière avec le Liban
Source: «Israël Al Yawm - Lilakh Schauble »
«Le calme prudent et autonome à la frontière nord a été soudainement rompu hier, quand le feu a été ouvert sur le groupe des parachutistes qui exécutait un tour de routine. Le Liban a alors accusé Israël, mais la direction de la FINUL a décidé que l'armée n'a pas dépassé la frontière internationale (ligne bleue) et qu'il n'y avait aucune raison pour une réponse si sévère de la part de l'armée libanaise.
D'autre part, les coups de feu ont été tirés vers les soldats du Bataillon 101 pendant qu'ils se trouvaient dans la jeep, derrière la clôture de sécurité, mais à l'intérieur de la région d'Israël, et non loin de Maayan Baruch. Il s'agit d'une activité normale et routinière effectuée par l'armée deux fois par semaine. Le groupe a riposté par des coups de feu, et malgré les rapports parlant d'un blessé de l'armée libanaise, il s'est avéré que l'incident s'est terminé sans blessés.
De son côté, le Liban n'a pas beaucoup commenté la déclaration de la FINUL, alors que le presse locale a revendiqué que c'est l'armée israélienne qui s'est infiltrée à des dizaines de mètres dans la profondeur de la région du Liban, près du village de Wazzani. Une partie des articles a même accusé les parachutistes d'avoir ouvert le feu, disant que l'armée libanaise n'a fait que répondre. Dans ce contexte, le président libanais Michel Sleiman a déclaré : «l'ennemi israélien a tenté à nouveau d'agresser et d'harceler le Liban, mais nos soldats héros ont persévéré avec dignité et courage dans leur garde ».
A son tour, le Premier ministre Benjamin Netanyahu s'est référé à l'incident lorsqu'il a comparu devant la commission des affaires étrangères et de sécurité de la Knesset. Selon ses paroles, « Israël ne cherche pas à enflammer la frontière avec le Liban. C'était un incident, et les soldats ont fait ce qu'ils devaient faire. Ils doivent se défendre et sont également déterminés à défendre les frontières ».
S'agit-il des derniers jours de Netanyahu?
Source: «Dixième chaine »
« Au sujet de la possibilité qu'il s'agisse des derniers jours de Netanyahu, l'analyste politique de la dixième chaine Chico Menashe a déclaré que quiconque lui parle ne l'entend pas mentionner un compte à rebours, mais oui, il laisse paraitre sans aucun doute un sentiment de chute pinçant, "en d'autres termes : C'est une période d'obstacles difficiles , parce que je pense que ce qu'il a estimé en premier lieu comme étant une protestation de la gauche, comme il a essayé de la décrire, s'est avérée être autre chose comme il l'a ensuite compris, et il dit que quoi qu'il fasse, ils continueront à l'attaquer, c'est-à-dire que si nous supposons qu'il fournisse un projet visant à réduire les impôts, ils l'attaqueront tout de même, et même s'il ne fait rien, ils l'attaqueront, il possède donc certainement un sentiment de défense.
Menashe ajoute en assurant (sa situation est celle d'un perdant), et je pense qu'en ce moment, il est arrogant et réalise qu'il doit continuer à absorber ce qui se passe à un certain stade et commencer à préparer une réponse, quelle est cette réponse? C'est comme le début de la table ronde, il essaye en fait d'attirer les manifestants dans une situation où il les fait entrer dans la pièce et leur demande de placer leurs exigences sur la table, nous allons rencontrer et de discuter. Cependant le sentiment qui règne en ce moment dans les environs du Premier ministre et chez le Premier ministre lui-même, est l'absence d'une personne à qui parler jusqu'à maintenant, et Ofer Eini représentant (chef du Histedrout), qui ne s'est pas encore concrétisé jusqu'à présent comme représentant officiel et clair par les manifestants, et attend toujours un titre qui l'aidera à descendre de l'arbre.
En ce qui concerne l'impact de ces protestations sur la coalition, malgré le passage d'un an sur sa stabilité, Menashe a déclaré: Il était confiant de la stabilité de la coalition en ce moment au niveau politique, et il annonce dans un des entretiens à huis-clos : Je vais payer un prix en échange de cela, et il le dit clairement, mais il affirme que celui qui paiera le prix le plus grand est justement le parti Kadima, et il ajoute : "d'après les sondages que j'ai vus, Kadima est affecté car celui qui bénéficie de cette situation et de cette protestation est exactement la gauche ou les composantes classiques du changement classique, certes je vais perdre mais Kadima va perdre plus", c'est ce qu'il croit ».
Le Porte-parole du Premier ministre: Une protestation exagérée, un million d'Israéliens à l'étranger
Source: "Yedioth Ahronoth"
«Une séparation ou un blocage? Le porte-parole de Netanyahu a accordé une interview à la dixième chaine, appelant à traiter la crise avec relativité et prendre en considération l'état de l'établissement palestinien. « Il existe seulement une norme d'appartement de luxe, un pouvoir de propriété», a déclaré " Rooney Sofer", qui a reconnu qu '« il existe des gens qui ne terminent pas le mois, il faudrait probablement payer leurs dettes ».
«La protestation sociale est exagérée," a affirmé le matin (dimanche) "Roni Sofer", le porte-parole du Premier ministre ", Benjamin Netanyahou", dans une interview à l'émission du matin présentée par "Orly et Guy" sur la dixième chaine. Ajoutant qu' «il n'y a aucun problème avec la protestation, mais problème avec le manque de proportionnalité ». De son coté, l'organisation de la protestation des tentes a rapporté en commentant que «le porte-parole parle de la même façon que le président: Le gouvernement tout entier est séparé du peuple. Nous ne voulons pas d'appartements de luxe, mais nous voulons un domicile public sous la propriété de l'État, et nous demandons également une santé égale pour tous ».
Et selon les paroles de «Sofer», «Il existe ici des difficultés dans une population entière souffrant d'une crise, mais il faut reconnaître la vérité, la société s'est arrêtée de se mettre des limites, nous voulons tout maintenant et rapidement ... Personnellement, je pense qu'il faudrait régler les choses de façon relative Lorsque vous regardez autour de vous : La norme de construction, de luxueux appartements uniquement, 1,3 millions de personnes qui vont à l'étranger cet été. Nous voulons tous être égaux et sentir que nous sommes égaux, nous voulons une plus grande capacité d'achat. Nous ne vivons pas dans un pays communiste, nous vivons tous dans le même niveau de vie ».
"Sofer" a également abordé le commentaire de "Netanyahou» et a dit: «Le Premier ministre est intéressé par ce sujet, il n'est pas isolé et est bien conscient de ce qui se passe, il écoute, voit et comprend ce qui se passe. Il sait bien qu'il y a un renforcement du processus ici»...
Toutefois, le porte-parole a classifié ses paroles et a égalisé entre la situation moyenne du citoyen israélien, et celle des Palestiniens: « Il y a une sorte d'exagération. Prenez, par exemple, une femme de Ramallah, de Khan Yunis, ou de Beit Lahiya qui contemple la société israélienne ..., Il faut considérer les choses de façon relative, elle remarque alors qu'Israël est dans une excellente situation économique ».
Dans le contexte de ses paroles, "Sofer," a égalisé entre la situation en Israël et celle d'autres pays du monde. Affirmant : « Les Etats-Unis peuvent être en mesure de payer deux jours après », « la Grèce, si elle agit de façon irresponsable dans l'établissement économique, pourra arriver à une situation où elle ne sera pas en mesure de payer ».
« Il n'y a pas de plan organisé, il y a une intention ».
«Je ne sous-estime personne, cette protestation était à 100 mille, 150 mille ou même 200 mille, elle existe et est réelle, et il faudrait lui accorder une attention et changer l'échelle des priorités, les choses ont également changé. C'est un bon processus ».
En réponse à une question pour savoir si il le Premier ministre possède un plan organisé, "Sofer" a approuvé en disant: «Je ne veux pas dire qu'il y a un plan organisé, mais il y a une intention. Et je veux dire la vérité. Un état de détresse est apparu ici, il est réel, il y a des gens qui ne terminent pas le mois, il faudrait probablement payer leurs dettes ».
«Le plan sera discuté par un personnel formé par le chef du gouvernement, où tout le fardeau porté par la classe moyenne sera pris en compte, et sera exposé au public, et le test sera un test réel ».
En ce qui concerne le conflit des médecins "Sofer" a déclaré : « Cette affaire se terminera dans un avenir proche. Le premier ministre était partenaire dans l'ensemble du processus, il possède à sa charge Litsman qui règle directement l'affaire et l'informe à son sujet ». A ce sujet, "Sofer" a utilisé le prétexte de sécurité, en disant: « Il possède un agenda bien rempli, il y a encore le Hezbollah, l'Iran et le Hamas ».
Le président de la Campagne d'information
Source: «Le site de nouvelles NFC-Amos Day »
« Monsieur le Premier ministre, où étiez-vous pendant trois ans puisque vous possédez des plans pour résoudre la crise du logement? Vous envoyer votre ministre populaire Kahlon pour calmer les résidents du camp, nous entendons, voyons et sentons que cela ressemble à une campagne médiatique. Et ce que nous voyons, entendons et sentons comme une campagne médiatique, est une campagne médiatique!
Le premier ministre a envoyé le ministre Moshe Kahlon pour exprimer son soutien aux manifestants du camp de protestation, et annoncer le renoncement de Netanyahu, après plusieurs heures dans un message à travers les médias, à ses plans au sujet du prix imaginaires des biens immobiliers.
Je vous demande, Monsieur le Premier ministre, où etiez-vous pendant trois ans puisque vous possédez des plans pour résoudre la crise du logement? Vous envoyer votre ministre populaire Kahlon pour calmer les résidents du camp, nous entendons, voyons et sentons que cela ressemble à une campagne médiatique. Et ce que nous voyons, entendons et sentons comme une campagne médiatique, est une campagne médiatique!
Ah oui, les organisateurs des campagnes au sein du ministère de l'Information vous ont suggéré des solutions et vous avez choisi ce qui va agira en fonction de votre opinion sur la foule des manifestants, afin réemballer le camp et retourner à la maison (qu'ils ne possèdent pas). Je note ces mots parce que, votre administration, Monsieur le Premier ministre, au cours des trois dernières années, est à mon avis un puzzle. Je n'ai pas besoin d'être dans l'opposition pour réaliser que, à ce qu'il parait, vous prenez des décisions étourdies en proportion aux règles politiques au sein des ministères adaptés aux ministères de l'Information, avec la participation d'Eli Hon, qui selon mon sentiment et mes connaissances sont les véritables dominants de l'état. Il prend la décision et immédiatement y renonce, Oui, Non, Oui, Non, à voter pour ou contre, il est possible que les aspirants décident.
Il existe des moments de bonté envers où vous vous surpasser, comme lors de la récente visite aux Etats-Unis et votre attitude obstinée à protéger ce pays contre l'obscurité de la Blanche Maison. C'est comme ça que je vous veux, monsieur le Premier ministre. Fort, solide, tenace et soucieux des citoyens de l'Etat. Je vous rappelle, ce sont les citoyens qui vous ont envoyé pour montrer l'opposition avec 12 sièges, vous vous souvenez? Je vous le dis, si vous n'aiguisez pas vos forces et commencez à travailler, vous serez envoyé à nouveau pour découvrir que cette fois le délai sera plus long.
Le coût des vivres nous tue
Depuis l'établissement de camps à travers diverses villes, des montagnes de mots y ont été écrits et des solutions innombrables ont été proposées, et j'ai senti que j'étais trop petit pour présenter ma propre solution. Je me demande, monsieur le magicien, quelle campagne médiatique allez-vous bientôt faire sortir du chapeau ou de la manche. Quelle sera la vraie solution du problème qui a dépassé tout le peuple, en dépit de la libre circulation imposées par les instances politiques sur les manifestants pour couper des coupons.
Il m'est difficile d'écrire ces mots, mais il me semble que quelqu'un comme vous, a grandi avec une cuillère d'or et n'a jamais connu la privation dans sa vie, n'a jamais compris les résidents des camps, malgré la mise en œuvre de tentatives correctes de votre part. Je vous le dis, le peuple en a assez des chefs de gouvernement qui ne se soucient pas de lui, et avec tout mon respect- il y en a beaucoup- pour votre activité bénie dans la question de sécurité.
Les habitants du pays veulent gagner un salaire normal en échange de leur travail, ils veulent acheter un appartement et une voiture, le progrès dans la vie, et l'achat d'une maison dans le lieu où ils décident de vivre, et non pas où on leur décide. Finalement ils veulent vivre avec respect et cesser de nous vidanger, non seulement dans les prix du logement. Traitez les prix du carburant, le prix des produits laitiers, des légumes et des fruits, la liste est encore longue. Le coût des vivres nous tue. Faites cela maintenant, afin que vous ne soyez pas en retard et que nous nous ne retrouvions pas avec un chef du gouvernement qui vend l'état en échange d'une «paix» imaginaire, et c'est ce que la plupart du peuple ne veut pas ».
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