Le secrétaire général adjoint du Hezbollah cheikh Naïm Kassem a indiqué que "le Premier ministre Saad Hariri a un rôle primordial à jouer pour régler la crise politqiue actuelle" l'appelant "à faire attention de ceux qui sement la zizanie entre nous et lui".
"Le Hezbollah, Hariri et les autres parties devraient assumer leurs responsabilités dans la direction du pays" a déclaré cheikh Kassem ajoutant que "l'entente sur l'écart de toute diffamation injuste est la solution". 
Dans un entretien au quotidien Assafir, le secrétaire général du Hezbollah s'est dit optimisme pour que la tentative syro-saoudienne aboutit à une solution avant la parution prétendue de l'acte d'accusation du Tribunal spécial pour le Liban (TSL).
"Nous n'acceptons pas d'être injustement et faussement accusés. Nous ne sommes pas devant un dévoilement de la vérité mais devant une nouvelle agression contre le Hezbollah. Ainsi, le Liban sera influencé positivement ou négativement par les évènements résultants des mesures prises par le TSL et nous sommes soucieux de ne pas endommager le Liban" a -t-il annoncé".
Et d'ajouter: "Celui qui croit que nous sommes dans un impasse à cause de l'acte d'accusation falsifié se trompe. Nous sommes les moins lésés".
Répondant à une question, cheikh Kassem a annoncé que l'occasion pour aboutir à une solution est disponible mais elle n'est pas illimitée"".
Concernant un entretien probable entre le secrétaire général du Hezbollah sayed Hassan Nasrallah et Hariri, il a déclaré qu'en rien n'empêche sa tenu et il est possible d'avoir lieu pendant des heures si les circonsatnces propices à des traitements sincères seraient disponibles.
Concernant les réactions du Hezbollah après l'émission de l'acte d'accusation, cheikh Kassem s'est contenté de répondre : "toutes les possibilités sont ouvertes".