Le complexe industriel à Alep transformée par Al-Qaïda à une citadelle pour les kamikazes
The «Independant» a publié un article écrit par le journaliste Robert Fisk, sur «le complexe industriel transformé par les partisans d'Al-Qaïda en citadelle pour les kamikazes».
Fisk a indiqué dans son article que lorsque les forces de Bachar Assad ont réussi à briser le siège autour d'Alep et d'avancer vers la frontière turque, les soldats se sont trouvés soudain en face d'une citadelle des plus compliquées, édifiée par les combattants d'Al-Qaïda.
Fisk décrit la transformation de ce qui était un complexe industriel en pleine activité, pour devenir un tas de décombre en raison des obus de l'armée syrienne, lancées à partir des champs d'oliviers.
Les chefs de la force qui a pris d'assaut la forteresse ont expliqué que des centaines de miliciens ont préféré se suicider par des explosifs au lieu de se rendre. Un d'eux a reconnu avoir perdu 27 de ses hommes dans l'opération.
Plusieurs kilomètres de tunnels creusés et remplis d'explosifs par les rebelles du front Al-Nosra tout au long de deux ans, existent encore sous ce qui était un jour le complexe industriel cheikh Najjar.
Durant sa tournée dans la région, le journaliste a observé les installations défensives des rebelles. Il a estimé que ces stratégies défensives n'étaient pas bâties selon la doctrine de l'Islam, mais étaient le fruit d'une pensée purement militaire. Qui était derrière ce fait ? Ces experts militaires sont-ils en provenance du Pakistan, d'Afghanistan ou de la Turquie ? Ou sont-ils des Syriens entrainés et équipés par l'occident ?, s'est-il interrogé.
Les idées des islamistes et l'échec du traitement de l'extrémisme
Dans le Daily Telegraph, Charles Moore évoque un échec dans la confrontation des idées des islamistes extrémistes dans les écoles britanniques.
Il introduit son article par la narration d'un incident étrange, duquel on déduit que les deux ministres de l'Intérieur et de l'Enseignement échangent les accusations autour de l'échec du règlement de la question.
De fait, la ministre de l'Intérieur, Theresa May, a publié un message sur le site du ministère, adressé au ministre de l'Enseignement, Michael Grove. Elle s'y interroge sur les raisons du manquement du ministère d'enquêter sur l'infiltration des idées islamistes extrémistes dans les établissements scolaires.
Le journaliste évoque quelques exemples qui illustrent la ligne de conduite des islamistes extrémistes, de la prise en otage de plus de 200 étudiantes nigériennes par Boco Haram, à la condamnation à la peine capitale contre une femme soudanaise accusée d'apostasie, arrivant à ce qui a lieu en Syrie. Il affirme toutefois qu'il ne soutenait pas le point de vue de ceux qui jugent l'Islam comme religion de violence. Il précise que les comportements marqués de violence peuvent naitre de toute autre religion.
Le journaliste estime que le meilleur moyen pour confronter les extrémistes islamistes consiste à mettre en place un partenariat étroit entre les gouvernements occidentaux et les forces islamiques modérées.
Des islamistes prennent en otage 200 élèves
Toujours selon le journaliste britannique, aborder l'extrémisme islamique en tant que violence réduit l'ampleur de la question. D'après lui, le problème réside notamment dans la propagande qui laisse comprendre aux jeunes que l'Angleterre complotait contre les Musulmans. Une propagande qui les poussent à haïr les juifs et à marginaliser le rôle des femmes dans la vie publique et par la suite à admettre la violence.
Loin du climat de la violence et des guerres, le Times a publié un rapport écrit par Giles Wittel, intitulé «l'avenir rayonnant, si nous pouvons «détenir» le soleil du désert».
Le journaliste débute son article en disant que «la température a atteint ce jour 43 degrés dans le Sahara occidental, ce qui suffit pour faire cuire un œuf, mais aussi pour nous convaincre d'y installer des panneaux solaires pour l'utilisation de l'énergie solaire.
Mais d'après lui, le problème réside dans les moyens de transporter l'énergie solaire du désert vers le lieu de son utilisation, en Europe.
Le journaliste explique que l'installation de panneaux solaires sur une superficie de 300 miles dans le désert, est suffisante pour produire l'énergie nécessaire au monde entier, s'il y avait un moyen de transporter cette énergie vers d'autres lieux.
L'écrivain braque enfin l'éclairage sur une invention moderne, consistant à installer de tableaux en mesure de produire une énergie pour faire fondre la glace dans les zones froides et qui pourraient être utilisées dans d'autres lieux.
Tout au long d'années, cette invention n'a point attiré l'attention du public, mais la diffusion d'un court film à ce propos a attiré des millions de regards sur You Tube.
Traduit par Al-Ahednews
Fisk a indiqué dans son article que lorsque les forces de Bachar Assad ont réussi à briser le siège autour d'Alep et d'avancer vers la frontière turque, les soldats se sont trouvés soudain en face d'une citadelle des plus compliquées, édifiée par les combattants d'Al-Qaïda.
Fisk décrit la transformation de ce qui était un complexe industriel en pleine activité, pour devenir un tas de décombre en raison des obus de l'armée syrienne, lancées à partir des champs d'oliviers.
Les chefs de la force qui a pris d'assaut la forteresse ont expliqué que des centaines de miliciens ont préféré se suicider par des explosifs au lieu de se rendre. Un d'eux a reconnu avoir perdu 27 de ses hommes dans l'opération.
Plusieurs kilomètres de tunnels creusés et remplis d'explosifs par les rebelles du front Al-Nosra tout au long de deux ans, existent encore sous ce qui était un jour le complexe industriel cheikh Najjar.
Durant sa tournée dans la région, le journaliste a observé les installations défensives des rebelles. Il a estimé que ces stratégies défensives n'étaient pas bâties selon la doctrine de l'Islam, mais étaient le fruit d'une pensée purement militaire. Qui était derrière ce fait ? Ces experts militaires sont-ils en provenance du Pakistan, d'Afghanistan ou de la Turquie ? Ou sont-ils des Syriens entrainés et équipés par l'occident ?, s'est-il interrogé.
Les idées des islamistes et l'échec du traitement de l'extrémisme
Dans le Daily Telegraph, Charles Moore évoque un échec dans la confrontation des idées des islamistes extrémistes dans les écoles britanniques.
Il introduit son article par la narration d'un incident étrange, duquel on déduit que les deux ministres de l'Intérieur et de l'Enseignement échangent les accusations autour de l'échec du règlement de la question.
De fait, la ministre de l'Intérieur, Theresa May, a publié un message sur le site du ministère, adressé au ministre de l'Enseignement, Michael Grove. Elle s'y interroge sur les raisons du manquement du ministère d'enquêter sur l'infiltration des idées islamistes extrémistes dans les établissements scolaires.
Le journaliste évoque quelques exemples qui illustrent la ligne de conduite des islamistes extrémistes, de la prise en otage de plus de 200 étudiantes nigériennes par Boco Haram, à la condamnation à la peine capitale contre une femme soudanaise accusée d'apostasie, arrivant à ce qui a lieu en Syrie. Il affirme toutefois qu'il ne soutenait pas le point de vue de ceux qui jugent l'Islam comme religion de violence. Il précise que les comportements marqués de violence peuvent naitre de toute autre religion.
Le journaliste estime que le meilleur moyen pour confronter les extrémistes islamistes consiste à mettre en place un partenariat étroit entre les gouvernements occidentaux et les forces islamiques modérées.
Des islamistes prennent en otage 200 élèves
Toujours selon le journaliste britannique, aborder l'extrémisme islamique en tant que violence réduit l'ampleur de la question. D'après lui, le problème réside notamment dans la propagande qui laisse comprendre aux jeunes que l'Angleterre complotait contre les Musulmans. Une propagande qui les poussent à haïr les juifs et à marginaliser le rôle des femmes dans la vie publique et par la suite à admettre la violence.
Loin du climat de la violence et des guerres, le Times a publié un rapport écrit par Giles Wittel, intitulé «l'avenir rayonnant, si nous pouvons «détenir» le soleil du désert».
Le journaliste débute son article en disant que «la température a atteint ce jour 43 degrés dans le Sahara occidental, ce qui suffit pour faire cuire un œuf, mais aussi pour nous convaincre d'y installer des panneaux solaires pour l'utilisation de l'énergie solaire.
Mais d'après lui, le problème réside dans les moyens de transporter l'énergie solaire du désert vers le lieu de son utilisation, en Europe.
Le journaliste explique que l'installation de panneaux solaires sur une superficie de 300 miles dans le désert, est suffisante pour produire l'énergie nécessaire au monde entier, s'il y avait un moyen de transporter cette énergie vers d'autres lieux.
L'écrivain braque enfin l'éclairage sur une invention moderne, consistant à installer de tableaux en mesure de produire une énergie pour faire fondre la glace dans les zones froides et qui pourraient être utilisées dans d'autres lieux.
Tout au long d'années, cette invention n'a point attiré l'attention du public, mais la diffusion d'un court film à ce propos a attiré des millions de regards sur You Tube.
Traduit par Al-Ahednews
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