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L’ambassadeur syrien au Liban: L’avenir est à nous

L’ambassadeur syrien au Liban: L’avenir est à nous
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Le député libanais Marwan Fares a rappelé les forces du 14 Mars que l'ambassadeur syrien Ali AbdelKarim Ali existe aujourd'hui au Liban suite à leurs demandes répétées dans ce contexte.

« L’appel à l’expulsion de cet ambassadeur du Liban est une révélation claire de la frustration deL’ambassadeur syrien au Liban: L’avenir est à nous
ces forces qui misaient, dès le premier mois de la conspiration menée contre la Syrie, sur la chute du régime », a-t-il souligné.

Dans une interview accordée au quotidien "Acharq-elawsat" (Moyen-Orient), M. Fares a expliqué: « Nous avons visité l'ambassadeur syrien pour lui réaffirmer d’une manière civilisée et démocratique notre solidarité. Nous savons parfaitement que les actions du 14 Mars ne sont qu’un show-off, après l’échec cuisant de sa politique interne et également de son comportement à l’égard de la crise syrienne ».

Jeudi, une délégation des représentants des sections estudiantines pro-régime syrien, dirigée par le Parti syrien national social (PSNS), s'est rendue à l’ambassade syrienne à Beyrouth pour afficher son soutien à l’ambassadeur Ali Abdelkarim Ali.

Ce dernier a mis en exergue la résistance de son pays « face à cette guerre cosmique américano-sioniste, qui souhaite démanteler et affaiblir la Syrie ».

« L’avenir est à nous. Tous ces complots diaboliques sont en déroute, en Syrie, au Liban et dans la région. Nous devons consolider les critères de la vie commune et nous attacher au rôle de la résistance, qui constitue l’immunité du Liban, de la Syrie et de la région», a-t-il affirmé.

M. Ali a tout bonnement refusé de commenter les derniers appels de 14 Mars.

Les sections estudiantines du 14 Mars avaient organisé mercredi soir une manifestation devant le ministère des Affaires étrangères appelant à son expulsion du Liban.

De son côté, le porte-parole estudiantin du PSNS, Sobhi Yaghi, a pris le contrepied de tous les slogans du 14 Mars, louant l’ambassadeur Ali et estimant qu’ « il vaut mieux songer aux problèmes économiques et sociaux plutôt que de réclamer la révision du traité de fraternité et de coopération et l’abrogation du Conseil supérieur libano-syrien ».

Source: Divers

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