Shalit et le traitement "décent" de ses geôliers
Comme au Liban, en Palestine occupée, une nouvelle preuve sur la clémence de la résistance dans le traitement de ses détenus.
Le soldat israélien Gilad Shalit, détenu pendant plus de cinq ans par le Hamas dans la bande de Gaza, raconte « avoir tenu en se concentrant sur les petites choses agréables », comme jouer avec
ses geôliers, dans une interview télévisée pour l'anniversaire de sa libération.
« J'avais peur d'être oublié » par le gouvernement israélien, confie Gilad Shalit, libéré le 18 octobre 2011 en échange de 1.027 prisonniers palestiniens d'« Israël », dans cette interview dont le quotidien Yediot Aharonot publie des extraits.
Tout en avouant que ses geôliers « ne me traitaient pas trop mal », Shalit a expliqué: « j'essayais de me concentrer sur les petites choses agréables qui me restaient (...), d'apprécier ce que j'avais, comme la télévision, la radio, et la nourriture décente ».
Et d’ajouter: « Au début, je n'étais pas informé de ce qu'il se passait en Israël ou dans le monde. A un certain moment, ils m'ont laissé regarder les informations en arabe à la télévision, donc je savais ce qu'il passait dans la région. Puis j'ai obtenu une radio et j'ai pu écouter les nouvelles d'Israël ».
« Il y avait aussi une forme de communication avec les geôliers. Il y avait des moments où une sorte d'émotion ou de rire apparaissait, quand nous regardions un bon match ou un film à la télévision », relate cet ancien soldat qui a aussi la nationalité française, citant un match de Ligue des champions entre l'Hapoël Tel Aviv et l'Olympique lyonnais.
« Pendant la journée, je jouais à toutes sortes de jeux avec eux, aux échecs, aux dominos… », souligne Shalit.
Gilad Shalit avait été capturé le 25 juin 2006 en territoire palestinien occupé par « Israël » à la lisière de la bande de Gaza par trois groupes de la résistance palestinienne, dont les Brigades Ezzedine al-Qassam, branche militaire du Hamas.
Source: Agences
Le soldat israélien Gilad Shalit, détenu pendant plus de cinq ans par le Hamas dans la bande de Gaza, raconte « avoir tenu en se concentrant sur les petites choses agréables », comme jouer avec
ses geôliers, dans une interview télévisée pour l'anniversaire de sa libération.« J'avais peur d'être oublié » par le gouvernement israélien, confie Gilad Shalit, libéré le 18 octobre 2011 en échange de 1.027 prisonniers palestiniens d'« Israël », dans cette interview dont le quotidien Yediot Aharonot publie des extraits.
Tout en avouant que ses geôliers « ne me traitaient pas trop mal », Shalit a expliqué: « j'essayais de me concentrer sur les petites choses agréables qui me restaient (...), d'apprécier ce que j'avais, comme la télévision, la radio, et la nourriture décente ».
Et d’ajouter: « Au début, je n'étais pas informé de ce qu'il se passait en Israël ou dans le monde. A un certain moment, ils m'ont laissé regarder les informations en arabe à la télévision, donc je savais ce qu'il passait dans la région. Puis j'ai obtenu une radio et j'ai pu écouter les nouvelles d'Israël ».
« Il y avait aussi une forme de communication avec les geôliers. Il y avait des moments où une sorte d'émotion ou de rire apparaissait, quand nous regardions un bon match ou un film à la télévision », relate cet ancien soldat qui a aussi la nationalité française, citant un match de Ligue des champions entre l'Hapoël Tel Aviv et l'Olympique lyonnais.
« Pendant la journée, je jouais à toutes sortes de jeux avec eux, aux échecs, aux dominos… », souligne Shalit.
Gilad Shalit avait été capturé le 25 juin 2006 en territoire palestinien occupé par « Israël » à la lisière de la bande de Gaza par trois groupes de la résistance palestinienne, dont les Brigades Ezzedine al-Qassam, branche militaire du Hamas.
Source: Agences
« Israël » annule une mission de l’Unesco à al-Qods occupée
depuis 12 années
//