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L’Iran s’oppose à une suspension de la Syrie de l’OCI

L’Iran s’oppose à une suspension de la Syrie de l’OCI
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Le ministre iranien des Affaires étrangères, Ali Akbar Salehi, a annoncé lundi l'opposition de son pays à une suspension de la Syrie de l'Organisation de coopération islamique (OCI).

« Je suis ouvertement contre la suspension de n'importe quel pays », a déclaré M. Salehi auxL’Iran s’oppose à une suspension de la Syrie de l’OCI journalistes en marge de sa participation à une réunion préparatoire du sommet islamique prévu mardi à La Mecque et dominé par le conflit en Syrie. Il était interrogé sur une suspension de la Syrie de l'OCI, sur laquelle les pays membres devront se prononcer lors de leur réunion mardi, avait indiqué à l'AFP le secrétaire général de l'Organisation de coopération islamique (OCI) Ekmeleddin Ihsanoglu. « Suspendre un pays ne signifie pas aller vers un règlement du problème. En agissant ainsi, vous voulez éluder la question », a ajouté le ministre iranien. « En revanche, les pays de l'OCI doivent conjuguer leurs efforts pour résoudre le problème d'une manière qui contribue à la paix, à la sécurité et à la stabilité dans la région », a-t-il estimé.


Mansour: l'OCI aurait dû recommander la suspension des relations diplomatiques et commerciales avec "Israël"

Lors de la réunion finale des ministres des Affaires étrangères qu’il présidait à Djeddah, le vice-ministre saoudien Abd El-Aziz Ben Abdallah Ben Abd El-Aziz a demandé aux ministres de voter la déclaration finale, bien que 13 participants n’aient pas encore prononcé leurs L’Iran s’oppose à une suspension de la Syrie de l’OCIdiscours, dont le ministre des Affaires étrangères libanais. Le ministre libanais Adnan Mansour a pour sa part insisté à prononcer son discours, où il a exprimé les réserves du Liban sur la teneur de la déclaration concernant la Syrie, parce qu'elle s'oppose à la politique de dissociation adoptée par le gouvernement libanais à l'égard de la crise syrienne. Le ministre Mansour a regretté que cette déclaration finale n’ait pas compris  des recommandations d'interrompre les liens diplomatiques et commerciaux avec l'entité sioniste, à cause de la politique hostile et coloniale de cette dernière.

La réunion ministérielle de Djeddah doit préparer le sommet de mardi à La Mecque, premier lieu saint de l'islam, à l'initiative du roi Abdallah d'Arabie saoudite. Outre la crise syrienne, le sommet devrait aussi être l'occasion d'évoquer le "processus de paix israélo-palestinien", actuellement dans l'impasse, et la situation de la minorité musulmane des Rohingyas en Birmanie.

sources: agences

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