Damas critique le soutien de la France à une «zone tampon» en Syrie

Les autorités de Damas ont critiqué jeudi 9 octobre le soutien de la France à la création d'une «zone tampon» en Syrie comme le propose régulièrement le président turc Tayyip Erdogan.
«La Syrie déplore la position du président français François Hollande qui soutient la volonté turque
de créer une 'zone tampon'», a déclaré le vice-ministre syrien des Affaires Étrangères Fayçal Moqdad, cité par l'agence officielle Sana.
Mercredi, l'Elysée avait indiqué que M. Hollande avait insisté «sur la nécessité d'éviter le massacre des populations au Nord de la Syrie» et «apporté son soutien à l'idée avancée par le président Erdogan» concernant la création d'une telle zone.
En outre, le responsable syrien a souligné la nécessité pour la communauté internationale de faire «son devoir face à la catastrophe humanitaire à Ain el-Arab» (Kobané en kurde) et à «cesser tout soutien aux groupes terroristes armés, notamment celui accordé par la France et la Turquie à ces groupes quels que soit leurs noms».
Par ailleurs, M. Moqdad a affirmé que «Damas se tenait aux cotés des citoyens syriens d'Ain el-Arab quel que soit leur appartenance (religieuse ou ethnique) et saluait leur résistance héroïque face aux attaques menées par le groupe terroriste Daech», acronyme en arabe du soi-disant «État islamique» (EI).
Source : agences
«La Syrie déplore la position du président français François Hollande qui soutient la volonté turque

Mercredi, l'Elysée avait indiqué que M. Hollande avait insisté «sur la nécessité d'éviter le massacre des populations au Nord de la Syrie» et «apporté son soutien à l'idée avancée par le président Erdogan» concernant la création d'une telle zone.
En outre, le responsable syrien a souligné la nécessité pour la communauté internationale de faire «son devoir face à la catastrophe humanitaire à Ain el-Arab» (Kobané en kurde) et à «cesser tout soutien aux groupes terroristes armés, notamment celui accordé par la France et la Turquie à ces groupes quels que soit leurs noms».
Par ailleurs, M. Moqdad a affirmé que «Damas se tenait aux cotés des citoyens syriens d'Ain el-Arab quel que soit leur appartenance (religieuse ou ethnique) et saluait leur résistance héroïque face aux attaques menées par le groupe terroriste Daech», acronyme en arabe du soi-disant «État islamique» (EI).
Source : agences


