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Syrie: Rapport antirusse d’Amnesty, l’Onu garde ses distances

Syrie: Rapport antirusse d’Amnesty, l’Onu garde ses distances
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Le rapport d’Amnesty International sur les «crimes de guerre» russes en Syrie a été critiqué par la Russie et les Nations unies n’ont pas été en mesure de confirmer son contenu.

«L’Onu ne peut pas confirmer les faits présentés dans le rapport rédigé par l’Organisation non gouvernementale (ONG) Amnesty Syrie: Rapport antirusse d’Amnesty, l’Onu garde ses distancesInternational», a annoncé le porte-parole adjoint du secrétaire général de l'Onu Farhan Haq.

Amnesty International a publié récemment une recherche consacrée à l'opération militaire des forces aérospatiales russes en Syrie. Ce document rapporte que la campagne aérienne russe a tué 200 civils lors de 25 attaques, au moins.

«Le secrétaire général a noté avec préoccupation le rapport d'Amnesty International sur les violations présumées du droit international humanitaire qui ont eu lieu à la suite de frappes aériennes russes en Syrie. L'Onu, elle-même, ne peut pas confirmer les cas présentés dans le rapport»,  a déclaré M. Haq.

De son côté, le ministère russe de la Défense a souligné mercredi que ce rapport se compose d'un ensemble de clichés et de «faux», et que cette organisation rédigeait ses recherches avec des préjugés négatifs sur la Russie et qu'il n'était pas professionnel de publier des informations non-vérifiées sur l'activité de l'aviation russe en Syrie.

«Rien de concret ni de nouveau n’a été publié», a déclaré le représentant du ministère, Igor Konachenkov lors d’une conférence de presse. Ces accusations ne reposent pas sur des preuves, parce qu’Amnesty International a recueilli des faits à distance en se basant sur des discussions téléphoniques avec des résidents locaux.

Le rapport utilise très fréquemment des expressions comme «frappes aériennes présumées», «éventuelles violations du droit». Cependant quand ce rapport a été publié dans les médias occidentaux, ces éléments ont disparus. «Tous est présenté comme s’il s’agissait de faits établis, c’est un procédé mensonger», a martelé le représentant du ministère de la Défense.

En répondant aux accusations de l’organisation, Igor Konachenkov a souligné que les forces russes n’avaient pas utilisé de bombes à sous-munitions en Syrie et qu’elles n’en avaient pas sur la base aérienne de Khmeimim. Il a par ailleurs proposé à Amnesty International de porter son attention sur l’Ukraine plutôt que d’accuser la Russie. «Pourquoi cette organisation a gardé le silence et n’a pas voulu faire constater les preuves matérielles et concrètes de l’utilisation des bombes à sous-munition par les forces militaires ukrainiennes dans l’Est de l’Ukraine», a indiqué le représentant du ministère.

Source : sites web et rédaction

 

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