Nabil Rajab condamné à trois mois de prison

Le chef du Centre bahreïni pour les droits de l'Homme (BCHR) Nabil Rajab, a été condamné par un tribunal bahreïni à trois mois de prison pour «insultes» à cause de certains tweets, a rapporté la Bahrain News Agency.
L’avocat de l'activiste humanitaire a précisé qu’il allait faire appel de cette condamnation, et que le juge avait indiqué que le temps que Rajab avait déjà passé en prison serait décompté de la peine. Le défenseur des droits de l’Homme a en effet passé trois semaines derrière les barreaux du centre de détention d’al Houra, à Manama, en juin dans le cadre de cette affaire.
L'activiste et militant pour les droits de l'homme à Bahrein qui fut plusieurs fois arrêté par les autorités bahreïnies, a de nouveau été interpellé le 6 juin, pour un complément d’enquête concernant une plainte déposée contre lui par plusieurs habitants de la région d’al Muharraq (Nord). Les autorités bahreïnies lui reprochaient d’avoir posté des «tweets insultants». Il avait finalement été libéré contre versement d’une caution de 300 dinars bahreïnis (environ 640 euros) le 29 mai. Amnesty International le considère un prisonnier d'opinion.
Source: Alintiqad, traduit par moqawama.org

L'activiste et militant pour les droits de l'homme à Bahrein qui fut plusieurs fois arrêté par les autorités bahreïnies, a de nouveau été interpellé le 6 juin, pour un complément d’enquête concernant une plainte déposée contre lui par plusieurs habitants de la région d’al Muharraq (Nord). Les autorités bahreïnies lui reprochaient d’avoir posté des «tweets insultants». Il avait finalement été libéré contre versement d’une caution de 300 dinars bahreïnis (environ 640 euros) le 29 mai. Amnesty International le considère un prisonnier d'opinion.
Source: Alintiqad, traduit par moqawama.org
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