Liban: Attentat terroriste contre un barrage des FSI, le chef de la Sûreté générale échappe de justesse

Alors que se multiplient, ces derniers jours, les informations et mises en garde sur une résurgence des troubles sécuritaires au Liban, un attentat-suicide a été perpétré, vendredi peu avant midi, contre un barrage des Forces de sécurité intérieure (FSI) à Dahr el-Baïdar dans le Mont-Liban. L'explosion a eu lieu au passage du convoi du général Ibrahim qui a échappé de justesse et poursuivi son chemin vers Beyrouth.
Au moins deux personnes sont tombées en martyr et plusieurs autres blessées dans l'attentat
terroriste, selon l'Agence nationale d'information (ANI, officielle). Selon le juge Sakr Sakr, la charge placée dans la voiture piégée était de 25 à 30 kilos
Le chef de la Sûreté générale, le général Abbas Ibrahim, était la cible de l'attentat suicide à la voiture piégée à Dahr el-Baïdar, qui a fait au moins deux martyrs, dont un membre des FSI, et une vingtaine de blessés.
«L'attentat a eu lieu après le passage de ma voiture et du convoi qui m'accompagnait», a déclaré le général Ibrahim à la chaîne al-Jadeed.
Le ministre de la Santé, Waël Bou Faour, a demandé vendredi à tous les hôpitaux de recevoir les victimes de l'attentat.
Cet attentat intervient dans un contexte de tensions accrues, plusieurs responsables et médias mettant en garde contre des attaques de grande envergure visant notamment des établissements hospitaliers et des personnalités libanaises.
Parallèlement, les forces de sécurité ont coupé vendredi plusieurs routes à Beyrouth en raison de menaces sécuritaires, rapporte l'Agence nationale d'information (Ani, officielle).
Les routes de Aïn el-Tiné, Bir Hassan, de l'ambassade koweïtienne, de l'Unesco, de l'aéroport et de l'hôpital militaire ont été bouclées.
Ce matin, plusieurs opérations de perquisition avaient eu lieu dans plusieurs régions libanaises, notamment dans le quartier commercial et très fréquenté de Hamra à Beyrouth. Plusieurs suspects, une vingtaine, membres d'un groupe extrémiste, auraient été arrêtés à l'hôtel Napoléon à Hamra.
Face à ces menaces sécuritaires, l'ambassadeur des Etats-Unis au Liban, David Hale, a annulé vendredi une visite prévue au ministère des Affaires étrangères à Beyrouth, rapporte l'Agence nationale d'information (Ani, officielle). M. Hale devait s'entretenir avec le chef de la diplomatie Gebran Bassil.
Source : agences et rédaction
Au moins deux personnes sont tombées en martyr et plusieurs autres blessées dans l'attentat

Le chef de la Sûreté générale, le général Abbas Ibrahim, était la cible de l'attentat suicide à la voiture piégée à Dahr el-Baïdar, qui a fait au moins deux martyrs, dont un membre des FSI, et une vingtaine de blessés.
«L'attentat a eu lieu après le passage de ma voiture et du convoi qui m'accompagnait», a déclaré le général Ibrahim à la chaîne al-Jadeed.
Le ministre de la Santé, Waël Bou Faour, a demandé vendredi à tous les hôpitaux de recevoir les victimes de l'attentat.
Cet attentat intervient dans un contexte de tensions accrues, plusieurs responsables et médias mettant en garde contre des attaques de grande envergure visant notamment des établissements hospitaliers et des personnalités libanaises.
Parallèlement, les forces de sécurité ont coupé vendredi plusieurs routes à Beyrouth en raison de menaces sécuritaires, rapporte l'Agence nationale d'information (Ani, officielle).
Les routes de Aïn el-Tiné, Bir Hassan, de l'ambassade koweïtienne, de l'Unesco, de l'aéroport et de l'hôpital militaire ont été bouclées.
Ce matin, plusieurs opérations de perquisition avaient eu lieu dans plusieurs régions libanaises, notamment dans le quartier commercial et très fréquenté de Hamra à Beyrouth. Plusieurs suspects, une vingtaine, membres d'un groupe extrémiste, auraient été arrêtés à l'hôtel Napoléon à Hamra.
Face à ces menaces sécuritaires, l'ambassadeur des Etats-Unis au Liban, David Hale, a annulé vendredi une visite prévue au ministère des Affaires étrangères à Beyrouth, rapporte l'Agence nationale d'information (Ani, officielle). M. Hale devait s'entretenir avec le chef de la diplomatie Gebran Bassil.
Source : agences et rédaction
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