Dialogue inter-syrien: les opposants arrivent à Moscou, la «Coalition» absente
Une trentaine de représentants de l'opposition syrienne sont arrivés à Moscou pour un nouveau round de négociations inter-syriennes, a annoncé lundi le vice-ministre russe des Affaire étrangères Mikhaïl Bogdanov.
Les négociations se dérouleront dans la capitale russe du 26 au 29 janvier. Le gouvernement syrien y sera représenté par son ambassadeur auprès des Nations unies, Bachar Jaafari, a fait savoir M.Bogdanov, cité par l’agence russe Ria Novosti.
M. Jaafari sera accompagné de six personnalités, dont Ahmad Arnouss, un conseiller du ministre des Affaires étrangères, Walid Mouallem, précise le quotidien syrien «Al-Watan», rapporte l’agence iranienne Irib.
Les membres de l'opposition à l’intérieur de la Syrie, notamment des représentants du «Comité de coordination nationale pour les forces du changement démocratique» (CCND), sont réunis lundi et mardi dans une résidence du ministère russe des Affaires étrangères pour des discussions à huis-clos.
Toute l'opposition n'est pas représentée puisque la «Coalition nationale» de l'opposition en exil ne sera pas présente.
La «Coalition», soutenue par les Occidentaux et certains pays arabes, estime que ces discussions devraient avoir lieu sous l'égide de l'ONU et dans un pays «neutre», pas en Russie. Cinq de ses membres participeront toutefois à titre individuel. Parmi eux, Ahmad Jarba, ancien président du groupe et réputé proche de l'Arabie saoudite.
Ces pourparlers avec des opposants visent à renouer le dialogue, après quatre ans d’un conflit sanglant ayant fait plus de 200.000 morts, selon l'ONU.
Pour le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, il n'y a pas d'ordre du jour et pas de signature de document ou d'accord prévue.
Selon une source gouvernementale syrienne interrogée la semaine dernière par l'AFP, la délégation de Damas espère que les participants se mettront d'accord sur une feuille de route comprenant: la «lutte contre le terrorisme», des «réconciliations au niveau local» et des discussions sur un «gouvernement d'union nationale».
Source: agences et rédaction
Les négociations se dérouleront dans la capitale russe du 26 au 29 janvier. Le gouvernement syrien y sera représenté par son ambassadeur auprès des Nations unies, Bachar Jaafari, a fait savoir M.Bogdanov, cité par l’agence russe Ria Novosti.
M. Jaafari sera accompagné de six personnalités, dont Ahmad Arnouss, un conseiller du ministre des Affaires étrangères, Walid Mouallem, précise le quotidien syrien «Al-Watan», rapporte l’agence iranienne Irib.
Les membres de l'opposition à l’intérieur de la Syrie, notamment des représentants du «Comité de coordination nationale pour les forces du changement démocratique» (CCND), sont réunis lundi et mardi dans une résidence du ministère russe des Affaires étrangères pour des discussions à huis-clos.
Toute l'opposition n'est pas représentée puisque la «Coalition nationale» de l'opposition en exil ne sera pas présente.
La «Coalition», soutenue par les Occidentaux et certains pays arabes, estime que ces discussions devraient avoir lieu sous l'égide de l'ONU et dans un pays «neutre», pas en Russie. Cinq de ses membres participeront toutefois à titre individuel. Parmi eux, Ahmad Jarba, ancien président du groupe et réputé proche de l'Arabie saoudite.
Ces pourparlers avec des opposants visent à renouer le dialogue, après quatre ans d’un conflit sanglant ayant fait plus de 200.000 morts, selon l'ONU.
Pour le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, il n'y a pas d'ordre du jour et pas de signature de document ou d'accord prévue.
Selon une source gouvernementale syrienne interrogée la semaine dernière par l'AFP, la délégation de Damas espère que les participants se mettront d'accord sur une feuille de route comprenant: la «lutte contre le terrorisme», des «réconciliations au niveau local» et des discussions sur un «gouvernement d'union nationale».
Source: agences et rédaction
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