Syrie : Genève-2 consacre les clivages entre les «rebelles»

Le «Conseil national syrien» a annoncé qu'il ne participerait pas à la conférence de paix Genève-2, souhaitée par Washington et Moscou. Cette décision risque d'approfondir encore les divisions au sein d'une opposition déjà très fragmentée.
Le chef du «Conseil national syrien» (CNS) a menacé de se retirer de la coalition antirégime si celle-ci
prenait part à la conférence internationale, qui vise à réunir à une même table le régime syrien et l'opposition.
«Le CNS, qui est le plus grand bloc politique au sein de la Coalition, a pris la ferme décision (...) de ne pas aller à Genève», a affirmé le chef du CNS, Georges Sabra.
«Cela veut dire qu'il ne restera pas au sein de la Coalition si celle-ci y va», a-t-il martelé, invoquant les souffrances endurées par la population en raison de la guerre menée par le régime contre les rebelles.
La décision du CNS risque d'approfondir encore les divisions au sein d'une opposition déjà très fragmentée et affaiblie par un désaveu des principaux groupes d'opposition armée, dont certains sont entrés en conflit entre eux.
Source : agences et rédaction
Le chef du «Conseil national syrien» (CNS) a menacé de se retirer de la coalition antirégime si celle-ci

«Le CNS, qui est le plus grand bloc politique au sein de la Coalition, a pris la ferme décision (...) de ne pas aller à Genève», a affirmé le chef du CNS, Georges Sabra.
«Cela veut dire qu'il ne restera pas au sein de la Coalition si celle-ci y va», a-t-il martelé, invoquant les souffrances endurées par la population en raison de la guerre menée par le régime contre les rebelles.
La décision du CNS risque d'approfondir encore les divisions au sein d'une opposition déjà très fragmentée et affaiblie par un désaveu des principaux groupes d'opposition armée, dont certains sont entrés en conflit entre eux.
Source : agences et rédaction
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