Le président égyptien opposé à toute intervention militaire étrangère en Syrie

L'Egypte est opposée à toute intervention d'une force militaire étrangère en Syrie même si elle souhaite le départ du président Bachar al-Assad, c’est ce qu’a déclaré lundi le président égyptien Mohamed Morsi.
Il a au contraire estimé que les efforts diplomatiques d'un quatuor formé par l'Egypte, l'Iran,
l'Arabie Saoudite et la Turquie pourraient « aider à mettre un terme à la guerre civile » qui ensanglante la Syrie depuis 18 mois, dans une interview à la chaîne de télévision américaine PBS à la veille de l'ouverture de l'Assemblée générale de l'ONU à New York.
« Je suis opposé à toute intervention étrangère par la force dans ce qui ce passe en Syrie », a déclaré M. Morsi.
« Je ne l'approuve pas et je pense que cela serait une grosse erreur si cela se produisait », a-t-il martelé, ajoutant que « l'Egypte ne l'approuverait pas ».
Mohamed Morsi, le premier président civil de l'Egypte, élu en juin, a également estimé que les nations arabes devaient « soutenir le peuple syrien dans sa marche vers la liberté ».
Le président égyptien a expliqué qu'il a réuni des responsables égyptiens, iraniens, turcs et saoudiens pour « tenter de proposer des solutions à ce conflit » parce qu'ils sont, à des degrés divers, « concernés directement par la crise syrienne ».
« C'est pour cette raison que j'ai choisi ces pays, vous ne pouvez pas résoudre ce conflit sans que ces pays ne s'impliquent », a-t-il souligné, ajoutant qu'il espérait « amener les dirigeants de ces quatre nations à se rencontrer pour discuter de la Syrie ».
Le président égyptien doit s'adresser à l'Assemblée générale de l'ONU mercredi.
Source: Agences
Il a au contraire estimé que les efforts diplomatiques d'un quatuor formé par l'Egypte, l'Iran,

« Je suis opposé à toute intervention étrangère par la force dans ce qui ce passe en Syrie », a déclaré M. Morsi.
« Je ne l'approuve pas et je pense que cela serait une grosse erreur si cela se produisait », a-t-il martelé, ajoutant que « l'Egypte ne l'approuverait pas ».
Mohamed Morsi, le premier président civil de l'Egypte, élu en juin, a également estimé que les nations arabes devaient « soutenir le peuple syrien dans sa marche vers la liberté ».
Le président égyptien a expliqué qu'il a réuni des responsables égyptiens, iraniens, turcs et saoudiens pour « tenter de proposer des solutions à ce conflit » parce qu'ils sont, à des degrés divers, « concernés directement par la crise syrienne ».
« C'est pour cette raison que j'ai choisi ces pays, vous ne pouvez pas résoudre ce conflit sans que ces pays ne s'impliquent », a-t-il souligné, ajoutant qu'il espérait « amener les dirigeants de ces quatre nations à se rencontrer pour discuter de la Syrie ».
Le président égyptien doit s'adresser à l'Assemblée générale de l'ONU mercredi.
Source: Agences

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