Assad à De Mistura: Damas soutient toute initiative qui contribue à résoudre la crise syrienne
Le président syrien Bachar al-Assad a reçu mercredi 11 février l'émissaire spécial de l'ONU pour la Syrie, Staffan de Mistura, et la délégation qui l'accompagne. La rencontre a porté sur les nouveaux détails du plan de De Mistura sur le gel des combats dans la ville d'Alep dans un climat positif et constructif.
M. Assad a réitéré le souci de la Syrie de soutenir toute initiative ou idée qui contribue à résoudre
la crise d'une façon qui sauvegarde la vie des citoyens et les institutions de l'Etat. En outre, il a affirmé la nécessité d'exercer des pressions sur tous les pays pour appliquer les deux résolutions du Conseil de sécurité Nos 2170 et 2178, sur l'arrêt du financement et de l'afflux des terroristes en Syrie.
Pour sa part, De Mistura a émis l'espoir que toutes les parties coopèrent pour soutenir sa proposition en vue de rétablir la sécurité et la stabilité dans la ville d'Alep pour qu'elle soit un point de départ pour l'instauration de la paix et de la stabilité dans tous les territoires syriens.
Le vice-président du Conseil des ministres, ministre des Affaires étrangères et des Expatriés, Walid Mouallem, la conseillère politique et médiatique à la Présidence de la République, Mme Bouthayna Chaaban, le vice-ministre des Affaires étrangères, Fayçal Miqdad et le conseiller du ministre des Affaires étrangères, Ahmad Arnous, ont pris part à la rencontre.
De son côté, M. de Mistura, qui venait de conclure une visite de 48 heures, la troisième depuis sa prise de fonction, a qualifié d'«intensifs» ses entretiens menés à Damas avec le président Assad et les responsables syriens, précisant qu'il se préoccupe à l'étape actuelle de faciliter le processus politique pour parvenir à une solution de la crise en Syrie.
Dans une brève déclaration accordée aux journalistes avant de quitter Damas, il a indiqué avoir discuté à Damas sa proposition sur le gel des combats à Alep, précisant qu'il ne pourra pas faire le détail de ses discussions.
«Je me suis concentré sur l'importance de réduire la violence du conflit pour le peuple syrien et sur l'accroissement des accès sans entraves de l'aide humanitaire à tous les Syriens», a-t-il souligné. «Mais bien sûr, le cœur de ma mission c'est d'essayer de faciliter un processus politique qui peut mener à une solution politique à ce conflit qui dure depuis trop longtemps et qui ne peut déboucher sur aucune solution militaire», a-t-il ajouté.
L'émission de l'ONU a affirmé qu'il soumettra son rapport au secrétaire général de l'ONU et participera à la réunion du Conseil de Sécurité sur la Syrie prévue le 17 février courant.
Source : agences et rédaction
M. Assad a réitéré le souci de la Syrie de soutenir toute initiative ou idée qui contribue à résoudre
la crise d'une façon qui sauvegarde la vie des citoyens et les institutions de l'Etat. En outre, il a affirmé la nécessité d'exercer des pressions sur tous les pays pour appliquer les deux résolutions du Conseil de sécurité Nos 2170 et 2178, sur l'arrêt du financement et de l'afflux des terroristes en Syrie.Pour sa part, De Mistura a émis l'espoir que toutes les parties coopèrent pour soutenir sa proposition en vue de rétablir la sécurité et la stabilité dans la ville d'Alep pour qu'elle soit un point de départ pour l'instauration de la paix et de la stabilité dans tous les territoires syriens.
Le vice-président du Conseil des ministres, ministre des Affaires étrangères et des Expatriés, Walid Mouallem, la conseillère politique et médiatique à la Présidence de la République, Mme Bouthayna Chaaban, le vice-ministre des Affaires étrangères, Fayçal Miqdad et le conseiller du ministre des Affaires étrangères, Ahmad Arnous, ont pris part à la rencontre.
De son côté, M. de Mistura, qui venait de conclure une visite de 48 heures, la troisième depuis sa prise de fonction, a qualifié d'«intensifs» ses entretiens menés à Damas avec le président Assad et les responsables syriens, précisant qu'il se préoccupe à l'étape actuelle de faciliter le processus politique pour parvenir à une solution de la crise en Syrie.
Dans une brève déclaration accordée aux journalistes avant de quitter Damas, il a indiqué avoir discuté à Damas sa proposition sur le gel des combats à Alep, précisant qu'il ne pourra pas faire le détail de ses discussions.
«Je me suis concentré sur l'importance de réduire la violence du conflit pour le peuple syrien et sur l'accroissement des accès sans entraves de l'aide humanitaire à tous les Syriens», a-t-il souligné. «Mais bien sûr, le cœur de ma mission c'est d'essayer de faciliter un processus politique qui peut mener à une solution politique à ce conflit qui dure depuis trop longtemps et qui ne peut déboucher sur aucune solution militaire», a-t-il ajouté.
L'émission de l'ONU a affirmé qu'il soumettra son rapport au secrétaire général de l'ONU et participera à la réunion du Conseil de Sécurité sur la Syrie prévue le 17 février courant.
Source : agences et rédaction
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