Peres : "Israël" a assassiné Yasser Arafat
Huit ans après le décès du président palestinien Yasser Arafat, l'entité sioniste a reconnu pour la première fois l'avoir liquidé.
"Il ne fallait pas assassiner Yasser Arafat", a déclaré le président de l'entité sioniste Shimon Peres.
"Je pense qu’il était possible de composer avec Arafat. Sans lui, la situation était plus difficile et plus complexe", a affirmé le responsable israélien dans un entretien réalisé il y a cinq mois et publié mercredi 9 janvier dans le quotidien américain The New York Times.
Il a rejeté le recours par "Israël" à l’assassinat comme une arme pour parvenir à ses objectifs, et s’est dit opposé au meurtre des dirigeants palestiniens depuis 1988.
Sur un autre plan, le président israélien a exprimé son "fort soutien" à l'offensive israélienne contre la bande de Gaza": "ce n’était pas une guerre ou une opération militaire, mais une leçon à Hamas", a-t-il affirmé. M. Peres a réitéré le mensonge habituel de l’entité sioniste qui se déclare être humanitaire en disant : "Israël a déployé le maximum d’efforts pour épargner les civils de Gaza, bien qu’il ait été difficile de faire la distinction entre les éléments armés de Hamas et les civils innocents". Il a encore souligné sa divergence avec le premier ministre Benyamin Netanyahu quant à l’évaluation de Mahmoud Abbas. "Je n’accepte pas l’obstination selon laquelle Abou Mazen ne serait pas un bon partenaire des négociations. Pour moi, c’est un excellent partenaire", a-t-il dit.
Yasser Arafat est décédé le 11 novembre 2004 dans un hôpital militaire en banlieue parisienne. L'enquête portant sur les causes de sa mort a été ouverte en août 2012 sur l'initiative de la veuve d’Arafat, Souha Arafat suite à la diffusion d'informations sur la découverte de polonium-210 sur les vêtements de l’ex-leader. Les résultats de l’examen de la dépouille du président seront prêts en février.
Source: divers, édité par moqawama.org
"Il ne fallait pas assassiner Yasser Arafat", a déclaré le président de l'entité sioniste Shimon Peres.
"Je pense qu’il était possible de composer avec Arafat. Sans lui, la situation était plus difficile et plus complexe", a affirmé le responsable israélien dans un entretien réalisé il y a cinq mois et publié mercredi 9 janvier dans le quotidien américain The New York Times.
Il a rejeté le recours par "Israël" à l’assassinat comme une arme pour parvenir à ses objectifs, et s’est dit opposé au meurtre des dirigeants palestiniens depuis 1988.
Sur un autre plan, le président israélien a exprimé son "fort soutien" à l'offensive israélienne contre la bande de Gaza": "ce n’était pas une guerre ou une opération militaire, mais une leçon à Hamas", a-t-il affirmé. M. Peres a réitéré le mensonge habituel de l’entité sioniste qui se déclare être humanitaire en disant : "Israël a déployé le maximum d’efforts pour épargner les civils de Gaza, bien qu’il ait été difficile de faire la distinction entre les éléments armés de Hamas et les civils innocents". Il a encore souligné sa divergence avec le premier ministre Benyamin Netanyahu quant à l’évaluation de Mahmoud Abbas. "Je n’accepte pas l’obstination selon laquelle Abou Mazen ne serait pas un bon partenaire des négociations. Pour moi, c’est un excellent partenaire", a-t-il dit.
Yasser Arafat est décédé le 11 novembre 2004 dans un hôpital militaire en banlieue parisienne. L'enquête portant sur les causes de sa mort a été ouverte en août 2012 sur l'initiative de la veuve d’Arafat, Souha Arafat suite à la diffusion d'informations sur la découverte de polonium-210 sur les vêtements de l’ex-leader. Les résultats de l’examen de la dépouille du président seront prêts en février.
Source: divers, édité par moqawama.org
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