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Une visite israélienne secrète au Caire...crainte d’un satellite espion turc

Une visite israélienne secrète au Caire...crainte d’un satellite espion turc
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Visite secrète au Caire
Source: "Maariv-Eli Berdenstein"

"Pour la première fois depuis la chute du régime de Moubarak, un responsable éminent politique visite l'Égypte.
Le ministre adjoint des Affaires étrangères Danny Ayalon, est récemment arrivé au Caire pour mener des pourparlers avec les leaders du nouveau régime égyptien, dirigé par le général Tantawi.
Ayalon avait effectué une visite secrète en Égypte il y a deux semaines et rencontré les dirigeants du nouveau régime, rapporte Maariv. Il s'agit d'une visite israélienne de niveau ministériel et politique, la première en son genre depuis le déclenchement de la révolution en Égypte en Janvier de cette année. Jusqu'à hier, le ministère des Affaires étrangères a nié cette visite.
C'est la première fois depuis des années qu’un ministre, autre que le ministre de la Défense ou un ministre proche l'Égypte (comme l'ancien ministre Benjamin Ben-Eliezer), voyage en Égypte.
Cette visite est surprenante, surtout compte tenu du fait qu’Ayalon est le ministre adjoint d’Avigdor Lieberman, en conflit avec l'Egypte. Les Egyptiens n’ont pas pardonné à Lieberman ses expressions et son appel à " faire exploser le barrage d'Assouan". Depuis sa désignation, il n'a pas rencontré ses homologues égyptiens et n'a pas visité l'Egypte. Toutefois, Lieberman était au courant de cette visite. Ayalon a rencontré le chef du conseil militaire Mohamed Al-Tantawi et le ministre des Affaires étrangères Nabil Al-Arabi.
Ayalon a discuté avec ses collègues égyptiens diverses questions, y compris l’accord de réconciliation entre le Fatah et le Hamas, l’ouverture du passage de Rafah, ainsi que la protection du transfert de gaz et son re-pompage en Israël (qui a été repris après quelques jours de son retour au Caire). Mais, il semble que l'objectif  de la visite d’Ayalon a été une première expérience pour transférer le poids des relations entre les deux pays à un niveau ministériel et politique. Cela survient après que les relations étaient fondées pendant de nombreuses années sur des visites secrètes menées par différentes parties sans coordination préalable dont le voyage et le contenu des rencontres n'ont pas été coordonnés avec le ministère israélien des Affaires étrangères.
Depuis le changement du système, les Egyptiens ont demandé que toutes les coordinations politiques soient réalisées dans une faible émergence des médias en raison de la situation délicate avec les Palestiniens.

Ils payent le «prix»
Les Israéliens sont préoccupés par les évolutions récentes en Egypte, par l’intensification du mouvement des "Frères musulmans" aux prochaines élections, par le rapprochement entre le Hamas et l'Iran, et par des questions de sécurité telles que l'ouverture du passage de Rafah, la garantie de poser des gazoducs vers Israël ainsi que l'absence de contrôle dans la péninsule du Sinaï et autres. 
La plus grande préoccupation d’Israël était de déstabiliser l'accord de paix entre les deux pays.
Depuis lors, selon des nouvelles étrangères, différents responsables israéliens, tels que Amos Gilad, chef de la commission politique et sécuritaire dans le ministère de la Défense ont visité l'Egypte. Pour la première fois depuis des années, l'ambassadeur au Caire, Yitzhak Lebnoun, a rencontré le ministre égyptien des Affaires étrangères dans une longue conversation.
Il y a près de deux semaines, le Premier ministre Benjamin Netanyahu ainsi que le ministre de la Défense Ehud Barak ont dialogué avec Tantawi, selon Maariv, .
L'objectif de ces visites, réunions et conversations téléphoniques est de maintenir, sur fond de changements, le plus haut niveau de coordination au niveau de la sécurité. Les Egyptiens ont plus d'une fois expliqué à Israël, qu'il y a un «prix» qu’ils doivent payer aux Palestiniens, au Hamas et au public égyptien.
Jusqu'à le temps de la fermeture du journal, la réponse d’Ayalon présent hors du pays n'a pas pu être prise.


Suite à l'attaque par missiles: Il faut fuir vers les villes sûres dans les colonies
Source: "site de nouvelles NFC - Shabtai Abraham"

"Je ne suis ni prophète, ni fils de prophète: suite à l'incident qui a eu lieu en 1991 Quand Saddam Hussein a lancé des dizaines de roquettes sur les villes de Gush Dan en 1991, les colonies de Bethel, Ofra, Sheila et d'autres étaient à l'époque des villes sans danger. Bethel était remplie des hôtes des proches de familles qui ont quitté Tel Aviv et ses environs, et vinrent à une place fortifiée, près de Ramallah, où résidait la population de Saddam Hussein.
La présence des arabes est une protection des colons dans les colonies voisines. Jérusalem était également un lieu sûr pendant la guerre du Golfe, à l'époque Eilat était, contrairement à ces jours, en dehors de la portée des missiles. Tel était le cas lors de l'attaque par missiles pendant la seconde guerre du Liban en 2006, vous vous souvenez que nous avons arrêté de compter les milliers de roquettes Katioucha et de missiles qui sont tombés, en particulier dans le nord du pays, et qu’une partie connue de la population a fui la mauvaise situation qui a commencé au nord.
Messieurs, l'histoire se répète à nouveau et le peuple d'Israël est sur le point de revivre l’attaque de missiles, cette fois par l’Iran, la Syrie, le Liban et avec la participation de la bande de Gaza. Le montant de l'arsenal d'armes en leur possession est grande et destructrice et n'est pas destinée à la beauté, ni à la dissuasion.
Nous devons nous rappeler que les Américains ont averti Saddam Hussein pour qu’il n'ose pas attaquer Israël et le Koweït, mais une main invisible l’a attaché à son avis (exactement  comme décrites dans les coups sur l'Egypte, Dieu a obligé Pharaon à être tenace dans son opinion) et il n'a pas répondu aux avertissements et instructions. Les colonies situées dans le centre d'Israël et à proximité des villes arabes, représentent donc des villes de réfugiés, des villes sans danger où fuira les résidents de Gush Dan et Hishfla (plaine de Judée) dans les périodes d'adversité, exactement comme cela s'est passé en 1991.
Mais il est certain qu'il est possible d'agrandir les villes sûres et créer plusieurs appartements, ainsi que des bâtiments publics, et hôtels capables d’accueillir un million de réfugiés en temps de nécessité. Je me souviens très bien qu'en 1991 un grand nombre de familles  craignant pour leur vie avait fui à la Bethel. Elles se sont installées en grand nombre dans les refuges et surtout dans les salons, sur le sol et même dans la cuisine. Tous les produits de consommation furent vidés des boutiques locales en raison du nombre imprévu de personnes qui sont arrivées dans à lieu horrible, sans aucune planification préalable, pour une période inconnue et sans aucune place de stationnement.
Les missiles sont passés en un clin d’œil au dessus de Judée et de la Samarie, et le bruit de l’explosion de", Nahesh Htesfaa" (le serpent pernicieux) a été entendu dans notre pays. Comme je l'ai dit précédemment, je ne suis pas un prophète, mais ce scénario pourrait, à Dieu ne plaise, se répéter et nous devons y être préparés, avant qu'il soit trop tard et préparer des plans détaillés par le commandement de la région intérieure pour accueillir un grand nombre de réfugiés et pendant une longue période. Il faut préserver les villes de réfugiés importantes et y (organiser) des réunions de sécurité suprême pour en faire des lieux de refuge"

Israël craint le passage d'un satellite espion turc au-dessus de ses terres

Source: " Le site de nouvelles NFC- Ari Gori"

"Israël tente de minimiser les dommages attendus de la libération d'un satellite espion turc dans les deux ans à venir. Apparemment, ce sujet sera abordé cette semaine lors de la rencontrer d’Ehud Barak avec son homologue chinois à Pékin.
La Turquie semble faire de grands pas vers le lancement d’un satellite espion en 2013, et ce fait préoccupe grandement Israël. Le satellite « Gök Türk » filmera même pendant son passage au-dessus d'Israël, et ici il rompra la restriction dictée par les Américains qui détermine que les images prises au-dessus de la zone d'Israël ne doivent pas être de type «militaire».
Il semble que le ministre (de guerre), Ehud Barak, discute de cette affaire pendant sa réunion cette semaine à Pékin, avec son homologue chinois, parce que c’est la Chine qui est censée envoyer le satellite. Et les israéliens voudraient que la Turquie se soumette à ne pas fournir à d'autres pays des images d'analyse minutieuse représentant des domaines spécifiques en Israël. Hier, une source de sécurité a déclaré: «Aujourd'hui, en ce qui concerne les relations entre Israël et la Turquie, un satellite espion turc pourrait servir des directions très hostiles d'Israël."
 
Le soutien européen
 
Il semble que des entreprises européennes, principalement de l'Italie, aideront les entreprises turques pour la fabrication du satellite. En 2007, le système turc a éloigné l'industrie du transport aérien de la concurrence pour obtenir un satellite espion à l'armée turque. A cette époque les médias turcs ont prétendu que la décision de la Turquie provenait d'une demande d'Israël, celle-ci empêche la Turquie de faire fonctionner  son satellite lorsqu’il  passe au-dessus d'Israël.

Au début de l’annee 2007, les contacts entre l'industrie aérienne et le ministère de la défense de la Turquie furent repris pour un accord sur un satellite espion de production israélienne d’une valeur de 250 millions de dollars. Cela était un centre de discussions sur la possession d’un satellite espion. En l’an 2000, des responsables Turcs ont indiqué à l’annexe de l'armée israélienne à Ankara, que l'industrie du transport aérien a remporté l’adjudication pour fournir les satellites espions, et cela après avoir réduit le prix. La nouvelle fut infiltrée à un journal turc, l'entreprise française « Alektil » présenta alors la deuxième participation à l'adjudication, en objection à ce résultat. Les turcs inaugurèrent une nouvelle fois et de façon étonnante l’adjudication, et après plusieurs discussions, il fut décidé d'attribuer le contrat à la société française « Alektil ».
L'accord fut annulé avec la société française suite à la décision du Parlement français, qui a condamné l'assassinat des Arméniens en Turquie il ya 87 ans et l’a défini comme «génocide». Cela irrita les turcs qui, selon les journaux turcs, décidèrent alors d'annuler le contrat avec la société française.
Des sources proches du sujet prétendirent à l’époque que la résolution parlementaire  était une cause secondaire et que la cause primaire était la réticence des Français à transférer des informations vers les usines turques dans le cadre de l'accord. Actuellement, comme mentionné précédemment, les Turcs progressent vers un satellite espion propre à eux, et dans le cadre des relations actuelles entre les deux pays, cela mène cette grande inquiétude car il n'y a en ce moment, aucun moyen de l'atténuer. "



  

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