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Sarkozy met en garde contre le danger d’une guerre israélienne sur le contingent français au Sud Liban

Sarkozy met en garde contre le danger d’une guerre israélienne sur le contingent français au Sud Liban
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Lorsque "Israël" s'embourbe dans une crise diplomatique internationale, il trouve son allié français à ses côtés  pour le soutenir et l'aider à en sortir tantôt en déclarant des positions favorables à "Israël" tantôt en reçevant des responsables israéliens en France. Tel était le cas en 2009 (comme c'était (s'est déroulé) lorsque l'ex premier ministre israélien Ehud Olmert a été reçu à Paris deux jours après le déclechement de la guerre israélienne contre Gaza. 

Dans un pas semblable au niveau du timing et des circonstances, cette scène s'est répétée : après quelques jours du massacre israélien contre la Flotille de liberté qui a fait 9 martyrs turcs, le président français Nicolas Sarkosy vient de recevoir le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à l'Elysée.

Un analyste politique français a souligné au correspondant du site Alintiqad que les "Israéliens" s'intéressent aux accueils que leur accordent les responsables français après chaque crise comme étant un soutien politique en dépit des déclarations spéctaculaires du ministre des affaires étrangères français Bernard kouchner, telles son appel à lever le blocus imposé sur Gaza.  

Sur un autre plan, l'administration française se dit toujours éveillée quant au déclenchement d'une guerre soudaine entre le Hezbollah et "Israël" mettant en danger la vie de son contingent présent parmi la Finul au Sud Liban.

Lors de leur ultime entretien, Sarkozy a souligné à son hôte israélien "la difficulté et la délicatesse de la situation interne française".
De sa part, Netanyahu a rassuré Sarkozy qu'une guerre éminente ne se déclenchera pas dans la région.     
Cependant, des sources françaises ont affiché leur méfiance vis à vis des promesses israéliennes que les responsables sionites n'ont point tenues. Pour cette raison, les forces françaises ont préparé un plan pour se protéger en cas d'une guerre soudaine.   

Selon ces mêmes sources, certaines mesures prises par la Finul peuvent être des signes d'une guerre dans la région comme:
une retraite soudaine des forces françaises du Sud Liban.
une diminution prompte et inattendue du nombre des forces de la Finul.
Un repositionnement rapide des forces de la Finul vers des régions définies

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