noscript

Please Wait...

L’Espagne défend sa position sur la Palestine

L’Espagne défend sa position sur la Palestine
folder_openEurope access_timedepuis 2 heures
starAJOUTER AUX FAVORIS

Par AlAhed avec sites web

Le Premier ministre espagnol a défendu la position de son gouvernement sur la Palestine, estimant que celle-ci a progressivement gagné un soutien international plus large.

Lors de la présentation annuelle du bilan de son exécutif, Pedro Sanchez a rappelé, lundi 15 décembre, que l’Espagne avait été l’un des premiers pays à reconnaître l’État palestinien après le déclenchement par «Israël» de la guerre contre la bande de Gaza en octobre 2023.

Depuis lors, a-t-il rappelé, plusieurs pays, dont la France et le Canada, ont entrepris des démarches similaires à celles de Madrid.

En réponse aux critiques négatives de la position de son gouvernement sur la questionne palestinienne, Sanchez a déclaré: «Le temps nous a donné raison».

L’Espagne a condamné l’escalade sans précédent de la violence des colons israéliens en Cisjordanie occupée.

«Le monde s’est rangé à nos côtés, démontrant le caractère creux et malveillant de ces critiques, qui révélaient un manque d’empathie envers les personnes souffrant, comme c’est le cas des Palestiniens», a-t-il ajouté.

Sanchez a également souligné que l’Espagne avait adopté cette année un paquet de neuf mesures contre «Israël», incluant un embargo permanent sur les armes et un engagement à renforcer l’aide destinée à la Palestine.

Il a affirmé que son approche de la question palestinienne reflétait les principes de la politique étrangère espagnole : cohérence, multilatéralisme et engagement en faveur de la paix et de la solidarité.

Depuis le 7 octobre 2023, «Israël» a tué plus de 70 400 Palestiniens, majoritairement des femmes et des enfants, et en a blessé 171 000 autres la bande de Gaza.

Des experts affirment que l’entité «israélienne», avec la complicité des États-Unis et des pays occidentaux, a commis un génocide dans cette bande côtière assiégée.

Depuis l’entrée en vigueur, le 10 octobre, de l’accord fragile négocié par les États-Unis entre «Israël» et le mouvement de résistance palestinien Hamas, le cessez-le-feu a été violé à plusieurs reprises par «Israël», faisant au moins 390 martyrs palestiniens dans la bande de Gaza dont une grande partie reste encore inaccessible en raison de la présence continue des forces d’occupation «israéliennes».

Comments

//