Berri à Connelly: un accord entre le Liban et "Israël" pour régler le dossier du pétrole n’aura point lieu

Des sources proches du président du Parlement Nabih Berri ont déclaré au journal« Al Nahar que "ce dernier a demandé à l'ambassadrice américaine Maura Connelly, lors de leur réunion, la date de la visite de l'émissaire américain au Moyen-Orient Frédéric Hoff à Beyrouth, et elle lui a répondu qu'elle ne possédait aucune information jusqu'à présent au sujet de cette visite. Cependant, elle a ajouté que "la position des États-Unis sur la question de l'exploration pétrolière est d'y remédier via les Nations Unies".
Le journal a indiqué, selon les sources de Berri, que Connelly a demandé au président de l'Assemblée générale "pourquoi le Liban ne prend pas l'initiative de travailler dans les limites de ses eaux territoriales, et appelle les entreprises à signer un contrat avec lui pour commencer l'extraction de ses quantités de pétrole comme l'a fait« Israël » dans des domaines qui ne sont pas contestés à l'intérieur de ses frontières? ». La réponse de Berri a été: nous disons que dans les zones contestées ou autres, il est important de tracer la frontière maritime entre les deux parties, et s'il existe quelqu'un qui tente ou cherche à signer un «accord de paix» entre le Liban et Israël pour régler la question du pétrole, cela n'aura pas lieu, ni maintenant ni jamais ».
Dans le même contexte, «Al Nahar » ajoute que Connelly a interrogé au sujet d'une voie possible de travail, et Berri a répondu, «Il est possible que les deux parties travaillent comme ils l'ont fait depuis l'« accord d'avril » de 1996 jusqu'à aujourd'hui, c'est-à-dire que des réunions soient organisées entre des agents libanais et « Israéliens » sous la supervision des Nations Unies pour discuter de cette question, et que les frontières maritimes soient délimitées également par les Nations Unies ».
Le journal a indiqué, selon les sources de Berri, que Connelly a demandé au président de l'Assemblée générale "pourquoi le Liban ne prend pas l'initiative de travailler dans les limites de ses eaux territoriales, et appelle les entreprises à signer un contrat avec lui pour commencer l'extraction de ses quantités de pétrole comme l'a fait« Israël » dans des domaines qui ne sont pas contestés à l'intérieur de ses frontières? ». La réponse de Berri a été: nous disons que dans les zones contestées ou autres, il est important de tracer la frontière maritime entre les deux parties, et s'il existe quelqu'un qui tente ou cherche à signer un «accord de paix» entre le Liban et Israël pour régler la question du pétrole, cela n'aura pas lieu, ni maintenant ni jamais ».
Dans le même contexte, «Al Nahar » ajoute que Connelly a interrogé au sujet d'une voie possible de travail, et Berri a répondu, «Il est possible que les deux parties travaillent comme ils l'ont fait depuis l'« accord d'avril » de 1996 jusqu'à aujourd'hui, c'est-à-dire que des réunions soient organisées entre des agents libanais et « Israéliens » sous la supervision des Nations Unies pour discuter de cette question, et que les frontières maritimes soient délimitées également par les Nations Unies ».
Le journal a aussi noté que le président Berri a assuré à ses visiteurs hier qu'il est prêt à rencontrer Hoff quand celui-ci se rendra à Beyrouth.
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