La Syrie fera face à tous les scénarios, selon un responsable sécuritaire

Le pouvoir syrien est prêt à faire face «à tous les scénarios», au moment où les puissances occidentales étudient des options militaires après une attaque chimique présumée près de Damas, a affirmé lundi à l'AFP un haut responsable au sein des services de sécurité.
«Les menaces occidentales de frappe contre la Syrie entrent dans le cadre des pressions
psychologiques et politiques sur la Syrie, mais dans tous les cas nous sommes prêts à faire face à tous les scénarios», a-t-il dit.
Et d’ajouter: «Nous espérons que ceux qui tentent de pousser vers une action militaire se montrent raisonnables. Nous sommes convaincus que la sortie de la crise ne sera que politique».
«Tout problème, dans quelque point que ce soit, aura des impacts sur toute la région, car la situation en Syrie est complexe et compliquée», a-t-il encore dit.
Le président syrien Bachar al-Assad a prévenu Washington que toute intervention militaire contre son pays serait «vouée à l'échec», qualifiant d'«insensées» les accusations occidentales sur «l'usage d'armes chimiques par l’armée syrienne».
Mercredi dernier, une offensive au gaz innervant a été lancée dans la Ghouta orientale faisant entre 500 et 1.000 morts. Les rebelles syriens accusent les forces du président Assad d’être à l’origine de cette attaque. Damas a catégoriquement démenti ces accusations tandis que la Russie a avancé des documents et des preuves selon lesquels les rebelles auraient pu lancer l’attaque eux-mêmes pour provoquer une réaction internationale.
Soure: agences et rédaction
«Les menaces occidentales de frappe contre la Syrie entrent dans le cadre des pressions

Et d’ajouter: «Nous espérons que ceux qui tentent de pousser vers une action militaire se montrent raisonnables. Nous sommes convaincus que la sortie de la crise ne sera que politique».
«Tout problème, dans quelque point que ce soit, aura des impacts sur toute la région, car la situation en Syrie est complexe et compliquée», a-t-il encore dit.
Le président syrien Bachar al-Assad a prévenu Washington que toute intervention militaire contre son pays serait «vouée à l'échec», qualifiant d'«insensées» les accusations occidentales sur «l'usage d'armes chimiques par l’armée syrienne».
Mercredi dernier, une offensive au gaz innervant a été lancée dans la Ghouta orientale faisant entre 500 et 1.000 morts. Les rebelles syriens accusent les forces du président Assad d’être à l’origine de cette attaque. Damas a catégoriquement démenti ces accusations tandis que la Russie a avancé des documents et des preuves selon lesquels les rebelles auraient pu lancer l’attaque eux-mêmes pour provoquer une réaction internationale.
Soure: agences et rédaction
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