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Les réactions dénonçant l’affaire de "Ouyoun Arghash" poursuivent

Les réactions dénonçant l’affaire de
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L'armée libanaise a arrêté des membres des Forces libanaises à "Ouyoun Orghosh" au Bekaa qui ont tiré sur des citoyens désarmés. Après avoir bouclé et entré au site de l'incident, l'armée a trouvé, en possession du groupe, une tonne du cannabis ainsi qu'un arsenal dont certains armes portent des lettres hébreuses.
Dans une récation à cette affaire, le courant "Tawhid" a appelé le parquet général militaire à convoquer Samir Geagea, chef du comité exécutif des FL pour l'interroger.
Le site "alintiqad.net" a demandé l'avis de plusieurs députés qui ont corroboré, à l'unanimité, la nécessité de punir la partie impliquée.
Nabil Nicolas, député membre du bloc parlementaire "Changement et Réformes", a endossé les autorités judiciaires et les services sécuritaires libanais la responsabilité de poursuivre cette affaire.
"Nous avons déjà des remarques sur le comportement de la judicature. Si ce dernier n'assume pas, de nouveau, ses responsabilités, nous pouvons considérer que nous ne sommes pas dans un Etat de loi".
De sa part, Marwan Fares, député membre du bloc parlementaire du PSNS a souligné que cet incident n'est pas nouveau pour les FL qui se dotent des armes hébreux et utilisent les drogues pour pervertir la société libanaise.
Fares a salué l'Etat libanais qui via son armée a dévoilé ce groupe, appelant à isoler ce dernier qui terrifie et attaque les Libanais.
Quant à Abdel Majid Saleh, député membre du bloc parlementaire "Développement et Libération", il a qualifié de dangereux cet incident ajoutant qu'il existe au Liban des régions prohibées aux libanais de s'y rendre pour des raisons qu'il faut dévoiler à l'opinion publique.
"C'est surprenant que certaines parties qui défendent les jeunes, oeuvrent elles-mêmes pour noyer les marchés libanais par les drogues" souligna-t-il.
Enfin, Saleh a appelé les responsables libanais à accorder une grande importance à cet incident notamment que les agressions contre les civiles nous rendent à la mémoire les milices ayant des agendas liés à des parties étrangères.

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