Les pays de l’Alba appellent Obama à annuler un décret sur le Venezuela

Les onze pays de l'Alliance bolivarienne pour les Amériques (Alba) ont appelé mardi le président Barack Obama à annuler le décret dans lequel il qualifie le Venezuela de «menace inhabituelle et extraordinaire» contre la sécurité des Etats-Unis.
Réunis à Caracas pour un sommet spécialement convoqué sur cette question, les pays membres de l'Alba ont exigé, dans une déclaration finale lue par le président vénézuélien Nicolas Maduro, «que cessent immédiatement le harcèlement et
l'agression» de Washington contre le Venezuela.
Le Venezuela «ne constitue une menace pour aucun pays, car il est une nation solidaire qui a montré sa volonté de coopérer avec les peuples et les gouvernements de la région», affirme la déclaration finale des chefs d'Etat ou de gouvernement des pays de l'Alba.
L'Alba regroupe onze pays: Cuba, Venezuela, Bolivie, Equateur, Nicaragua, Dominique, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Sainte-Lucie, la Grenade, Antigua et Barbuda, Saint-Christophe-et-Niévès.
Le président Obama a signé la semaine dernière un décret qui prévoit des sanctions contre de hauts responsables vénézuéliens et accuse le Venezuela de constituer une «menace inhabituelle et extraordinaire contre la sécurité nationale» des Etats-Unis.
En réaction, Caracas a rappelé son chargé d'affaires à Washington. Et le président Maduro a obtenu dimanche de l'Assemblée nationale vénézuélienne des pouvoirs spéciaux lui permettant de gouverner par décret face à «l'agression impérialiste des Etats-Unis».
Le ministère vénézuélien des Affaires étrangères a publié mardi sur une pleine page du New York Times une «lettre au peuple des Etats-Unis» dans laquelle il assure que «le Venezuela n'est pas une menace» pour les Etats-Unis et réclame la levée des sanctions prises par M. Obama.
Avant l'Alba, les douze pays de l'Union des nations sud-américaines (Unasur), réunis samedi à Quito, ont demandé l'annulation des sanctions de Washington contre des responsables vénézuéliens, les considérant comme «une menace d'ingérence».
Source: agences et rédaction
Réunis à Caracas pour un sommet spécialement convoqué sur cette question, les pays membres de l'Alba ont exigé, dans une déclaration finale lue par le président vénézuélien Nicolas Maduro, «que cessent immédiatement le harcèlement et
Le Venezuela «ne constitue une menace pour aucun pays, car il est une nation solidaire qui a montré sa volonté de coopérer avec les peuples et les gouvernements de la région», affirme la déclaration finale des chefs d'Etat ou de gouvernement des pays de l'Alba.
L'Alba regroupe onze pays: Cuba, Venezuela, Bolivie, Equateur, Nicaragua, Dominique, Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Sainte-Lucie, la Grenade, Antigua et Barbuda, Saint-Christophe-et-Niévès.
Le président Obama a signé la semaine dernière un décret qui prévoit des sanctions contre de hauts responsables vénézuéliens et accuse le Venezuela de constituer une «menace inhabituelle et extraordinaire contre la sécurité nationale» des Etats-Unis.
En réaction, Caracas a rappelé son chargé d'affaires à Washington. Et le président Maduro a obtenu dimanche de l'Assemblée nationale vénézuélienne des pouvoirs spéciaux lui permettant de gouverner par décret face à «l'agression impérialiste des Etats-Unis».
Le ministère vénézuélien des Affaires étrangères a publié mardi sur une pleine page du New York Times une «lettre au peuple des Etats-Unis» dans laquelle il assure que «le Venezuela n'est pas une menace» pour les Etats-Unis et réclame la levée des sanctions prises par M. Obama.
Avant l'Alba, les douze pays de l'Union des nations sud-américaines (Unasur), réunis samedi à Quito, ont demandé l'annulation des sanctions de Washington contre des responsables vénézuéliens, les considérant comme «une menace d'ingérence».
Source: agences et rédaction
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