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Une manœuvre de la police simulant un groupe lié au Hezbollah qui enlève un officier

Une manœuvre de la police simulant un groupe lié au Hezbollah qui enlève un officier
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L'armée israélienne établit une nouvelle section pour combattre l’incursion
Source: «Jacob Katz, Jerusalem Post »

« Dirigée par l’ancien commandant Lamatsov, cette unité est responsable de la protection des réseaux de l'armée israélienne.

Face aux menaces d’incursion de plus en plus nombreuses contre Israël, l'armée israélienne a récemment intensifié ses défenses grâce à la création d'une nouvelle section à la Direction du commandement, du contrôle, des communications, de l’informatique, et du renseignement.

Cette section est responsable de la défense des réseaux militaires contre les hakers ennemis, et gérée par un colonel qui a pris ses fonctions il y a plusieurs semaines. Cet officier était l’ancien commandant de l'unité de Matsov (acronyme hébreu signifiant une centre de cryptage et de sécurité de l'information) chargée de la protection des réseaux de l'armée israélienne.

L’unité de Matsov écrit les codes qui cryptent les réseaux de l’armée israélienne, du Shin Bet (Agence israélienne de sécurité) ainsi que les ordinateurs centraux dans les entreprises nationales, telles que la compagnie d’électricité israélienne, la société de Mekorot, la compagnie nationale des eaux, et la société de Bezeck..

La decision de la fondation de la nouvelle section a été prise l'an dernier par l'ancien chef d'état-major, Gabi Ashkenazi, dans le cadre de la restructuration des capacités du (Cyber) dans l'armée israélienne.

Selon la nouvelle structure de l'unité, les capacités effectives ainsi que les opérations de collecte de renseignements appartiennent à l'unité de renseignement militaire 8200, et les opérations défensives étaient groupées sous la nouvelle section de la Direction de commandement, du contrôle, de la communication, de l’informatique et du renseignement.

Au sujet de la menace de la cyber-guerre qui pèse sur Israël, un officier supérieur a déclaré cette semaine : «Cette menace est réelle et nous y travaillons tout le temps. Aujourd'hui, chaque projet au sein de l'armée passe un processus d'examen de façon à ce qu’il soit le mieux protégé».

En outre, la Direction de commandement, du contrôle, de la communication, de l’informatique et du renseignement a créé une équipe spéciale d'experts en informatique, qui se font passer pour l'ennemi et cherchent à percer les moyens de protection et de cryptage de l’armée israélienne dans le but de la planification stratégique.

D’un autre coté, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé le mois dernier la fondation d'une force de défense nationale contre les «actes du cyber» afin de défendre les infrastructures essentielles d’Israël contre les attaques terroristes via Internet.

De plus, la nouvelle force encouragera le secteur des technologies avancées à travailler avec le gouvernement pour développer les défenses de l’Internet afin de les utiliser en Israël et à exporter ces technologies à l'extérieur.

Une manœuvre de la police simulant un groupe lié au Hezbollah qui enlève un officier et négocie la libération de prisonniers palestiniens
« Maariv, Avi Ashkenazi »

Le major général Haghi Dotan, commandant de la nouvelle brigade de la police, brigade de la côte, a été félicité par tout le monde lors de la cérémonie du lancement des nouvelles unités de la police municipale, pour sa participation à la manœuvre du front intérieur national qui simulait un processus d’enlèvement pendant un acte terroriste.

Dans le cadre de la manœuvre du front intérieur national, des unités de l'établissement de la sécurité et de la police ont également manœuvré.

L'un des scénarios extrêmes fut une cellule de terroristes liée au Hezbollah enlevant le major général Haghi Dotan, et le détenant pendant environ deux jours en otage. Pendant cette manœuvre, tout le commandement de sécurité israélien s’est entraîné à diriger les négociations pour libérer l’officier supérieur, en essayant d’autre part de trouver des façons créatives pour le localiser.

Cependant, durant les négociations, les kidnappeurs ont adressé deux avertissements au gouvernement d'Israël, menaçant d'exécuter l’officier si l’on ne répond pas à leur demande de libérer des terroristes de la prison israélienne.

Le gouvernement a refusé de répondre aux demandes des ravisseurs et après environ deux jours, selon le manœuvre de la police et l'établissement de la sécurité, le "corps", du Major Général Dotan est trouvé près d'un village de Galilée.

Comment se comporter face à une opération morale

Une source haut placée dans le ministère de la sécurité intérieure a déclaré : «Au début, nous avons tous ri, y compris le Secrétaire de la Sécurité intérieure, quand nous avons vu le scénario qui était supposé " secret "jusqu'au début de la manœuvre. Et en deux jours, tout l’appareil de sécurité jouait un rôle dans le plan de la manœuvre : comment libérer le major général Haghi Dotan...»

« Le choix de «Dotan» était important, dans le terme où nous voulions voir comment l'établissement de la sécurité se comporterait face à un tel scénario extrême simulant l'enlèvement d'une personnalité de haut niveau », a-t-elle ajouté.

La source poursuit : «D'autre part, nous avons voulu tester le comportement de la police face à un coup moral comme l’enlèvement d’un officier de niveau chef d’état major, et comment fonctionne la chaîne de commandement qu’il dirige en l'absence de son chef. Cependant, après avoir atteint la cérémonie de départ, nous avons tous remarqué que Dotan est toujours vivant et travaille encore en tant que commandant de la brigade.

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