Ayyoub Kara: la retraite d’Al Ghajar est une nouvelle fuite israélienne du Liban

Ayyoub Kara, vice-ministre israélien du développement du Naqab et d'Al Khalil a fermement critiqué les rapports évoquant une approbation du gouvernement israélien de renoncer au village frontalier d'Al Ghajar à la fin du mois en cour.
Kara a jugé cette décision de " bêtise" qui contredise la loi du Golan corroborant qu'"Israël" payera le coût à "Jérusalem".
Kara a souligné que ce pas est impossible à appliquer immédiatement parce qu'il ne garantit pas la sécurité d'"Israël".
De même, il a réclamé de savoir les mesures que les libanais projettent prendre afin de garder la sécurité dans cette région. D'ailleurs, il a demandé à l'Union européenne et aux Nations Unies, parrainnes de cette décision, de proposer des garanties interdisant la transformation de cette région en un bastion pour l'Iran". 

Kara a indiqué que "ce pas ne s'émane pas de l'intention du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu voire d'une décision de fuite du Liban, appliquée auparavant par ses prédécesseurs Ariel Charon et Ehud Olmert".

De même, il a confirmé que Netanyahu s'est dit également soucieux de l'application de la résolution des Nations Unies.
"Netanyahu est sujette à des pressions internationales. Il faut qu'on exerce sur lui des anti-pressions" a-t-il ajouté.
De fait, le vice-ministre israélien tente, depuis plusieurs semaines, de prouver que les cartes géographiques anciennes montrent que le village en entier n'est pas libanais.