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L’achèvement de la construction de 60 drones israéliens en Azerbaïdjan

L’achèvement de la construction de 60 drones israéliens en Azerbaïdjan
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Source: «Site de Tik Debka »

« Avec l'élection de l'Azerbaïdjan le 24/10 en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité pour les deux prochaines années, jusqu'en 2014, un état ayant des liens militaires et économiques très étroits avec «Israël», est intégré au Conseil. Cependant, dans cet Etat, les industries militaires israéliennes et turques se disputent sur les relations avec l'armée d'Azerbaïdjan, ce qui provoque une autre tension entre Jérusalem et Ankara.

Trois autres pays, à savoir la Russie, l'Arménie, et l'Iran, considèrent avec une grande incertitude les liens militaires profonds entre Jérusalem et Bakou (capitale de l'Azerbaïdjan), surtout que l'armée de l'Azerbaïdjan se dote rapidement de multiples types d'avions israéliens sans pilote, et en raison de la mise en place d'installations communes en Azerbaïdjan pour produire ce type d’avions.
D’autre part, Moscou et Téhéran cherchent des moyens pour freiner l'extension de l'armée israélienne en Azerbaïdjan.

Selon nos sources militaires, les mois à venir témoigneront de la fourniture à l'Armée de l'Azerbaïdjan de 60 drones de deux types: Orbiter M2, qui peut agir à des hauteurs allant jusqu'à 4 à 6 kilomètres, et peut rester en l'air jusqu'à cinq heures. Le deuxième type est l'Aerostar, qui peut opérer à des altitudes allant jusqu'à 10 kilomètres et peut voler dans l'air pendant 12 heures. De plus, 70% des pièces de l'avion sont produites en Israël, et 30% sont produites dans des usines qui ont été établies en Azerbaïdjan.

Selon l'armée azerbaïdjanaise, ce ne sont que les premières étapes de sa fourniture par des drones. Dans ce cadre, le ministre des industries militaires, Yaffar Jamalov, a déclaré que Bakou tente de produire des drones porte-avions. Et cela a été une sorte de référence à ce que, en pratique, un accord secret a été conclu entre l'Azerbaïdjan et Israël pour la création d'usines afin de produire de tels types communs d'avions, et que cela a déjà été commencé. Il semblerait qu’il s’agit de grands drones de type Hermès 900, produits par la fondation israélienne (Beit El), surtout que l'armée de l'Azerbaïdjan utilise déjà l’avion Hermes 450.

Des sources occidentales affirment qu’ "Israël" et l'Azerbaïdjan dirigent également des négociations pour la construction et l'exploitation de satellites espions militaires. Selon les sources iraniennes de Tik Debka, l'Iran craint qu’Israël n’utilise des stations radar situées sur la côte de la mer Caspienne, lui permettant de surveiller ce qui se passe en Iran, et qu’il établira en Azerbaïdjan des bases aériennes à long terme pour les drones, afin de lancer plus tard une attaque sur le programme nucléaire iranien.

Récemment, le secrétaire des fichiers de l’industrie au ministère de la défense militaire turque, Baer Murat, a visité à Bakou, et a essayé de persuader les dirigeants militaires en Azerbaïdjan d’acheter les drones turcs Anka, au lieu de drones israéliens tactiques. De son côté, Baer a promis que la Turquie va financer la création d'une usine en Azerbaïdjan pour la production de cet avion. Cependant, cet avion turc est encore au stade de construction de prototypes, et ne sera achevé que dans la prochaine année, et ne possède aucune expérience exécutive. De plus, l’Azerbaïdjan n'a pas refusé le fait que la Turquie teste sa réaction, mais lui a demandé de revenir et de refaire l’offre après que l’avion turc Anka puisse réaliser des expériences de ce genre.

Il est à noter que le 12 Septembre, un drone israélien occupé par des techniciens israéliens a été abattu au-dessus de la province Est Martuni qui se trouve à (Nana Karabakh) en guerre avec l'Azerbaïdjan. Mais cet avion portait les symboles d'identité de l'Armée de l'Air de l'Azerbaïdjan. Et dans la déclaration du Ministère de la Défense de Nana-Karabakh, il a été signalé que l'avion a été descendu grâce à l’utilisation de moyens spéciaux par les unités de défense privée et de l'airLes sources militaires de Tik Debka affirment que ces moyens spéciaux étaient des agents de la défense aérienne russe ainsi que des équipements spohistiqués pour faire chuter des drones des unités de défense aérienne de (Nana Karabakh). D’autre part, des sources de renseignement occidentales surveillant les mouvements militaires dans la Caucase du Sud, déclarent que

Moscou a essayé d'atteindre quatre objectifs via la chute de l’avion:
Premièrement, insinuer à Israël qu’il devrait cesser son intervention militaire dans les pays situés sur la mer Caspienne où Moscou est préoccupé par l'impact militaire et économique israélien croissant dans quatre pays qui sont: l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Turkménistan et la Géorgie. D’autre part, il est de l'avis des Russes que fournir à ces États des systèmes d'armes israéliens est une intervention israélienne dans la cour de Russie.
Deuxièmement, la chute de l'avion d'Azerbaïdjan, dont le but en pratique était un affrontement direct entre les techniciens Israéliens et l'équipe de la lutte anti-aérienne russe, était une vengeance russe d’Israël qui a signé au début de l’année 2009 un accord pour établir une usine pour la production de drones en Russie, mais a refusé sous la pression des États-Unis.
Troisièmement, le désir de Moscou d’assurer à Téhéran que la Russie est prête à coopérer politiquement, militairement et en termes de renseignement avec l'Iran pour garantir leurs droits dans la mer Caspienne, et que les Russes sont prêts à agir militairement pour empêcher l'extension de l'influence de l'Azerbaïdjan et d’Israël dans la région.
Quatrièmement: Ce n'était pas par hasard que le ministère de la Défense à Nana Karabakh ait publié des photos de l’avion écrasé. De plus, Israël et l'Azerbaïdjan n’ont prononcé aucun mot au sujet de cette publication. Les images montrent délibérément les caméras de l'avion, afin de souligner à Jérusalem et à Bakou qu'au cas où ces vols se poursuivent, Moscou n'hésitera pas à envoyer l'épave de l’avion israélien aux spécialistes des renseignements Iraniens ».

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