Pas de motifs politiques derrière le meurtre du journaliste syrien Mohammad Jammo

L'armée libanaise a affirmé qu'il n'y avait pas de «motivations politiques» derrière le meurtre du spécialiste politique syrien, Mohammad Darrar Jammo. Elle a annoncé avoir identifié et arrêté les meurtriers de M. Jammo.
«L'enquête préliminaire montre qu'il n'y avait pas de motivations politiques derrière l'incident», a indiqué l'armée dans un communiqué diffusé jeudi 18 juillet.
«Après avoir enquêté sur l'assassinat de Jammo, les services de renseignements de l'armée ont
réussi à identifier les meurtriers et à les arrêter», précise le texte. «Les armes utilisées dans le crime ont également été retrouvées», ajoute-t-il, soulignant que «l'armée poursuit son enquête».
Le communiqué de l'institution militaire ne donne pas de précisions, mais d'après des informations concordantes relayées par des chaînes de télévision, l'épouse libanaise de Jammo aurait commandité l'assassinat et l'aurait fait exécuter par son frère et son neveu. Selon une chaîne, quatre personnes auraient été arrêtées et deux d'entre elles auraient avoué avoir ouvert le feu sur la victime. L'une des personnes arrêtées, le beau-frère de la victime, aurait en outre fait état de problèmes antérieurs entre Jammo et son épouse.
M. Jamo, directeur de la section politique et des relations internationales au sein de l'Organisation mondiale pour les émigrés arabes, connu surtout comme un expert pro-régime intervenant souvent à la télévision, a été abattu mercredi à l'aube par des hommes armés à son domicile à Sarafand, dans le sud du Liban.
Auparavant dans la journée de jeudi, la localité de Sarafand avait organisé des funérailles pour M. Jammo. Puis son corps a été placé à bord d'un véhicule de la Croix-Rouge libanaise qui devait le conduire jusqu'à la ville de Lattaquieh, sur le littoral syrien, où d'autres funérailles auront lieu vendredi.
Source : OLJ et rédaction
«L'enquête préliminaire montre qu'il n'y avait pas de motivations politiques derrière l'incident», a indiqué l'armée dans un communiqué diffusé jeudi 18 juillet.
«Après avoir enquêté sur l'assassinat de Jammo, les services de renseignements de l'armée ont

Le communiqué de l'institution militaire ne donne pas de précisions, mais d'après des informations concordantes relayées par des chaînes de télévision, l'épouse libanaise de Jammo aurait commandité l'assassinat et l'aurait fait exécuter par son frère et son neveu. Selon une chaîne, quatre personnes auraient été arrêtées et deux d'entre elles auraient avoué avoir ouvert le feu sur la victime. L'une des personnes arrêtées, le beau-frère de la victime, aurait en outre fait état de problèmes antérieurs entre Jammo et son épouse.
M. Jamo, directeur de la section politique et des relations internationales au sein de l'Organisation mondiale pour les émigrés arabes, connu surtout comme un expert pro-régime intervenant souvent à la télévision, a été abattu mercredi à l'aube par des hommes armés à son domicile à Sarafand, dans le sud du Liban.
Auparavant dans la journée de jeudi, la localité de Sarafand avait organisé des funérailles pour M. Jammo. Puis son corps a été placé à bord d'un véhicule de la Croix-Rouge libanaise qui devait le conduire jusqu'à la ville de Lattaquieh, sur le littoral syrien, où d'autres funérailles auront lieu vendredi.
Source : OLJ et rédaction
Comments

