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Londres va s’entretenir avec des groupes armés de l’opposition syrienne

Londres va s’entretenir avec des groupes armés de l’opposition syrienne
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Downing Street a indiqué mercredi matin que des responsables britanniques allaient s'entretenir avec des représentants de groupes armés de l'opposition syrienne.

Le bureau du Premier ministre britannique a précisé que le gouvernement avait autorisé desLondres va s’entretenir avec des groupes armés de l’opposition syrienne
responsables britanniques à s'entretenir avec des responsables militaires de l'opposition syrienne.

Il a indiqué qu'il «n'était pas question d'armer ces groupes» mais d'ouvrir des discussions «dans le but d'unir l'opposition et de mettre un terme à l'effusion de sang».

Selon les médias britanniques, le ministre des Affaires étrangères William Hague a donné son feu vert à son envoyé spécial auprès de l'opposition syrienne John Wilkes pour organiser des rencontres, dans un pays tiers, avec l'opposition syrienne armée.

Des responsables britanniques ont également insisté sur le fait que ces groupes «seraient appelés à respecter les droits de l'Homme».

David Cameron visite un camp de réfugiés syriens en Jordanie

Parallèlement, le Premier ministre britannique David Cameron s'est rendu, mercredi matin, dans un camp de réfugiés syriens dans le nord de la Jordanie, non loin de la frontière syrienne, dernière étape de sa tournée régionale.

A son arrivée au camp de Zaatari, qui accueille 36.000 Syriens hébergés dans des tentes et des caravanes, M. Cameron s'est rendu au bureau des Nations unies pour des entretiens avec des responsables.

Selon le Haut-commissariat pour les réfugiés des nations unies (HCR), quelque 360.000 réfugiés ont fui le conflit en Syrie. Les autorités jordaniennes estiment à plus de 200.000 le nombre de Syriens réfugiés sur son sol.

Après cette visite, M. Cameron est reparti pour Amman, où il devait s'entretenir avec le roi Abdallah II avant de regagner Londres.

Mardi, le Premier ministre britannique s'était dit favorable à une «sortie sécurisée» du président Bachar al-Assad de Syrie «si cela pouvait mettre fin à l'effusion de sang».

«Je suis (favorable à) tout pour voir cet homme quitter le pays et avoir une transition sûre en Syrie», avait-il déclaré.

Source: Agences

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