Hollande : l’opération au Mali "n’a pas d’autre but que la lutte contre le terrorisme"

Au lendemain du début de l'intervention des forces françaises sur le territoire malien, François Hollande a justifié sa décision, disant qu'elle "n'a pas d'autre but que la lutte contre le terrorisme" et qu'il a "toute confiance" dans la réussite de l'opération, baptisée "Serval". Selon lui, "la France ne défend aucun intérêt particulier".
Le chef de l'Etat a souligné que les moyens militaires déployés doivent être limités au soutien de l'intervention africaine au Mali, qui doit prendre forme en début de semaine. Il s'est félicité que "l'action de la France soit saluée par l'ensemble de la communauté internationale et les pays africains".
M. Hollande a souligné qu'un "coup d'arrêt" avait été porté aux rebelles avec "de lourdes pertes infligées à nos adversaires". Selon l'armée malienne, plusieurs centaines de combattants armés ont été tués lors de raids menés samedi. Enfin, et alors que les rebelles ont promis "des conséquences, non seulement pour les otages français, mais aussi pour tous les ressortissants français où qu'ils se trouvent dans le monde musulman", M. Hollande a annoncé un renforcement du plan Vigipirate en France, actuellement au niveau "rouge", "dans les meilleurs délais".
Un soldat français tué dans les combats
Sur le terrain des opérations, le gouvernement a confirmé la mort d'un soldat français, mortellement blessé lors d'un raid d'hélicoptère"contre une colonne terroriste" se dirigeant vers deux villes de la partie sud du Mali, Mopti et Sévaré, après la prise de Konna. Le ministre de la défense Jean-Yes Le Drian a ajouté que ce raid effectué "en appui de l'armée malienne a permis la destruction de plusieurs unités" et "stoppé leur progression". Selon l'état-major, une douzaine de cibles ont été atteintes grâce au déploiement de quatre Mirage 2000-D. M. Le Drian a ajouté que des unités françaises ont été déployées dans la capitale Bamako "pour contribuer à la protection de Bamako et pour assurer la sécurité de nos ressortissants".
Au niveau international, la France avait préparé le terrain en demandant, vendredi, au Conseil de sécurité de l'ONU "d'accélérer la mise en œuvre de la résolution 2085" qui autorise notamment le déploiement d'une force internationale au Mali.
Dans cette lettre, Paris "informe" aussi le Conseil que "les forces armées françaises ont apporté, en réponse à la demande [malienne] et en concertation avec nos partenaires, notamment dans la région, leur soutien aux unités maliennes pour lutter contre des éléments terroristes". Cette opération "durera le temps nécessaire", ajoute le texte.
Source: médias

Le chef de l'Etat a souligné que les moyens militaires déployés doivent être limités au soutien de l'intervention africaine au Mali, qui doit prendre forme en début de semaine. Il s'est félicité que "l'action de la France soit saluée par l'ensemble de la communauté internationale et les pays africains".
M. Hollande a souligné qu'un "coup d'arrêt" avait été porté aux rebelles avec "de lourdes pertes infligées à nos adversaires". Selon l'armée malienne, plusieurs centaines de combattants armés ont été tués lors de raids menés samedi. Enfin, et alors que les rebelles ont promis "des conséquences, non seulement pour les otages français, mais aussi pour tous les ressortissants français où qu'ils se trouvent dans le monde musulman", M. Hollande a annoncé un renforcement du plan Vigipirate en France, actuellement au niveau "rouge", "dans les meilleurs délais".
Un soldat français tué dans les combats
Sur le terrain des opérations, le gouvernement a confirmé la mort d'un soldat français, mortellement blessé lors d'un raid d'hélicoptère"contre une colonne terroriste" se dirigeant vers deux villes de la partie sud du Mali, Mopti et Sévaré, après la prise de Konna. Le ministre de la défense Jean-Yes Le Drian a ajouté que ce raid effectué "en appui de l'armée malienne a permis la destruction de plusieurs unités" et "stoppé leur progression". Selon l'état-major, une douzaine de cibles ont été atteintes grâce au déploiement de quatre Mirage 2000-D. M. Le Drian a ajouté que des unités françaises ont été déployées dans la capitale Bamako "pour contribuer à la protection de Bamako et pour assurer la sécurité de nos ressortissants".
Au niveau international, la France avait préparé le terrain en demandant, vendredi, au Conseil de sécurité de l'ONU "d'accélérer la mise en œuvre de la résolution 2085" qui autorise notamment le déploiement d'une force internationale au Mali.
Dans cette lettre, Paris "informe" aussi le Conseil que "les forces armées françaises ont apporté, en réponse à la demande [malienne] et en concertation avec nos partenaires, notamment dans la région, leur soutien aux unités maliennes pour lutter contre des éléments terroristes". Cette opération "durera le temps nécessaire", ajoute le texte.
Source: médias
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