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Le directeur de la NSA en «Israël» pour renforcer la coopération avec les USA

Le directeur de la NSA en «Israël» pour renforcer la coopération avec les USA
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L'un des principaux sujets abordés était la coopération entre «Israël» et les Etats-Unis sur la protection cybernétique, en particulier face aux attaques de l'Iran et du Hezbollah.

Le directeur de la NSA en «Israël» pour renforcer la coopération avec les USA

Le directeur de la National Security Agency, (NSA, Agence nationale de la sécurité), l'amiral Michael Rogers, était secrètement en «Israël» la semaine dernière pour une réunion de travail avec les services israéliens du renseignement militaire, au sujet de la cyberguerre face essentiellement à l'Iran et au Hezbollah, a rapporté dimanche le quotidien israélien Haaretz.

Lors de sa visite, Rogers a rencontré des représentants de l'unité 8200, responsable du renseignement d'origine électromagnétique et du décryptage de codes au sein de l'armée israélienne, selon un haut responsable israélien. Il n'a pas rencontré le chef d'état-major le général de corps d’armée Gadi Eisenkot ni le directeur du renseignement militaire Maj. Gen. Herzl Halevi au cours de sa visite.

L'un des principaux sujets abordés était la coopération entre «Israël» et les Etats-Unis sur la protection cybernétique, en particulier face aux attaques de l'Iran et du Hezbollah.

Selon des officiers supérieurs de l’armée israélienne, l’entité sioniste a fait face à des cyber-attaques organisées par l'Iran et le Hezbollah au cours de l'opération «Bordure protectrice» en 2014, qui se sont intensifiées ces derniers mois.

La coopération entre les deux organisations est en grande partie axée sur des objectifs constituant une menace stratégique pour «Israël» ou pour les intérêts américains, tels que certains pays d'Afrique du Nord, du Moyen-Orient, du Golfe arabe, d'Asie du Sud ainsi que parmi les républiques d'Asie centrale de l'ex-Union soviétique.

«Cette coopération permet le recueil de renseignements concernant ces pays», selon une lettre interne de la NSA.

«Une ligne de communication spéciale entre l'unité 8200 et la NSA permet le transfert de données brutes, outre une correspondance technique et scientifique quotidienne», est-il précisé.

Source : agences et rédaction

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