Effort bahreini visant à bannir al-Manar et al-Nour, préparation pour la semainee de la dignité

Les forces du régime bahreïni ont perquisitionné mardi les maisons des citoyens dans la région d'Akar, et ont arrêté plusieurs personnes dans leurs propres domiciles. Aussitôt, les citoyens ont organisé une marche pacifique spontanée à Manama, et ont réclamé aux autorités de libérer les détenus et de répondre aux demandes légitimes du peuple.
La coalition du 14 février a pour sa part signalé qu’une grande manifestation est prévue à la fin de cette semaine, baptisée "semaine de la dignité", et elle constituera une introduction indispensable pour la date de 14 février, jour attendu d’observation de "la grève de la dignité". Cette manifestation sera un prélude à la grève de la dignité, qui aura lieu le 14 février. "La semaine prochaine est la semaine de la dignité. Elle est très importante pour notre peuple, pour le régime et pour les observateurs à Bahreïn", a déclaré le courant de l'opposition Wafaa. Cette semaine va déterminer à quel point le peuple est capable de résister aux coups sécuritaires, et sera une opportunité pour la mobilisation du peuple et pour préparer le terrain à de nouvelles mobilisations", a-t-il affirmé.
Demande de couper la diffusion des chaines al-Manar et al-Nour
Bahreïn a demandé de couper la diffusion des chaines de télévision libanaises al-Manar et radiophonique al-Nour lors d’une réunion ministérielle arabe, présidée par le ministre yéménite de l'information Ali al-Omrani. L’Irak a exprimé son opposition à cette demande pendant la session ministérielle étal
ée sur deux jours.
Dans son édition de mardi, le quotidien bahreïni al-Wassat a affirmé que le président de la délégation irakienne s'est opposé à la demande du président de la délégation bahreïnie, de bannir la diffusion de ces chaines, affirmant qu'un tel acte pourrait envoyer un message négatif quant à la liberté de l'information.
Lors de cette session ministérielle arabe, il a été question de diverses affaires médiatiques arabes, dont la recherche d’une procédure de brouillage des satellites, et le degré de l'engagement de médias arabes à respecter le pacte de l’honneur médiatique dans leur couverture du printemps arabe. La décision de couper la diffusion d’al-Manar et al-Nour est toujours étudiée par le conseil ministériel arabe et n’a pas été prise d’une manière définitive.
Source : Alahednews, traduit par moqawama.org

Demande de couper la diffusion des chaines al-Manar et al-Nour
Bahreïn a demandé de couper la diffusion des chaines de télévision libanaises al-Manar et radiophonique al-Nour lors d’une réunion ministérielle arabe, présidée par le ministre yéménite de l'information Ali al-Omrani. L’Irak a exprimé son opposition à cette demande pendant la session ministérielle étal

Dans son édition de mardi, le quotidien bahreïni al-Wassat a affirmé que le président de la délégation irakienne s'est opposé à la demande du président de la délégation bahreïnie, de bannir la diffusion de ces chaines, affirmant qu'un tel acte pourrait envoyer un message négatif quant à la liberté de l'information.
Lors de cette session ministérielle arabe, il a été question de diverses affaires médiatiques arabes, dont la recherche d’une procédure de brouillage des satellites, et le degré de l'engagement de médias arabes à respecter le pacte de l’honneur médiatique dans leur couverture du printemps arabe. La décision de couper la diffusion d’al-Manar et al-Nour est toujours étudiée par le conseil ministériel arabe et n’a pas été prise d’une manière définitive.
Source : Alahednews, traduit par moqawama.org
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