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La table de dialogue: débat entre Siniora et Berri concernant le communiqué final (Presse)

La table de dialogue: débat entre Siniora et Berri concernant le communiqué final (Presse)
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Comme prévu, la table de dialogue tenue hier au Palais Présidentiel a fait la Une des quotidiens libanais, ceux ci ont rapporté une scène ennuyeuse à part le débat déclenché à la fin de la scéance entre le chef de l'assemblée Nabih Berri et l'ex premier ministre Fouad Siniora qui a voulu insérer dans le communiqué final, la même clause de la déclaration ministérielle concernant le respect du Liban des résolutions internationales, dépourvue du "droit du liban, son peuple et sa résistance à confronter l'ennemi". Le débat a été donc résolu par l'annulation de toute la clause.
Suivant la presse d'aujourd'hui nous pouvons diviser les participants au dialogue national en deux camps, les silencieux et les orateurs. Les députés Mohamad Raad, Walid jumblatt, Agobe Bakradonian et le professeur Fayez hajj SHahine ont préféré le silence, alors que les députés Sleimane Frangieh, Talal Arslan et Assaad Hardan se sont engagés à répondre aux propos lancés par le chef du comité exécutif des FL Samir Geagea et le président des "Kataeb" Amine Gmayel qui tous deux ayant focalisé sur le désarmement de la résistance.
Tout en faisant allusion à certains participants au dialogue, le chef de "Marada" Sleimane Frangieh a proposé au Président de la République de former un comité ayant pour fonction de définir légalement les caractéristiques du collaborateur avec l'ennemi.
"Est-ce le collaborateur celui qui fournit des informations à l'ennemi, ou celui qui communique avec lui, ou même qui lui vend des positions politiques et via les médias en sa faveur?" s'est-il addressé aux interlocuteurs.
"La trahison est une trahison partout dans le monde sauf au liban où elle semble un point de vue" a-ajouté le député Talal Arslan, critiquant "l'absence de tout plan officiel pour libérer les territoires occupés?"     
Quant au député Assaad Hardan, il a estimé qu'on doit discuter la manière de confronter les menaces israéliennes et protéger la résistance et son rôle, jugeant la proposition de retourner à l'accord d'armistice "d'une récompense offerte à l'ennemi qui occupe toujours notre territoire".      
       

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