Syrie: un extrémiste américain tué au combat (Maison Blanche)
Un Américain, soupçonné d'appartenir de l'«Etat islamique» (EI), a été tué dans des combats en Syrie, a indiqué mardi 26 août la Maison Blanche, confirmant une information de télévisions américaines. Douglas McAuthur McCain, 33 ans, est mort le week-end dernier lors d'affrontements entre groupes armés rivaux.
«Nous étions au courant de la présence en Syrie du ressortissant américain Douglas McAuthur McCain et nous pouvons confirmer sa mort», a dit dans un très bref communiqué la porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC) Caitlin Hayden, le cabinet de politique étrangère de la présidence américaine.
Mme Hayden réagissait à des informations des chaînes NBC et CNN qui avaient révélé que la mort de le weekend dernier. NBC a cité comme source la soi-disant «Armée syrienne libre», ainsi que des photos du corps et du passeport du ressortissant américain. CNN s'est appuyé sur le témoignage de l'oncle de M. McCain.
Douglas McAuthur McCain est mort le week-end dernier
lors d'affrontements entre groupes armés rivaux.
D'après NBC, il faisait partie d'un groupe de trois combattants extrémistes étrangers des rangs de l'EI et qui furent tués ce jour-là.
Le jeune homme, originaire de Minneapolis, était très actif sur Twitter sous le pseudonyme de Duale Khalid avant son départ pour le Moyen-Orient.
«Nous continuons d'utiliser tous les outils dont nous disposons pour dissuader des individus de se rendre à l'étranger en vue d'un jihad violent et pour suivre ceux qui en reviennent», a expliqué la porte-parole du NSC.
Selon le département d'Etat, quelque 12.000 extrémistes étrangers venant de 50 pays différents se sont rendus en Syrie depuis le début du conflit il y a plus de trois ans, dont un «petit nombre d'Américains».
Des responsables américains avaient confié la semaine dernière à l'AFP que plus de 100 ressortissants américains étaient partis se battre en Syrie ou ont tenté de le faire.
Washington n'a toutefois pas identifié de filière de recrutement organisée pour d'éventuels terroristes américains, comme c'est le cas dans des pays européens.
Les Etats-Unis ont exprimé publiquement au plus haut niveau leurs inquiétudes quant aux risques que représentent des extrémistes occidentaux, notamment lorsqu'ils rentrent dans leurs pays. Le président Barack Obama doit présider fin septembre une réunion spéciale du Conseil de sécurité de l'ONU consacrée à la menace que font peser les terroristes étrangers en Syrie et en Irak.
Source : AFP et rédaction
«Nous étions au courant de la présence en Syrie du ressortissant américain Douglas McAuthur McCain et nous pouvons confirmer sa mort», a dit dans un très bref communiqué la porte-parole du Conseil de sécurité nationale (NSC) Caitlin Hayden, le cabinet de politique étrangère de la présidence américaine.
Mme Hayden réagissait à des informations des chaînes NBC et CNN qui avaient révélé que la mort de le weekend dernier. NBC a cité comme source la soi-disant «Armée syrienne libre», ainsi que des photos du corps et du passeport du ressortissant américain. CNN s'est appuyé sur le témoignage de l'oncle de M. McCain.
lors d'affrontements entre groupes armés rivaux.
D'après NBC, il faisait partie d'un groupe de trois combattants extrémistes étrangers des rangs de l'EI et qui furent tués ce jour-là.
Le jeune homme, originaire de Minneapolis, était très actif sur Twitter sous le pseudonyme de Duale Khalid avant son départ pour le Moyen-Orient.
«Nous continuons d'utiliser tous les outils dont nous disposons pour dissuader des individus de se rendre à l'étranger en vue d'un jihad violent et pour suivre ceux qui en reviennent», a expliqué la porte-parole du NSC.
Selon le département d'Etat, quelque 12.000 extrémistes étrangers venant de 50 pays différents se sont rendus en Syrie depuis le début du conflit il y a plus de trois ans, dont un «petit nombre d'Américains».
Des responsables américains avaient confié la semaine dernière à l'AFP que plus de 100 ressortissants américains étaient partis se battre en Syrie ou ont tenté de le faire.
Washington n'a toutefois pas identifié de filière de recrutement organisée pour d'éventuels terroristes américains, comme c'est le cas dans des pays européens.
Les Etats-Unis ont exprimé publiquement au plus haut niveau leurs inquiétudes quant aux risques que représentent des extrémistes occidentaux, notamment lorsqu'ils rentrent dans leurs pays. Le président Barack Obama doit présider fin septembre une réunion spéciale du Conseil de sécurité de l'ONU consacrée à la menace que font peser les terroristes étrangers en Syrie et en Irak.
Source : AFP et rédaction
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