Trois extrémistes canadiens parmi les ravisseurs de journalistes américains
Au moins trois extrémistes canadiens, qui ont rejoint des groupes affiliés à Al-Qaida en Syrie, seraient directement impliqués dans des interrogatoires musclés et la détention de deux journalistes américains.
Ces Canadiens, dont l'identité n'est pas encore connue, ont pris part à la détention de Theo Curtis
et Matt Schrier, maintenus en captivité ensemble entre 2011 et 2013.
Theo Curtis a été libéré le mois dernier par le groupe Jabhat Al-Nosra alors que Matt Schrier avait réussi à échapper à ses ravisseurs l'année dernière.
Les deux ex-otages n'ont toujours pas livré les détails de leur détention.
Les ravisseurs canadiens auraient forcé leurs otages à dévoiler les mots de passe et les accès à leurs ordinateurs. Ils se seraient également fait passer pour les journalistes en écrivant des lettres et des courriels aux familles des deux hommes. Ils auraient ainsi acheté par Internet des produits électroniques et des ordinateurs au moyen des informations des cartes de crédit subtilisées.
Les ravisseurs seraient toujours vivants, selon les sources de CBC.
En 2013, le gouvernement canadien estimait à une centaine le nombre d'individus portant la citoyenneté canadienne combattant aux côtés des groupes extrémistes notamment en Syrie. Leur nombre réel serait beaucoup plus important.
Selon CBC, ils seraient entre 200 et 300 extrémistes canadiens dans la région.
Récemment, le nombre de recrutements de combattants étrangers a connu une augmentation significative. La plupart des recrues s'en vont renforcer les rangs des groupes extrémistes de Daech.
Source : agences
Ces Canadiens, dont l'identité n'est pas encore connue, ont pris part à la détention de Theo Curtis
et Matt Schrier, maintenus en captivité ensemble entre 2011 et 2013.Theo Curtis a été libéré le mois dernier par le groupe Jabhat Al-Nosra alors que Matt Schrier avait réussi à échapper à ses ravisseurs l'année dernière.
Les deux ex-otages n'ont toujours pas livré les détails de leur détention.
Les ravisseurs canadiens auraient forcé leurs otages à dévoiler les mots de passe et les accès à leurs ordinateurs. Ils se seraient également fait passer pour les journalistes en écrivant des lettres et des courriels aux familles des deux hommes. Ils auraient ainsi acheté par Internet des produits électroniques et des ordinateurs au moyen des informations des cartes de crédit subtilisées.
Les ravisseurs seraient toujours vivants, selon les sources de CBC.
En 2013, le gouvernement canadien estimait à une centaine le nombre d'individus portant la citoyenneté canadienne combattant aux côtés des groupes extrémistes notamment en Syrie. Leur nombre réel serait beaucoup plus important.
Selon CBC, ils seraient entre 200 et 300 extrémistes canadiens dans la région.
Récemment, le nombre de recrutements de combattants étrangers a connu une augmentation significative. La plupart des recrues s'en vont renforcer les rangs des groupes extrémistes de Daech.
Source : agences
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