Nous avons manqué une occasion à la guerre de 2006
Nous avons manqué une occasion à la guerre de 2006
Source: «Le deuxième chaine- Rooney Daniel »
«La deuxième guerre du Liban a commencé lors d'un grave accident sur la frontière. En raison de ses résultats et de sa continuité, une détérioration a eu lieu à la suite de cet incident conduisant à une bataille qui n'a pas été qualifiée de guerre, et voila l'un des problèmes.
Je pense que l'origine et la nécessité d'une telle opération militaire, dont la définition, comme nous l'avons mentionné précédemment, a été problématique à mon avis, était indispensable à ce stade. Car dans la même période, Le Hezbollah, pour rappeler ceux qui ont oublié, se trouvait vraiment sur la clôture de la frontière. Et quiconque circule sur l'ancienne route du Nord, voit le Hezbollah au dessus de lui. Tout simplement, l'organisation a dicté le cours des choses le long de la frontière nord, comme il lui plaît, kidnappant des soldats dans les fermes de Chebaa aujourd'hui à la ligne frontalière 105. Ce fait a dû être arrêté, c'est donc à partir de ce concept qu'il était correct d'avoir recours à une large et importante opération militaire.
C'est là où commencèrent les doutes quant à savoir s'il était correct de poursuivre ce processus comme ils l'ont fait. En général, cette guerre, était en fin de compte une occasion ratée. Car il y avait une réelle opportunité de frapper le Hezbollah beaucoup plus fort que nous l'avions prévu, et il a reçu un coup pas facile. En fait, le Premier ministre ", Ehoud Olmert" a donné à Israël et son armée assez de temps pour accomplir la tâche, mais le temps n'a pas été exploité comme il se doit dans le champ de bataille.
Ils hésitaient à mener une vaste opération terrestre
L'armée était quelque peu troublée, ignorante dans une certaine mesure et pas en harmonie avec ses plans. Ainsi l'armée de l'air a effectué une opération de qualité différente dans la région reculée dans la première ou la deuxième journée de la guerre. Mais en fait, près de la frontière il y avait une terrible confusion, ils hésitaient à mener une vaste opération terrestre, et c'était ce qu'il fallait faire.
Ils ont hésité au stade du recrutement de la réserve, c'est pourquoi dans le sens militaire, toute cette bataille était très vague. Je n'ai pas accepté pas le manque qui existait dans les unités de stock d'urgence et toutes ces revendications ululant. Hezbollah n'avait pas beaucoup d'armes, et n'a certainement pas eu beaucoup de jours de formation. Ce fut tout simplement une bataille gérée de façon inacceptable, en particulier dans la zone proche de la frontière. Là-bas s'est produit une sorte d'échec douloureux, entraînant de lourdes pertes au niveau des soldats, et surtout, a permis de rater une grande occasion.
Les soldats prêts à défendre les civils
Les informations au sujet d'une embuscade et ce qui paraissait comme l'enlèvement de deux soldats m'ont beaucoup perturbé lorsque j'étais au sud, nous étions alors occupés par l'enlèvement de Gilad Shalit qui n'a pas été du à une guerre majeure, mais à cause des affrontements. Des coups de feu ici et là, les citoyens d'Avivim fuyant pendant que des roquettes Katioucha tombaient comme la pluie.
Ce n'était pas une forteresse. C'était une série d'affrontements malheureusement déséquilibrée et sans objectifs. Malheureusement aussi pour les combattants de la brigade de parachutistes, morts près de Kfar Giladi cimetière, et pour les civils tués à la gare du train. Le plus étonnant dans cette guerre, c'est que la société israélienne a été troublée par l'atteinte des soldats plus que pour les civils. En général, la nouvelle annonçant l'atteinte des travailleurs de la gare est passée da façon furtive. Nous avons probablement été confus puisque des soldats ont été dédiés à la défense les civils, pas de solution, c'est la réalité que nous vivons.
Une partie du comportement des médias et ses réformes s'est matérialisé dans l'opération du Plomb versé. Nous avons même fait un auto-jugement, de plus, l'armée a appris comment travailler avec nous correctement dans ce concept parce qu'il n'était pas directement exposé, et cela est vrai car une partie des choses sera confidentielle. Si vous mener une bonne guerre, les médias seront bons, et si vous mener une mauvaise guerre, sans compliment, les médias ne seront alors pas au courant de ce qui se passe.
A partir de maintenant, toutes les guerres doivent être comprises, je dois toujours posséder une caméra, il y a pas d'autre solution. Que ce soit dans la bande de Gaza, au Liban ou dans le territoire d'Israël, rien n'exige de combattre cela, il faut savoir comment tirer profit de cela et comment faire face à cette situation. Il me semble que l'opération du Plomb renversé est une situation où l'armée a correctement fait face aux les médias, de sorte que celui-ci a presque obtenu ce qu'il voulait, même s'il en veut toujours plus.
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