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Les ingénieurs iraniens enlevés en Syrie auraient été transférés au Liban-Nord

Les ingénieurs iraniens enlevés en Syrie auraient été transférés au Liban-Nord
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Suite aux informations rapportées par la chaîne télévisée iranienne PressTV selon lesquelles les sept ingénieurs iraniens enlevés en Syrie auraient été tranférés au Liban-Nord, une source sécuritaire a affirmé à Alintiqad que "depuis la déclaration de l'enlèvement des ingénieurs à Homs, les services sécuritaires libanais au Nord surveillent tous les passages à la frontière libano-syrienne, de peur que les captifs ne soient transférés au Liban".

Elle a également souligné que "les points de passage entre Homs et le Nord du Liban sont majoritairement ouverts pour tous, en dépit des mesures sécuritaires strictes".

Selon la source, le transport des "combattants" anti-régime blessés au Liban se fait chaque semaine.

Les ingénieurs iraniens enlevés en Syrie auraient été transférés au Liban-Nord


"Trois blessés ont été transportés il y a deux jours à l'hôpital public de Tripoli. Ils sont soignés dans les hôpitaux de Kbayet et Akar, et puis transportés dans de différents endroits au Liban, sous la surveillance des services sécuritaires libanais qui connaissent en détails les centres de rassemblement de l'opposition syrienne. Ces centres sont très actifs, et ils envoient régulièrement des messages à certains groupes islamiques. Le dernier était adressé aux dirigeants du parti Al Tahrir de la part des soi-disant "révolutionnaires syriens", afin de les remercier pour les marches et les activités soutenant l'opposition syrienne. De même, certains médias ont déjà fait des entretiens avec des membres de la soi-disant "Armée Syrienne Libre" dans les régions du Nord", a-t-elle indiqué.

La source a de même souligné qu'elle suivra toute information d'une manière précise et ne sera pas indulgente envers toute partie qui essaie de transporter des captifs aux Liban.

Sur le plan politique, le ministre libanais de la jeunesse Fayssal Omar karami a exprimé sa crainte quant au trafic d'armes et à l'infiltration de quelques membres à travers des points de passage au Nord du Liban. "Nos frontières sont ouvertes, et le trafic d'armes du Liban en Syrie a lieu et rien n'est sous contrôle", a-t-il martelé.

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