Le terroriste Omar al-Atrache aux mains de l’Armée libanaise
Cheikh Omar at-Atrache, qui est en état d'arrestation auprès des renseignements militaires de l'Armée libanaise, est suspecté de transporter des voitures et de fournir des plaques d'immatriculation falsifiées utilisées dans des opérations subversives, rapporte le quotidien libanais Al-Akhbar dans son édition de 24 janvier citant des sources bien informées.
«Il est accusé de transporter des hommes armés à l'intérieur de la Syrie, d'assurer un abri à des suspects qui ont des relations avec les Brigades Abdallah Azzam, le Front al-Nosra et l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL ou Daech), en plus de son rôle logistique pour trouver et transporter les voitures au groupe qui a perpétré les attentats de Bir al-Abed et Roueiss», ont ajouté ces sources. Bien que ces informations émanent de services de sécurité, les proches de Omar al-Atrache, qui fréquentent un des mosquées d'Ersal, rejettent toutes ces accusations.
Les services de sécurité libanais ont reçu, il y a quelques jours, des informations des services de renseignements américains faisant état de l'arrivée au Liban d'un ressortissant saoudien qui est en train d'être préparé pour commettre un attentat suicide. Ce présumé kamikaze devait s'installer à Ersal, où il devait être pris en charge par une personne qui lui fournira les explosifs et lui assignera sa cible au Liban.
Les services de renseignements militaires ont mené un enquête et ont tendu une embuscade à al-Atrache, qui avait sur lui des documents et des équipements contenant «des informations sécuritaires sensibles». Al-Atrache a été immédiatement transféré au ministère de la Défense, où il a reconnu, lors des interrogatoires préliminaires, qu'il était impliqué dans les opérations de transport des kamikazes, à qui il fournissait les instructions. Il a avoué être en relation directe avec les groupes extrémistes responsables des attentats commis dans la banlieue sud de Beyrouth et au Hermel.
Les mêmes sources ont refusé donner des précisions sur le sort du ressortissant saoudien et d'indiquer s'il avait était arrêté ou pas.
Source : Mediarama
«Il est accusé de transporter des hommes armés à l'intérieur de la Syrie, d'assurer un abri à des suspects qui ont des relations avec les Brigades Abdallah Azzam, le Front al-Nosra et l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL ou Daech), en plus de son rôle logistique pour trouver et transporter les voitures au groupe qui a perpétré les attentats de Bir al-Abed et Roueiss», ont ajouté ces sources. Bien que ces informations émanent de services de sécurité, les proches de Omar al-Atrache, qui fréquentent un des mosquées d'Ersal, rejettent toutes ces accusations.
Les services de sécurité libanais ont reçu, il y a quelques jours, des informations des services de renseignements américains faisant état de l'arrivée au Liban d'un ressortissant saoudien qui est en train d'être préparé pour commettre un attentat suicide. Ce présumé kamikaze devait s'installer à Ersal, où il devait être pris en charge par une personne qui lui fournira les explosifs et lui assignera sa cible au Liban.
Les services de renseignements militaires ont mené un enquête et ont tendu une embuscade à al-Atrache, qui avait sur lui des documents et des équipements contenant «des informations sécuritaires sensibles». Al-Atrache a été immédiatement transféré au ministère de la Défense, où il a reconnu, lors des interrogatoires préliminaires, qu'il était impliqué dans les opérations de transport des kamikazes, à qui il fournissait les instructions. Il a avoué être en relation directe avec les groupes extrémistes responsables des attentats commis dans la banlieue sud de Beyrouth et au Hermel.
Les mêmes sources ont refusé donner des précisions sur le sort du ressortissant saoudien et d'indiquer s'il avait était arrêté ou pas.
Source : Mediarama
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