Assad aux soldats : S’il existe encore de joie en Syrie, c’est grâce à vos victoires face au terrorisme
A l'occasion du Nouvel An, le président syrien Bachar al-Assad a inspecté mercredi 31 décembre un quartier de Damas théâtre de violents combats entre forces du régime et extrémistes, espérant la «victoire» en 2015.
La page Facebook et le compte Twitter de la présidence ont posté des photos prises en soirée. L'une des photos montre M. Assad souriant, portant une jaquette foncée en train de parler avec deux militaires près d'un char et une autre photo sur laquelle il serre la main d'un soldat en treillis.
«Avec l'avènement de la nouvelle année, le président Assad se trouve à Jobar, avec les soldats et les officiers de l'armée arabe syrienne», a indiqué la présidence, en référence au quartier situé dans l'est de Damas.
«S'il existe encore un peu de joie en Syrie, c'est grâce aux victoires que vous remportez face au terrorisme», a affirmé aux soldats le président syrien. «L'avènement d'une nouvelle année est un espoir pour tout le monde, mais l'espérance la plus grande est la victoire de nos forces armées et de tous ceux qui ont combattu à leurs côtés dans notre bataille contre le terrorisme», a-t-il encore dit, selon des propos publiés par la présidence.
Le quartier de Jobar est stratégique. Si l'armée parvient à le prendre, elle devrait éloigner toute menace extrémiste sur Damas.
Parallèlement, le président syrien a promulgué mercredi une loi en vertu de laquelle 50% des postes vacants de l'Etat sont promis aux proches de soldats ou de fonctionnaires tombés en martyre ou paralysés durant la guerre. «En vertu de la loi, sont réservés aux proches de martyrs 50% des postes devant être remplis dans les administrations publiques en vertu des tests et des examens», a rapporté l'agence officielle syrienne Sana.
Selon la loi, le martyr est un soldat, un policier, un civil ayant porté les armes «sous les ordres de l'armée» ou encore un fonctionnaire, tués en service, «s'ils ont péri au cours de la guerre, les opérations militaires ou à cause des bandes terroristes».
Les proches des défunts sont le père, la mère, l'épouse et les enfants. La loi concerne également les proches des militaires, policiers, et fonctionnaires qui en raison de la guerre sont atteints de paralysie cérébrale, partielle, de tétraplégie ou encore perte totale de la vue.
Source : AFP et rédaction
La page Facebook et le compte Twitter de la présidence ont posté des photos prises en soirée. L'une des photos montre M. Assad souriant, portant une jaquette foncée en train de parler avec deux militaires près d'un char et une autre photo sur laquelle il serre la main d'un soldat en treillis.
«Avec l'avènement de la nouvelle année, le président Assad se trouve à Jobar, avec les soldats et les officiers de l'armée arabe syrienne», a indiqué la présidence, en référence au quartier situé dans l'est de Damas.
«S'il existe encore un peu de joie en Syrie, c'est grâce aux victoires que vous remportez face au terrorisme», a affirmé aux soldats le président syrien. «L'avènement d'une nouvelle année est un espoir pour tout le monde, mais l'espérance la plus grande est la victoire de nos forces armées et de tous ceux qui ont combattu à leurs côtés dans notre bataille contre le terrorisme», a-t-il encore dit, selon des propos publiés par la présidence.
Le quartier de Jobar est stratégique. Si l'armée parvient à le prendre, elle devrait éloigner toute menace extrémiste sur Damas.
Parallèlement, le président syrien a promulgué mercredi une loi en vertu de laquelle 50% des postes vacants de l'Etat sont promis aux proches de soldats ou de fonctionnaires tombés en martyre ou paralysés durant la guerre. «En vertu de la loi, sont réservés aux proches de martyrs 50% des postes devant être remplis dans les administrations publiques en vertu des tests et des examens», a rapporté l'agence officielle syrienne Sana.
Selon la loi, le martyr est un soldat, un policier, un civil ayant porté les armes «sous les ordres de l'armée» ou encore un fonctionnaire, tués en service, «s'ils ont péri au cours de la guerre, les opérations militaires ou à cause des bandes terroristes».
Les proches des défunts sont le père, la mère, l'épouse et les enfants. La loi concerne également les proches des militaires, policiers, et fonctionnaires qui en raison de la guerre sont atteints de paralysie cérébrale, partielle, de tétraplégie ou encore perte totale de la vue.
Source : AFP et rédaction
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