Source: «Le site de nouvelles WALLA-Amir Bouhbot »


« Les huit soldats ont refusé d'effectuer des travaux de nettoyage et de garde comme les jeunes soldats, et après que leur commandant ait refusé de répondre à leurs demandes, ils ont quitté le site et ne sont pas revenus jusqu'à l'heure Le porte-parole de l’armée israélienne : « Des mesures importantes seront prises comme il se doit ».

Après moins d'une semaine sur la prise de responsabilité par la brigade de parachutistes elle-même de responsabilité à la Judée et la Samarie, huit soldats du bataillon 890 du site de la brigade d'Hébron sont partis hier (mardi). Ces huit soldats ont refusé d’exécuter des travaux qui leur ont été imposés dans le contexte du travail opérationnel, à Hébron.

Et selon les paroles des soldats, il leur a été demandé d'effectuer des travaux de nettoyage, de la peinture et de la garde comme les jeunes soldats qui ont rejoint le bataillon, mais ils ont refusé cela. Et après le refus du commandant de répondre à leurs demandes, ils ont décidé de quitter le site. À ce jour, aucun des soldats n’est retourné au site malgré les demandes des dirigeants.

De son coté, le porte-parole de l'armée israélienne a répondu que: «on a demandé à huit soldats d’exécuter d'entretien de routine, ils ont refusé d'exécuter la commande et ont quitté le site. L'armée israélienne considère cette situation trop dangereuse, des mesure de commandement importantes vont donc être prises comme il se doit ».

Dans ce contexte, une rébellion semblable a déjà eu lieu en mi-août de cette année, après la fuite de 11 soldats du bataillon "Dokhfit" de la Brigade Kfir, pendant un travail opérationnel dans un site de la brigade régionale Etzion, en protestation contre le traitement des commandants et des l’atteinte des conditions après la demande des commandants, les soldats sont retournés quelques jours plus tard. Le commandant de la Brigade Kfir, le colonel Udi Ben Moha, a ordonné d’exclure le chef des sergents de la brigade contre qui les plaintes se sont concentrées, ainsi que de juger les soldats par différentes peines, allant du licenciement jusqu’à la prison pour des jours ».