L’ingérence dans les affaires internes de la Syrie continue
Le programme de formation et d'équipement des «rebelles syriens» dits «modérés» prévu par la Turquie et les Etats-Unis débutera dès dimanche 1er mars, a annoncé vendredi 27 février le porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères Tanju Bilgiç, sans donner d'autres détails.
Cependant, le porte-parole du ministère américain de la Défense a indiqué que les États-Unis
vont entraîner ces «rebelles» d'ici «quatre à six semaines». «Notre évaluation, c'est que nous devrions être prêts à commencer concrètement l'entraînement dans quatre à six semaines», a déclaré le contre-amiral John Kirby. Pour l'instant seule une grosse centaine de candidats à la formation a franchi le processus de filtrage, destiné à éviter que des adversaires ne se glissent parmi les recrues. Il faut à peu près «200 à 300» personnes pour faire une promotion, a-t-il indiqué. Au total, 1.500 Syriens dits «modérés» sont considérés comme des recrues potentielles pour l'instant, a rappelé vendredi le contre-amiral Kirby. Le but est de former de 5 à 5.500 personnes sur l'année, selon lui. Mais «s'il y a de la demande», et si «le processus de filtrage» est efficace, l'objectif pourrait être revu à la hausse, a-t-il ajouté. Le gouvernement américain espère que les premiers combattants «rebelles formés» puissent être opérationnels d'ici la fin de l'année, selon le Pentagone.
Les Etats-Unis ont envoyé une centaine de personnes en Turquie pour préparer la mission d'entraînement, qui comptera, lorsqu'elle aura pris son envol environ un millier d'Américains, formateurs ou éléments de soutien.
Après plusieurs mois de difficiles tractations, Washington et Ankara ont signé le 19 février un accord pour l'entraînement, sur une base turque, de groupes rebelles dits «modérés», ainsi que de la fourniture de matériel militaire.
Ankara souhaite que ces «rebelles» soient entraînés pour combattre tant le régime de Damas que les miliciens du groupe terroriste «Daech» qui contrôlent de larges zones de l'Irak et de la Syrie à sa frontière. Washington souhaite former les «rebelles» dans le cadre de sa lutte contre «Daech».
Source : agences et rédaction
Cependant, le porte-parole du ministère américain de la Défense a indiqué que les États-Unis
vont entraîner ces «rebelles» d'ici «quatre à six semaines». «Notre évaluation, c'est que nous devrions être prêts à commencer concrètement l'entraînement dans quatre à six semaines», a déclaré le contre-amiral John Kirby. Pour l'instant seule une grosse centaine de candidats à la formation a franchi le processus de filtrage, destiné à éviter que des adversaires ne se glissent parmi les recrues. Il faut à peu près «200 à 300» personnes pour faire une promotion, a-t-il indiqué. Au total, 1.500 Syriens dits «modérés» sont considérés comme des recrues potentielles pour l'instant, a rappelé vendredi le contre-amiral Kirby. Le but est de former de 5 à 5.500 personnes sur l'année, selon lui. Mais «s'il y a de la demande», et si «le processus de filtrage» est efficace, l'objectif pourrait être revu à la hausse, a-t-il ajouté. Le gouvernement américain espère que les premiers combattants «rebelles formés» puissent être opérationnels d'ici la fin de l'année, selon le Pentagone.Les Etats-Unis ont envoyé une centaine de personnes en Turquie pour préparer la mission d'entraînement, qui comptera, lorsqu'elle aura pris son envol environ un millier d'Américains, formateurs ou éléments de soutien.
Après plusieurs mois de difficiles tractations, Washington et Ankara ont signé le 19 février un accord pour l'entraînement, sur une base turque, de groupes rebelles dits «modérés», ainsi que de la fourniture de matériel militaire.
Ankara souhaite que ces «rebelles» soient entraînés pour combattre tant le régime de Damas que les miliciens du groupe terroriste «Daech» qui contrôlent de larges zones de l'Irak et de la Syrie à sa frontière. Washington souhaite former les «rebelles» dans le cadre de sa lutte contre «Daech».
Source : agences et rédaction
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